On pouvait entendre à travers...

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Une nuit.... En une nuit toute ma vie avait basculer. Pourquoi? Qu'elle raison précise? C'étais inexplicable. Des souvenirs ? Oui qu'elle que un, des fraction de scène rien de bien clair. Une masse noir des cris strident des regards térrifiant...Ma maman... Ma pauvre maman elle me manque. Elle était morte, j'en était persouader. Je ne pourait pas dire comment je ne me souviens plus. Ma soeur... Disparue ? Je me souviens pas non plus je me rapelle lui avoir dit ''Cours Rachel, cours!!'' Je n'avait pas courure j'avait peur en réaliter j'étais mort de peur, j'étais prisonnier de cette masse de..de..de néant une tristesse profonde m'avait envahit l'horreur de découvrir que cette trsitesse n'étais pas mienne. Mon coeur saigne, une blessur profond y est gravé j'ai pleuré dans les ténèbres oui je me souviens. Pourquoi je ne suis pas mort comme ma maman? Je vait faire quoi sans elle! Une question sans réponse térifié seul perdu le coeur sur les lèvres j'ai courue les yeux fermé pour ne rien voir de ce qui me suivait. J'entendais les voix je n'oublirais jamais les voix. Trop d'émotion étais exprimer en même temps. Je croiyait que les fantôme n'existait pas tout les mauvais rêve que j'ai fait pourvait être Réel!?

Zacharie avait courue jusqu'a la sortie de l'imeuble. Il avait courue bien plus longtemps que son petit coeur d'enfant pouvait le permetre mais mue par un force unique, c'elle de la peur il avait courue sans s'arrêter les yeux fermé les mains sur les oreilles avec l'espoir de ne plus entendre les voix afreuse. Arrivé à la sortie avec apène son manteaux sous le bras, qu'il avait prit par pure réflexe et avant tout comme une doudou, il alla s'assoir contre le mur près de la porte d'entré,derière un buisson pour se cacher de ses tourmenteur immatérielle. Après avoir ramener ses jambes près de son corps il constata que tout semblait calme maintenant, vue qu'il était arrivé avant Han et Myou. Alors comme toute chose logique après l'Action viens la découverte de la réaliter. Sa mère étais morte sa soeur disparue les monstre de son enfance réel et lui il étais seul....

Zak éclata en sanglot. Il pleura un temps il espéra de tout coeur que ce l'étais qu'un rêve. La fatigue s'en empara car après tout il étais jeune pour lui il étais tard et après tant d'effort autant physique qu'émotionelle il sombra dans un sommeil tourmenter par les cauchemars de son enfance maintenant réaliter. En lui qu'elle que chose s'étais briser....Son inocence.

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Naomi, exténuée de sa journée de travaille, marchais vers son appartement quand elle aperçus deux japonais devant la porte du bloc où elle se dirigeais. Elle s’apprêtait à s’excuser pour qu’ils la laissent passer quand elle remarqua que tout deux avais l’aire confus et semblais chercher quelque chose ou quelqu’un. N’étant pas trop presser d’affronter les six étage d’escalier a franchir pour arriver chez elle, la jeune femme décida de leurs demander si tout allais bien. Elle ne parlait pas japonais mais si ces deux personne habitais dans le coin ils parleraient ou du moins comprenaient certainement le français ou l’anglais. Alors elle s’adressa à eux comme suis : « est-ce que tout va bien… are you searching for someone or something… pourrais-je faire quelque chose pour vous aider. »

Peut-être n’étais-ce pas de ses affaires, peut-être n'avaient-ils pas envie que l'on s'en mêle ou même d'en parler, mais ils semblaient un peu troubler, si elle pouvait les aider c’étais déjà ça, une bonne action de plus. Si elle ne pouvait rien pour eux le pire qu’y pouvait arriver c’était qu’ils le lui disent. Elle les regarda donc, attendant une quelconque réponse de leurs part, ou encore une réaction qui indiquerais qu’ils n’aient pas compris, dans le cas contraire ils auraient au mois compris la moitié de se qu’elle venait de dire. Elle afficha un sourire, malgré sa fatigue, puis les regarda tout deux succesivement.

