Une femme inconsiente....

Invité

KEn lui indiquas une direction en lui expliquant ce qu'il va aller faire. Juliette, heureuse qu'il entreprenne la préparation du café, lui souria et le remercia,

"Je vous remercie de faire du café, déjà que je dois chercher les pilule et le reste, aller en plus fouiller dans sa cuisine m'aurait déplus, merci."

Sur ces mots, elle se dirigea vers la salle de bain. Elle était ni petite ni trop grande, propre, avec une grande baignoire, un grand miroir et tout se qui est nécessaire a une femme le matin...

Juliette commença par aller voir dans le placard pour des aspirine ou des tylénol. Après avoir mit tout le placard dans un fouillis qu'une jeune adolescente aurait prit plaisir a faire pour décourager sa mère, Juliette trouva enfin l'objet tant convoiter. Elle allait partir quand elle vit l'ampleur du désastre. Elle ne pouvait partir sans faire un semblant de ménage. Elle commença et a près une bonne dizaine de minute elle remit tout en place, et même plus.
Heureuse d'avoir trouver des tylénol, elle chercha dans la salle de bain un verre ou quelque chose de ressemblant, mais ne vit rien de telle.
après tout, sa soeur est une raveras, elle ne va jamais laisser traîner quelque chose qui ferais croire que quelqu’un a une vie ici, hélas sur ce point, elle ressemble tellement a sa soeur.
Elle alla rejoindre Ken dans la cuisine pour prendre un vers d'eau.

Il commençait à flotter une bonne odeur de caféine quand elle rentra dans la cuisine. Elle passa devant Ken pour aller proche de l'évier. Elle se tourna vers se dernier:

" Est-ce que tu as vue où était les verre? J’aimerais préparer un verre d'eau au cas ou...?"

Puis elle s'accota sur le bord de l'évier.

Invité

Elle revint une dizaine de minutes plus tard. Pendant ce temps, Ken avait préparé les cafés. Sur la table, les liquides chauds dans les tasses créait une douce fumer sur le dessus, se dispersant dans l’air lorsqu’elle était suffisamment froide. Le sucrier et le café en grain se tenaient tout près des tasses, prêts à l’utilisation. Ken n’avait pas oublié de mettre une cuillère dans chacune des tasses. Son regard se leva doucement vers la jeune femme lorsqu’elle se pointa.

Pourquoi se trouvait-il ici, en ce moment? Toute sa vie, il avait cessé d’être social envers les autres. Son passé l’avait profondément troublé, il s’était carrément refermé sur lui-même. Devenant avocat, sa vie social avait un bond dans le vide. Seulement maintenant, il avait la contrainte de se montrer le plus normal possible. Personne ne devait savoir.

Ken sortit alors de ses pensées pour répondre spontanément à la question:

« Deuxième armoire en partant de la droite.»

L’avocat prit alors la direction de la table pour s’asseoir devant sa tasse. Machinalement, il le prépara en versant deux cuillère pleine dans son café avec deux autres pleines de sucre. Disons que le café aidait à tenir les yeux éveillé. Dans son travail de bureau c’était le plus normal du monde de se droguer à la caféine.

Maintenant, que devait-il dire? Ken n’avait pas vraiment envie de partager sa vie. Surtout avec une inconnue qui était arrivé de nul part. Non, il préférait, de loin, tout garder en lui. Quand personne ne sait, personne ne se moque ou personne ne méprise. Le passé était passé, rien ne pouvait le faire revenir et encore moins, le réparer.

Il prit une gorgé de son café noir tout en réfléchissant...

Invité

Elle remarqua deux tasses d’un liquide chaud sur la table, vit Ken se servir un café, contente, elle alla le rejoindre et s’assit a table en préparant son café, un bien noir comme elle les adoraient. Elle remarqua le silence gênée qui régnait dans la pièces, prise d’une soudaine envie de bouger, elle alla chercher les verres dans l’armoire. Ceci fait, elle regretta aussitôt de ne pas avoir prit plus de temps, maintenant elle était de retour a la table devant se silence. Pour briser la glace elle se mit à parler :

« Je ne sais pas si demain vous travailler ou vous avez quelque chose de prévue, mais si vous désirer allez dormir, il na pas de problème, moi mon cour n’est qu’a midi, alors… c’est comme vous voulez…. »

On pouvait bien remarquer que Juliette se sentait mal allaise, qu’elle n’avait pas l’habitude de penser au bien d’une autre personne, hélas c’est ça de vivre seul….

