Quelque part dans une ruelle de la basse-ville.

Dans la soirée, pluvieux

Richard venait de quitter John, qui attendait une personne avec impatience.Il marchait depuis un bout de temps et il était maintenant rendu dans la basse-ville.La pluie qui avait arrêté un peu, redonnant un peu d'espoir au habitant, recommenca à tomber, au désespoir de Richard.Tout était sombre et le ciel était d'un gris foncé, presque noir, donnant un aspect terne aux bâtiment, victime de la constante pluie.Maugréant qu'il allait être malade de nouveau, il chercha un endroit ou se réfugier, étant dans un quartier ou il n'y avait aucun commerce, il passa par un raccourci qui menait vers une rue avec des dépanneur et des trucs du genre.

Il passa par une ruelle entre des appartements, des déchets jonchaient le sol et des ruisseaux d'eau coulait sur chaque coté du passage.La hauteur des bâtiments donnait l'imprétion que la ruelle était très petite et encore plus à celui qui passait par la. De vieille caisses de bois était emplié sur la coté et de l'autre, un échaffaudage était situé un peu plus loin, rouiller par le temps, il n'avait pas l'air très solide.Étant habituer par se genre d'endroit, Richard s'y engaga sans hésitation et marchait d'un pas lent, ses bottes de cuir résonnant sur le sol.Le soir tombait et la ruelle commencait à se faire sombre, Richard se fondit parfaitement dedans, disparaissant tel une ombre, il se diriga vers la rue qui était situé une centaine de mètre plus loin.

Alors que Richard marchait dans la ruelle depuis quelque minute, un cri le fit sursauter. Son coeur battait maintenant dans sa poitrine et chercha des yeux d'où venait le cri.Il aperçu une fenêtre éclairé d'une lumière étrangement orangé. Il se questionna comment quelqu'un pouvais crier si fort et surtout, pourquoi???Avait-il besoin d'aide, cet homme, probablement oui un homme vu le cri qu'il a poussé, était peut-être en danger? Richard s'en foutait totalement, mais quelque chose le poussa à chercher et c'est la qu'il vit que la porte qui était un bas de la fenêtre était entre-ouverte, alors il se dirigea vers celle-ci.

Il marcha d'un pas lent vers la porte, et l'ouvra tranquillement et jeta un coup d'oeil inquiet à l'intérieur. C'est dans ses jours la que Richard aurait préféré rester en Allemagne avec sa famille et cet penser lui fit un noeud dans l'estomac.Grimacant d'angoisse, il se dirigea vers le dit lieu ou l'homme avait poussé un terrible cri.

Ayant préalablement sorti sont couteau de chasse de sa botte, par instinct. Continuant d'entendre des cris atroces qui faisait trembler Richard, il serrait sont couteau avec force et il atteigna finalement la porte. Avant de regarder se qui se passait, il se demandait, qu'est ce qui pourrait faire crier un homme aussi fort et pendant si longtemps.La petite voix dans sa tête qui disait qu'il allait bientôt le savoir ne le rassurait pas vraiment...

Il jeta un coup d'oeil dans la pièce et se qu'il vit l'horrifia, un homme était littéralement entrain de brûler sur le sol, mais seulement la tête.Ne s'attardant pas au fait que seulement la tête brûlait, étant un peu trop horrifier pour penser quoique se soit.Il tenta de lâcher un cris, en vain, il était la, la bouche ouverte, incapable de faire quoique se soit.

Sa respiration était saccader et il regardait de gauche a droite par nervositer.Sont front perlant de sueur, il dé-fixa du pauvre homme qui ne bougeait plus beaucoup et posa les yeux sur un autre individu.Il était la, debout, immobile devant l'homme qui était désormais mort, il avait l'allure d'un gars qu'il avait déjà vu dans un film dont il ne se souvient plus très bien.Il tenta de fuir, avec succès, se retournant a la vitesse de la lumière, il tenta de courir mais il se prit les pieds et tomba dans les escaliers...

Ayant repris équilibre sur ces jambes, Richard baissa les yeux sur l'escalier et commença à les descendre quand il s'arrête net, l'homme qui était dans la pièce était maintenant devant lui et il ne bougeait pas et ne disait rien...Un cri de stupeur s'échappa de la bouche de l'allemand. Les yeux plus grand que leur orbite et la mâchoire presque disloquer, il remonta les marches et tenta de dire quelque chose qui resta quelque son imperceptible, dût a la terreur dont il était victime.