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Ses yeux d’éclat de jade parcouraient ciel et terre, espérant y voir un signe, une sortie, une lumière orangée parmi cette ville sombre et électrisante. Un message qui lui dirait où elle devrait aller pour trouver tout ce que dont son cœur avait besoin pour ne pas sombré dans un abîme sans fond… Un seul pied lui restait à traverser sa vie… Serait-elle poussée où irait-elle de sdon plein grés.

Han se rendit enfin au bas des escaliers, puis à l’extérieur… Ses airs étaient décontractés, comme si rien ne s’était passé… L’amour entre père et fils… Elle n’avait jamais assisté à quelque chose de plus beau. Un sourire sarcastique et sans joie vint dessiner ses lèvres quand la Japonais remarqua que sa demi-sœur n’était plus là… Oui, c’était étrange, il y avait un truc qui tournait pas rond dans cette histoire. Mais ce n’était pas en restant ici que les réponses allaient venir assouvir leurs hypothèses.

Elle ne répondit rien à Han, ne faisant que remonter la lisère de on étuie à guitare et débutant un pas vers je ne sais ou. Il serait peut-être mieux qu’elle suive Han, mais sa fierté lui conseilla de prendre les devants.

Cependant, une nouvelle arrivante l’empêcha de continuer plus loin. Elle semblait vivre dans le bloc appartement. Elle s’adressa à elle et l’autre Japonais en français et en anglais. D’où sortait-elle. Elle serait mieux de se mêler de ses affaires et passer son chemin…

Pourtant Osaki se dit que ce bloc devait être déconseillé à tous… Du moins à ceux qui y vivait. Peut-être que cette fille ne faisait que passer, habitant un peu plus loin.

L’ex chanteuse alla pour lui répondre mais se ravisa. Elle n’avait pas envie de se ridiculiser avec son français exécrable. Elle la contourna donc et laissa soin à Han de lui répondre s’il en avait envie.

Elle s’était enfin détendu. L’ambiance de la nuit l’avait réconforter comme quelques bières pouvaient le faire. Le pas traînant, espérant que Han la suive, elle marcha vers l’inconnu.

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Il n’eut aucune réponse de la part de Osaki. Il revérifia autour et ne vit rien de plus. Une personne marchait par contre en leur direction. Une jeune femme blanche.

Myou elle commençait à s’éloigner quand la femme en question vint s’adresser aux deux japonais. Qu’est-ce qu’elle voulait ? Elle semblait beaucoup trop attentionnée. Elle s’exprima à moitié en anglais et l’autre moitié en français. Il est normal, croyait Han, qu’elle tente plusieurs formes de communication car Myou et Rivers n’étaient pas de nationalité commune aux gens que l’ont rencontrait fréquemment ici.

Osaki lui resta silencieuse. Han comprit en partie. Elle ne voulait pas se casser davantage la tête à parler dans une langue étrangère à la sienne après tout ceci. En qui ce concernait le jeune homme. Il se contenta se soupirer avant de lancer en français accentué de japonais :

« Si j’srais toi, j’n’entrerai même pas là. C’est maudit et j’nienze pas. »

Il avait employé un ton qui flottait entre la fatigue et le sérieux. Il était sincère mais est-ce que Naomi allait comprendre? Chose certes, Han n’avait aucunement envie de raconter toute cette histoire.

« Vous devriez appeler la police tien… »

Il se tue et tourna les talons vers Myou qui avait interrompue sa marche. Lui, ne voulait pas développer davantage sur le sujet avec cette pure inconnue. Si elle allait entrer, probablement que c’est en courant affolée qu’elle allait ressortir après avoir vue le cadavre, enfin ce qui en restait, du père d’Han et de la disparue Jade.

Il avait toujours son regard neutre décontracté. Il marcha à coté de Myou la dépassa par la droite. Il marcha droit devant se dirigea vers la rue. Où aller? Il avait son idée. Sa deuxième demeure en quelque sorte. Celle qu’il aimerait considérer comme étant sa demeure primordiale. Là où vivait la personne en qui il avait total respect. L’unique personne de ce genre d’ailleurs. Là, ils y seraient en sécurités. Myou allait devoir venir avec lui.

Il ne saurait dire pourquoi il voulait l’y emmener mais il allait tenter de la traîner, de la tirer. Il lui dit donc en japonais :

« On va se loger ailleurs, je ne te force pas à y venir. »

Il éteint sa voix et marcha toujours vers la rue.