Tanner de se sentir inutile, elle se leva et se dirigea vers le salon pour prendre des nouvelle de sa sœur.

Invité

Lui-même se sentait un peu mal de ne rien dire. Peu importe… Les stupidités sortent souvent d’une bouche qui n’a rien à dire. Or, Ken laissa son regard indifférent sur sa tasse. Il porta doucement le liquide chaud à ses lèvres. Soudainement, la voix de Juliette brisa le silence qui s’était installé entre eux. L’avocat releva son regard par réflexe vers le visage de la jeune femme.

S’il travail? Évidemment, mais au point où il en était, c’était normal de rester. Par orgueil, il préférait ne pas quitter. Même si le pire des pêchés était celui-là, il ne pouvait se résoudre à partir et à la laisser seul. Pourquoi? Probablement par un élan de bonté, ou il ne savait quoi. Ces mots sortirent de sa bouche, malgré lui :

« Non, non. Ça ira. De toute façon, c’est bien moi qui l’a déposé ici, donc, par conséquences… Je dois rester. »

Il reposa son regard sur sa tasse. Quelques minutes passèrent. Des minutes éternellement longues. Puis, Ken sentit la jeune femme bouger, se lever et partir. Sûrement vers le salon. Oui, c’était ça vivre seul. Ken en était plus qu’au courant. Il n’avait jamais vraiment eux de relation avec d’autres femmes. Il s’enferma sur lui-même, c’était plus facile que de se montrer.

Malgré tout, il but complètement son café, perdu dans ses pensés. Il se releva doucement en prenant soin de replacer sa chaise. Puis, d’un pas lourd et fatiguer, il se dirigea vers le salon, pour voir lui aussi comment se portait la jeune suicidaire.

Invité

Juliette était en train de vérifier la température de Gabrielle quand Ken arriva dans la pièce.

Juliette se releva a son approche et lui souris, elle ne pue s’empêcher de remarquer que Ken avait l’allure d’un sportif au large épaule, tous dans son allure exprimait force de caractère, qualité primordial pour Juliette. Quand Juliette remarqua qu, elle regardait intensément Ken, elle se mit à rougir et se tourna vers sa sœur pour voir comment elle allait.

- Vous devriez vous étendre… vous avez vraiment l’air fatiguer, vous êtes sur de tenir le coup? Moi-même lorsque cette belle au bois dormant va se réveiller, je vais aller me coucher…

Se rendent compte qu’elle venait juste de se contredire… Au début, elle voulait qu’il reste et maintenant c’est presque si elle le sacrait dehors, pourtant elle n’avait vraiment pas envie qu’il parte.
Elle murmura :

-Je suis vraiment stupide…

Et elle s’assit sur le sofa, bien droite mais les yeux fatiguer. Elle entrecroisa ses jambes et elle se mit à balancer le pied du dessus.
Qu’est-ce qu’il aurait bien pus arriver à Gabrielle pour qu’elle soit dans cet état là? Pourquoi chaque personne qu’elle aime finisse par disparaître de sa vie… Bien des questions, mais aucune n’est répondu.

Invité

Ken pénétra enfin dans le salon. Juliette prenait la température de sa soeur. Ce tableau pouvait sembler très cliché, une soeur qui aide son autre soeur. Cependant, quelque chose avait mal tourné entre ces deux là. L’avocat s’était retenu de demander quoi que ce soit, ce n’était pas de ses oignions après-tout. Il s’approcha des deux inconnue, d’ailleurs, il n’était jamais aller chez quelqu’un aussi rapidement.

Le regard de Juliette pesait sur lui, pendant un instant, il se demandait ce qu’il pouvait bien avoir pour qu’on le regarde ainsi, mais elle détourna son regard. Bref, il oublia cette interrogation. Une fois encore, la jeune Juliette brisa le silence de sa voix. Ken ne pouvait pas refuser ce qu’elle disait, il était fatiguer. Très. Son rêve ne lui avait pas permit un sommeil des plus réparateur. Un mot glissa d’entre ses lèvres:

« Merci...»