Regardant de gauche a droite, il chercha une porte de sortie, mais il n'y en avait point, ne voulant pas retourner dans la pièce ou le pauvre homme avait tragiquement brûler. Ne sachant plus quoi faire, il remarqua qu'il tenait toujours sont couteau dans sa main, voyant l'autre debout la avec sont grand manteau, il décida que la seul chose a faire était de se battre, peut importe qui c'était, il devait se battre si il voulait vivre, comme il l'avait si bien apprit dans la rue.

Alors Richard se plaça, sont couteau en main avec la ferme intention, de se battre pour sa vie, car cet homme la n'avait pas des bonnes intentions, ayant déjà tuer un homme d'une façon plutôt horrible, il n'avait pas l'intention de mourir de la même façon ou presque...Alors il se tint la une demi-étage plus haut avec l'étrange homme qui était plus bas et qui ne bougeait toujours pas, faisant tournoyer sont couteau, il s'apprêta à attaquer...

Toujours debout la, avec la petite voix dans sa tête qui lui disait: Gehen GREIFT Angriff an, Angriff,!!! Il avait beau vouloir écouter cette petite voix, ses jambes était figer par la terreur et Richard n'était pas capable d'avancer.Il ferma les yeux et cru même sentir des larmes venir sur le coin de ses yeux.La situation le dépassait totalement et il ne savait plus quoi faire, cet homme n'était pas normal et c'est se qui clouait ses pieds au sol.

Secouant la tête, il revint à lui-même, l'autre était toujours la à regarder ses pieds, il se dit que cet homme n'était en fait que le fruit de son imagination, lui qui devenait un peu fou quoi...Mais la victime du désermais "tueur" qui se tordait de douleur était pourtant si réel...C'était ironique, mais tout cela était trop irréel pour être compris.Alors afin d'être sûr une fois pour toute, il décida que la seule façon d'être sur, était de se jeter dessus et tenter quelque chose, de le blesser ou de le tuer...

Alors il sauta de l'endroit ou qu'il était placer, tel un fou, il cria et visa le coeur avec son couteau.Il souhaita de toute ses forces que le couteau perce quelque chose, c'était certes difficile a souhaiter, et peu probable que sa ne perce pas, mais après se qu'il venait de voir, il lui était difficile de penser autrement...

Après se saut plutôt exceptionnel, Richard atterrit sur ses pieds et tibuta par en avant mais il réussit a rester sur ses pieds.Sa respiration était saccader et il avait de la misère a réaliser qu'il avait foncer sur absolument rien.Il reprit sont souffle quelque seconde et constata véritablement qu'il n'y avait plus rien dans le manteau, était-il réellement devenu fou?Cet question le harcelait toujours.

C'est après qu'il ressentit une douleur assez violente dans sa main, il laissa tomber le manteau et vit avec horreur que sont couteau était planter dans sa main, il lâcha un crie de douleur et de panique et tomba sur les genoux.Une larme coula sur sa joue droite et retira le couteau tant bien que de mal, avec une douleur encore plus aigue.Le sang coulait abondamment et il n'avait pas grand chose pour arrêter le saignement, il enleva donc sont T-shirt de Rammstein, sont si précieux T-shirt, mais bon il tenait a la vie, peut importe si elle était chienne ou pas, de toute façon il avait John dans sa vie...

Il prit donc sont gilet et entoura sa main et mit une très forte pression afin d'arrêter le saignement main, ses tendons était sectionné et il n'arrivait plus à bouger les doigts et sa faisait horriblement mal...Avec de l'effort il se releva et entendit des bruits a l'étage, des bruits de pas, et un éclat de verre, la fenêtre qui mène a dehors, pensa t-il...Il se dirigea vers l'extérieur en espérant trouver l'origine de la vitre casser, malgré l'horrible douleur qu'il ressentait dans sa main.

Pendant ses quelques pas, il pensa a tout cela et se dit que se ne pouvait pas être réel, comment sont couteau aurait pus lui transpercer la main si le tenait par la poignée...L'homme qui s'évapore, l'homme qui br....Cet simple penser le fit trembler et essaya de retirer l'image de l'homme agonisant dans ces crient de douleurs et il fini par arriver a l'extérieur....