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Naomi les regarda s’éloigner étonnée de leur comportement, elle avait simplement voulut les aider et elle se faisait répondre de ne pas entrer chez elle. Définitivement ça n’avait aucun sens. Cela faisait longtemps qu’elle habitais ce bloc appartement et il n’étais pas maudit comme le prétendais le jeune homme, s’il y avais un problème à quelque part c’étais dans sa tête pas dans l’immeuble. Cette pensée la fit sourire, mais elle la chassa vite de son esprit car elle n’aimais pas juger n’y penser du mal des gens qu’elle ne connaissait pas.

Bref, elle ne se priverait pas du confort de chez elle, dont elle avait rêver toute la journée, à cause d’un japonais visiblement troublé. De toute façon, en y repensant bien c’était plus hilarant qu’effrayant, un immeuble maudit, pour qui il se prenait celui-là, le chaman d’une tribut africaine prédisant le malheur. En fait, elle essayait d’avantage de se convaincre elle-même que se n’était pas effrayant, car au fond elle craignait qu’il y ait réellement quelque chose de dangereux à l’intérieur, mais elle trouvait cela insensé. Elle décida donc d’oublier cette scène quelque peu désagréable ainsi que la brusquerie dont avais fait preuve se jeune homme et chercha ses clefs dans sa sacoche avec la ferme intention de rentre dans le sois disant bloc maudit. Elle avait d’autant plus envie d’arriver chez elle au plus vite et de se changer les idée dans un bon bain chaud, pensé très relaxante qui la motiva d’avantage pour son ascension des marches.

Elle trouva donc ses clefs et s’apprêta à ouvrir la porte, tout en jetant un dernier coup d’œil au deux asiatiques qui s’éloignaient d’avantage. La jeune femme soupira et poussa la lourde porte.

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Myou ne comprit pas vraiment ce que Han dit à cette fille peut-être un peu trop curieuse. Elle ne comprit que le mot « police… » … Oui ça serait bien qu’ils appellent les flics… Par contre le meurtre engendrerait plusieurs victimes dont probablement elle et l’autre Japonais. Sans ça, ça serait un interrogatoire interminable qui durait des heures et des heures. Tout ça dans un bureau qui sentait le café bon marché.

Pendant que le blond s’était adressé à cette femme qui était partie par la suite pour rejoindre ses appartements, Osaki avait déposé son amplificateur pour fouiller quelques moments dans l’une de ses poches.

« Chikusu… » [Putain…]

Elle murmura un faible jura en repensa qu’elle avait délaissé son briquet tout comme ses cigarettes. D’ailleurs elle allait s’en acheter avant que des évènements libidineux viennent détruire sa paisible vie sombre et solitaire.

Tant pis… Elle se dit qu’elle avait réussit à arrêter quelques mois auparavant… Peut-être était-ce le temps de réessayer… Pauvre Han… Elle aurait sourit si l’ambiance aurait été autre. Elle repensa à cette dernière fois où elle avait pété les plombs et effrayer le pauvre gamin de 15 ans. Elle allait devoir contenir son manque cette fois ci.

Han la dépassa de sa droite quand elle reprit son pas, l’amplificateur à nouveau porté au bout de son bras frêle qui semblait vouloir casser d’une seconde à l’autre vu la maigreur.

« Ii yo. » [C’est bon.]

Et elle se dirigea à la rencontre du blond, gardant une distance respectueuse. Elle ne voulait pas avoir l’air d’un chien de poche qui vous suit partout. Hachi c’était une autre, pas elle. Sa fierté passaiit au-delà de beaucoup de choses, mais puisqu’il lui avait presque offert…Pourquoi pas ?

Elle ne remarqua le petit orphelin, ni grand-chose d’ailleur. Les images récentes revenaient en boucle constamment. C’était comme un éternel cauchemar qui recommençait sans cesse. Quand allait-il terminer ?

Han Rivers et Osaki Myou partirent de leur côter, Naomie entra dans le bloc inssouciante, ingorante de se qu'il l'attendais et la porte se referma derière elle durement et se bara suivie d'un rire sinistre, morbide, fiminin, maléfique. (Post dans le sujet ''Emprisonnée en Enfer'')Qu'elle que minute après la départ de Han et Myou pour un endroit meilleur toute les fenêtre visible du vieux bloc se craquelère sans se briser empèchant toute visibiliter de l'extérieur vers l'intérieur et vice versa. Toute la peinture du vieux bloc se décolorère pour lui donner une apparence de ruine. Le bois veillit. En résumer le vieux bloc devenait un veille immeuble abandonné.