Il remarqua un divan à une place, éloigner, au fond de la pièce. Automatiquement, ses pas se dirigèrent vers cette endroit. Ken s’assit mollement sur celui-ci en poussant un soupir d’effort ou de satisfaction. Il passa sa main sur son visage, aplatissant ses cheveux vers l’arrière. Enfin, il pourrait doucement dormir sans qu’on le réveille. Son regard se porta un instant sur Juliette qui semblait tout aussi fatiguer.

Doucement, Ken ferma ses yeux brunâtre. Le sommeil lui viendrait peu à peu, il en était sûre. Pour le moment, le calme était quelque chose de réconfortant pour lui. Dans son appartement, il était toujours seul, aucune personne ne faisait du bruit. Rien. Il avait apprit à vivre dans ses conditions. Renfermé des autres, sur lui-même. Cette soirée était quelque chose de presque nouveau pour lui.

Ses pensés dévièrent ensuite vers le cauchemar qu’il avait fait avant l’arrivé soudaine de Juliette. L’avocat espérait ne pas à avoir à refaire ce rêve, pas maintenant. Il voulait que son sommeil soit le plus récupérateur possible. Il se calla un peu plus dans le divan, ces jambes était étendu et écarter, ses mains jointes. Les yeux fermés, il avait la tête penché vers l’avant. Il attendait le sommeil, qui ne venait pas encore...

Invité

Pendant que Ken se préparait a dormir, Juliette décida de retournée a ses études.
Elle se mit à la recherche de papier et d’un crayon. Elle avait un examen et elle ne voulait surtout pas le manquer.
Elle chercha dans le salon mais rien ne montra que quelque chose contenais du papier.
Elle alla dans la cuisine et après un exploration complète de la cuisine elle trouva enfin sont papier. Elle retourna dans le salon et commença à écrire. On entendait juste le frottement du crayon sur le papier quand Juliette sentis un cou de vent. Elle se leva et alla vérifier si une fenêtre était ouverte mais rien.

« Mmm, étrange »
Et elle retourna dans le salon, vérifia comment allait sa sœur, la fièvre avait tomber et elle était a une température, selon Juliette, normal.
Elle se rassit et s’assoupit contre, sans le vouloir, sur le divan si confortable.

Deux heures, trois heure, quatre heures peut importe le temps passa sans souci, sans problême, sans histoire. Ken et Julliette dormèrent une bon moment et leur rêve furent normal genre de rêve qu'on oublie une fois réveiller.

Une lumière vive éclaira un instant toute la pièce. Une éclair avait tomber près de la maison et t'elle la première note de l'ouverture d'une symphonie le tonerre la pluie en gros l'orage recommenca. Le vent souflait très fort ou pouvais entendre un siflement aigue venant du deuxième étage et la pluie semblait lourde car on l'entendais très clairement claquer contre les fenetre.

alors ces ainsi que Ken et Julliette pasèrent d'un moment calme à une véritable tempête. Pourtant Gabrielle n'avais pas broncher elle dormais encore inateinglable.

Invité

Rêve flou. Rien d’autre. Le noir pendant quelques instants, l’autre d’après, des images incompréhensible dénué de sens propre. Voilà ce qu’était les rêve de Ken en se moment. Rien de très très extravagant et effrayant comme le dernier. Enfin, il passait une nuit réparateur. Le calme de la maison avait suffit à le faire passé dans le monde des songes et du sommeil. Cependant, même s’il savait qu’un jour, il se réveillerait malgré lui, il n’aurait pas pu prévoir que les éclairs s’en chargeraient pour lui.

Ce fut l’éclair qui tomba près de la maison qui le réveilla en sursaut. Son coeur fit un bond dans sa poitrine et il sentit l’adrénaline envahir soudainement son corps. Tous ses muscles se bandèrent d’un coup et il se releva rapidement en jetant un regard inquiet dans la pièce: rien. Rien n’avait bougé. Gabriella dormait toujours paisiblement sur le divan. Comment faisait-elle?