Qui ce sousirait de ce bloc.... Les visites étais rare c'étais le bloc des pauvres, la police elle même ne semblait pas s'en occuper. Enfin trois femme étais maintenant coincé dans se lieu certainement souiller et clairement hors de la réaliter....Que le cauchemar commence!

Le pauvre enfant endormie près de l'imeuble.....Un épuisement fatale car étant non humaine la peur ne se fatigue jamais. Ses dans l'horreur que Zak se réveille car juste devant lui frémissante de plaisir à le vue de sa prochaine victime une forme étrange, difforme. nébuleuse et irréel le comtemple. Elle le comtemple avec amour le pauvre enfant en deuil qu'elle puissante soufrance peut dégager d'un enfant seul, perdu, ignoré.....

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J’ouvrit les yeux. Sur le moment comme à chaque réveille je flottais dans l’hébétude.

« Ou sui-je ? Qu’est qui m’est arrivé? »

Voila le genre de questions qui flottais pendant ses qu’elle que seconde d’hébétude. Et puis le choc de réaliser… Ma mère est morte ma sœur ? Je ne finirait jamais mon résonnement car je vit! Une forme familière. Affreusement familière, le flash du souvenir. De me souvenir que j’avait fui cette forme dans la peur la plus totale peur enfantille du monstre sous le lit. Il étais réel mon monstre qui me protègerais? J’étais seul dehors… Au moins dans mon lit, telle un bouclier mes couvertures aurait contenue loin les mauvais esprit. Maman!!!!!! J’aurait voulut crie son nom…. Mais figé par un peur absolu et totale. Une peur qui me frappa jusque dans la moelle. Mon cœur arrêta de battre je la contemplais mitigé, effrayé, terrifié, absolument mort de peur.

Cinq minute? Peut être plus…Ou moins ! Les secondes étais des heures. Des heures fatidiques le sablier de ma vie ne m’avait jamais sembler aussi long et aussi court à le fois. Les yeux rond la bouche ouverte, mon visage exprimait la terreur absolu je devenais fou… Je sentais que je ne pourrait pas endurer ce stase temporelle longtemps que je m’enlèverait la vie moi-même.

Puis un mouvement mon cauchemars bougea, lentement. Mon corps se crispa de douleur je recula par réflexe mon ventre se compressait dans la peur le plus totale. Avoir peur de la peur, aucune peur ne pouvait être aussi pur et cela la rendait douloureuse. Je soufrais au cœur au ventre à la tête tout mon corps tremblait. J’avait mal même dans mes os. Son mouvement étais lent comme si elle se délectais de ma peur qu’elle voulait la faire grandir… Elle avait réussis! NONN!! Seigneur! Dieux ! Maman! Papa! J’ai PEUR!!!. Ma tête criait ses mots mes corde vocale étais figé dans ce sentiment. La panique s’empara de moi.

La panique fut rapide comme un flamme qui circule avec mon sang dans tout mon corps je me levais mais la douleur trop douloureuse pour mon jeune corps d’enfant me fit plutôt ramper. Alors je rampais terrifié hors de mon buisson en pleurant. Non en sanglotant, un sanglot profond saccadé j’avait du mal à respiré…

Elle me rattrapa devant le palier elle m’enveloppa elle ma recouvrit d’une couverture de néant et toute émotion disparue de mon corps sauf une… Le désespoir je ne craignait plus rien, je regrettais tout. Je ne soufrait plus j’étais résigné. Dans un mouvement de pur regret, de pur tristesse, d’absolu désespoir je m’éteignit à l’age de dix sur la palier de mon logement devant la porte seul…

Mon cadavre? Un jeune homme jadis charmant maintenant bleu le visage déformé par une indicible terreur les yeux exprimant le regret. Les mains crispé sur mes côte mes pied rapprocher de mon ventre en position fétale.

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Il est intéressant ou plutôt sombre de constater qu’autour de nous, les gens vont et viennent sans même qu’on s’en rendre compte. Ils naissent, meurt, tout autour, l’on ne le voit même pas... C’est normal... Les autres ne nous intéressent pas vraiment en égoïstes que nous sommes. Il a aussi le fait indéniable que la connaissance à ses limites.

Seulement, ce jeune homme qui s’éteignit tout près de Myou à cet instant...Ce crie qui se répercuta dans le silence de cette nuit...Elle eut l’impression un bref moment, d’avoir perdue quelqu’un qu’elle aimait. Elle se retourna promptement...Le crie d’un enfant de plus... Ça venait de près d’elle, derrière...

Osaki se retourna vivement vers Han, le regard agrandit sous la surprise. Ses yeux illuminés, voilés par une certaine détresse. Sa fierté et sa force avait prient un coup irréfutable. Les regrets l’envahirent comme une couverture morbide et perfide.

....

Elle ne dit rien...Han avait probablement lui aussi entendu le crie. Comme si l’enfant venait de mourir...C’était peut-être cela...Peut-être était-il vivant.

L’amplificateur tomba par terre tout comme l’étui de sa guitare. Au diable les bris que le choc aurait pu causer.

Elle se mit à courir, ses grosses bottes de cuir suintant en écho dans cette rue condamnée. Elle chercha du regard, comme si les cris avaient été empreint dans le paysage.

...

Myou avait fait quelques mètre...et là, derrière un buisson, recroquevillé comme s’il avait retrouvé le ventre de sa mère, était mort en enfant...

La jeune Japonaise se retint de crier, en mettant l’une de ses mains tremblantes contre sa bouche. Elle ne pouvait plus bouger...Le petit corps de l’enfant était là, devant elle, inerte. Elle ne savait pas quoi faire...

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Han arrêta sa marche. Un crie avait retentit non loin de lui et de Myou. Était-ce la femme d’il y a quelque instant ? Non le crie était trop aigue pour une femme d’age mur. Ce crie d’Effrois semblait plutôt à celui d’un jeune enfant. Jade ? Non trop jeune. ON aurait dit un enfant.

Osaki arrêta net elle aussi et se tourna vers Han pour le regarder dans les yeux. Elle semblait envahie d’une inquiétude très importante. Il était évident que ce crie venait de quelqu’un qui souffrait ou qui au moins, ne vivait pas l’un des plus beaux moment de sa vie.

Elle se précipita à toute vitesse vers la source de la plainte. Han se tourna et la suivit du regard. Devant la porte de l’édifice, se trouvait un jeune garçon enfant étendu. Cela devait surment être une autre victime de ce bloc appartement maudit.

Suivant Myou de quelques mètres, il jogga jusqu’au corps et vint se placer à coté de Nana.

« Damned, un autre ? Je commence en avoir marre des gens morts…»

Il tourna la tête vers Nana et lui dit toujours de son ton neutre :

« Nous ne devrions pas le laisser là. Je sais où aller. »

Han devait apporter tout le monde à son endroit. Là, ils y seraient en sécurité. Au moins ils auraient un endroit pour dormir et pour faire un point sur cette désastreuse soirée.

Un constat s’impose pour la personne qui prendra les signes vitaux du petite Zacharie. Son cœur bas faiblement mais la couleur bleuté de sa peau sous entend une hypothermie grave.

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Han vint le rejoindre rapidement. Il lui dit qu’il en avait assez de voir des morts...Sous la nervosité, elle faillit en rire. Comment pouvait-il parler ainsi devant le peut-être cadavre d’un enfant. Elle resta stupéfait pendant quelques instants, ne sachant pas si elle devait s’en prendre au Japonais ou simplement agir pour l’enfant... Le choix n’était pas très difficile puisque cet idiot était probablement voué à l’être toute sa vie... Quoiqu’une première impression est souvent fâcheuse et non déterminante.

Un soupire passa avec difficulté à travers ses lèvres tremblantes. Myou inspira, ferma les yeux, les rouvrit puis avança vers Zacharie...

Elle aurait voulu crier toutes les injures du monde en se pencha pour prendre l’enfant entre ses bras. Elle resta accroupie, l’enfant maintenant entre ses frêles bras, son dos touchant toujours l’herbe jaunit de cette ville puante.

Sa main qui ne le soutenait pas s’aventura vers le fragile coup de l’enfant...
Elle attendit et... Un battement se fit sentir... Puis un autre. Très faible, à une cadence non soutenue, mais il n’était pas mort.