Dehors la tempête reprit encore de plus belle. Si cela continuait la ville serait inondée. Les pieds nue de Ken se dirigèrent vers la fenêtre. Il écartait les rideau blanc et mince qui ne cachait pas vraiment la lumière, mais qui permettait une certain intimité. La pluie tombait en corde dehors et les éclairs faisaient rage. Son regard se leva ensuite vers le plafond. Même, sur le toit, on entendait les gouttes tomber. Incroyable. Il rabaissa son regard avant de dire:

« Bon sang! Bientôt, il nous faudra l’Arche de Noé. »

Il soupira ensuite. Ken ne pourrait pas dormir et ni retourner chez lui. Quelle poisse! Demain, il se demandait s’il finirait pas aller travailler. Les choses empiraient à vue d’oeil. Que pouvaient-ils faire maintenant? Il se retourna ensuite vers Juliette, le rideau retomba mollement comme il était initialement. Ken se demanda si cette tempête avait été prévu par la météo. Il dit ensuite à Juliette:

« C’est fou non? Est-ce qu’ils ont précisé ce déluge à la télé?»

Son regard interlocuteur la sonda. Espérons que oui, car beaucoup de personnes se feront soudainement prendre par cette tempête affreuse. Avant que Juliette ne réponde, il posa son regard sur Gabriella. Elle qui semblait toujours paisible. Ce n’était pas normal qu’elle ne soit pas éveillé encore? Non? Il n’était pas médecin, c’était sure...

Invité

Juliette était perdu dans les ténèbres des rêves quand elle se fit réveiller prudemment par l’éclair et le tonnerre.
Elle se leva encore molle de sommeil et regarda sa sœur. Heureusement elle ne se fit pas réveiller par l’orage violent de dehors.

Ken s’approcha des rideaux et regarda dehors.
- « Bon sang! Bientôt, il nous faudra l’arche de Noé. » observa t’il

Il lui demanda s’il était prévu qu’il est une tempête de la sorte à la météo.
Juliette réfléchit sérieusement à la question et elle sentit le regard de Ken la sonder. Elle n’aimait vraiment pas cette impression.

-Je ne sais pas trop, à vrai dire vrai, je ne regarde pas vraiment le journal télévisé. Je n’aime pas trop regarder la stupidité des humains, j’aime plutôt l’étudier. Désoler.

Elle se tourna vers sa sœur, étrangement elle dormait toujours. Juliette commençait à s’inquiéter. Elle vérifia sa poule, si elle respire. Tous allait comme sa devait aller, mais étrangement on dirait qu’elle était déconnecter du reste du monde. Un coma? Elle commençait à se demander si elle ne devrait pas appeler un médecin…

- Dit Ken, je ne sais pas si tu as remarqué, mais tu ne trouves pas ça étrange qu’elle ne se soit pas encore réveiller? On ne devrait pas appeler un médecin?

Elle regarda Ken avec dans le regard tout l’angoisse que pouvait éprouver une sœur.

Invité

Elle avait pourtant raison. Les nouvelles semblaient si dérisoire c’est temps-ci. Meurtre, violence, vole, viole, etc. De quoi faire perdre la boule et envoyer à la dépression tout le monde. C’était uniquement pour cette raison qu’il ne regardait pas le télé-journal. Il entendait assez de crimes dans une journée. D’ailleurs, il en traitait. Pourquoi ne montrer ce qui n’est que déception et malheur? Pourquoi ne pas montrer, ce qui est, au contraire, heureux pour donner le sourire aux gens. Les humains sont étranges, souvent…

Son regard était posé sur la jeune femme quand celle-ci avait prononcé ses paroles. Subitement, ses propos l’intriguèrent. Étudier les humains, que voulait-elle dire? Elle était psychologue? S’il avait tout saisit. De toute façon, ce n’était pas si grave même si elle ne regardait pas les nouvelles, il avait posé cette question par simple curiosité.

La maison était devenue beaucoup moins calme. La noirceur qui régnait encore dans le salon était du au globe qui avait littéralement explosé sans explication trouvée. Heureusement que cette source de lumière était protégé par un dôme de vitre, sinon, il aurait reçut des éclats dangereux. Les gouttes qui tombaient sur le plafond donnait une impression de film d’horreur, ont sentait bien chaque petites gouttes s’écraser sur le toit. Un vrai déluge.