Elle se leva promptement, comme si son corps avait oublié que l’enfant pesait quelque chose. Elle souriait. Un sourire bourré d’inquiétude, mais un sourire tout de même. Si elle ne s’aurait pas retenu, elle aurait éclaté en sanglot sous le poids intense du stress.

“Il n’est pas mort...”

Lui dit-elle dans sa langue natale.

Une chance, une mince lumière brillait toujours. Autant mieux s’accrocher à elle au lieu de se laisser emporter dans un abîme éternel.

Elle recommença donc à marcher. Son corps reprit conscience qu’il était fragile donc sa marche devint plus maladroite, moins rapide. Osaki allait se diriger le plus rapidement vers un hôpital... Quoiqu’elle n’avait aucune idée d’où aller. Elle espéra donc que le blond allait l’aider pour sauver ce petit... Comment un enfant pouvait-il se retrouver dans cette misère? C’est presque impensable... Les parents devaient être morts d’inquiétude se dit elle.

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Han regardait Myou aller avec l’enfant. Elle semblait s’inquiéter mais Rivers était certain que l’enfant était mort. Toute cette histoire était en quelque sorte en train de déprimer le garçon. Il banalisait presque tout ce qu’il voyait. Trop de choses étaient arrivé et trop peu de temps. Mais c’est demain qu’il réalisera mieux. Il réalisera que sa vie venait probablement de tourner au cauchemar. Enfin pour le moment, il ne voulait qu’une chose, dormir pour oublier pendant un moment tout ça.

Mais voilà que l’autre commence à ce soucier des mômes. L’enfant semblait bien mal en point oui… L’hôpital ? Non il aurait le temps de mourir trois fois avant de se faire sauver.

Han lui connaissait une place où le jeune était certain de vivre.

« Vien, en va prendre le bus je sais où aller. Ce ne sera pas à l’hôpital le jeune va avoir le temps de mourir et de se marier dans une autre vie avant qu’il passe devant un médecin. »

Le japonais déplaça son étui à guitare sur le coté de son épaule et avança vers Myou. Il prit l’enfant de ses bras. Il voyait bien qu’elle n’allait pas faire plus de cinq pas avant de l’échapper par terre. Rivers prit donc l’enfant dans ses bras et prit la direction de la rue. Il y avait un arrêt de bus non loin et ils allaient le prendre. Le dernier circuit devait passer dans quelques minutes et ils ne devaient pas le rater.

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L’enfant était froid comme la mort bien que sa poitrine continuait à monter et à descendre à un rythme faible et irrégulier. C’était pénible de devoir tenir un être aussi faible et léger, sur le point de trépasser… L’appartement, le père de Han, Jade sa demi-sœur et maintenant cet enfant… Myou commençait sérieusement à regretter son geste de déménager dans ce pays. Pourtant, l’on lui avait parlé d’un endroit chaleureux et accueillant. Au lieu de cela, elle avait rencontré un autre Japonais froid et asocial, puis elle avait eu plusieurs hallucinations et maintenant… Un enfant gisait dans ses frêles bras presque mort.

La tête de Osaki lui tournait, tous ses membres tremblaient. Elle avait du mal à contenir son sang-froid, elle aurait aimé courir le plus loin possible de cette ville et ne plus jamais revenir. Elle aurait voulu à cet instant, se lover dans les bras de Ren et y rester à tout jamais…

Près de l’évanouissement, la jeune Japonais put retrouver quelques uns de ses sens quand Han lui dit qu’il connaissait un bon endroit où amener l’enfant. Pourtant l’hôpital serait le meilleur moyen… Il aurait des soins rapidement avec son état… Mais bon, la ville lui était encore inconnu et le Japonais semblait très bien savoir ce qu’il faisait.

Han prit enfin l’enfant entre ses bras quand Myou allait s’écraser sur le sol. Son énergie la quitta comme si on lui volait à grandes gorgées. Le jeune mourrant enfin entre les mains de l’homme, Myou put mettre ses deux mains sur ses cuisses en baissant la tête. Son dos était courbé et elle avait fermée les yeux pour prendre une grande respiration qui goutta la pollution de la ville.

Puis elle se redressa, les jambes et les bras tremblants. Le Japonais avait prit la direction d’un arrêt de bus donc elle se mit à le suivre, regardant constamment derrière elle. Sait-on jamais ce qu’il pourrait arriver maintenant.