« Étudier les humain? Tu es psychologue, c’est ça?»

L’attention de Juliette fit ensuite attirer vers sa sœur. Lui-même trouvait cela anormal : les propos de la jeune éveillée lui confirma ses doutes. La question qu’elle lui posa le rendit un peu perplexe. Dans sa tête, il tentait de trouver une explication. Peut-on rester ainsi, inconscient, pendant longtemps? Pour sa rassurer elle vérifia son pouls et sa respiration. Un acte plutôt judicieux.

Pour réponde à sa question. Il n’en savait rien. Gabrielle semblait si paisible. Logiquement, elle ne pouvait pas être mal si elle n’avait aucun signes dangereux. Pourtant, son intuition lui disait que quelque chose n’allait pas. Peut-on vraiment être inconscient longtemps? Cette question lui trottait l’esprit depuis maintenant quelques minutes. Après mûr réflexion, il brisa le silence :

« Oui, justement. Cela fait quelque minutes que j’y penses. Je trouve cela anormal, en effet. Cependant, ni toi ni moi ne sommes médecin. Tu crois qu’il faut en appeler un? Bon… je peux toujours m’en charger. »

Pendant un moment, il se demanda où se trouvait le téléphone. Puis, il se dit qu’elle était sûrement dans la cuisine, comme dans toute les maisons. Nue pieds, il se dirigea vers la cuisine en traversant le corridor. Il entra dans celle-ci et chercha, de son regard et dans la noir, le téléphone. La forme d’un téléphone potentiel apparut dans son regard. Il s’approcha de celle-ci et prit le téléphone.

Il composa le numéro de téléphone de l’hôpital avant de poser son oreille dessus…

Invité

Juliette regarda Ken se dirigée vers la cuisine pour appeler l’hôpital. Un vide s’installa dans le salon comme une apparition soudaine. Elle entendait la symphonie de la pluie qui tombait goutte après goutte sur le toit. Les secondes passèrent et Juliette n’aimait vraiment pas la sensation du vide et pour la faire disparaître, elle alla rejoindre Ken dans la cuisine. Il avait le combiner sur l’oreille et il écoutait sûrement la sonnerie. Elle s’assit a la table et entendis une nouvelle qui semblait longue a venir.

Elle pensait a la rencontre peut normal qu’elle et Ken avait fait… Elle qui détestait tous être du sexe opposé, se prenais d’affection pour l’un d’eux… serait cette impression de froid qui régnait dans la maison de sa sœur qui la fait agir ainsi?

Juliette continuait de regarder dans le vide tandis que Ken Était au téléphone.

Ken prit le téléphone et compose la numéro de l'hôpital puis il approcha le téléphone de son oreille mais au lieu d'entendre le son d'une sonerie il entendie un crie aigue qu'il lui fit lacher le téléhponer. Suite après quoi le courant dans la maison coupa et tout plonga dans une inquiètante noirceur car seulement la lumière des reverbère éclairais légèrement la maison...

Invité

Le son qui parvint à ses oreilles étaient insupportable. Un cri perçant, aigus. Un cri qui, dans les films, nous font froid dans le dos. Ce cri parvint à ses oreilles, passant par le typant, les nerfs, le cerveau et pour finir dans le lobe temporal. Pour son cerveau, cette voix, cette tonalité était trop puissante. Soudainement, son corps décida d’avoir le réflexe de se dégagé de ce qui est désagréable. Un choque électrique incontrôlable le prit soudainement. Ken lâcha le combiner de téléphone qui tomba vers le sol en poussa un lui-même un cri :

« Aaaaaaaaaaaaaaarr! BON SENS!»

Le fracas du téléphone se fit entendre et tout s’éteignit brusquement. Tel une bombe de noirceur qu’on faisait tomber sur la maison. Tout devint noir, plongeant lui et Juliette dans les ténèbres. Maintenant, une question se posait, était-ce normal? Pendant un instant, les muscles de son corps se contracta. La violence du moment le prit de cours et il se sentit plutôt inquiet pendant une seconde. Seulement, sa rationalité prit le dessus.

« Juliette? Qu’est-ce qui se passe? Merde!»

Sa voix résonnait maintenant dans un vide. Le silence de la maison était devenu intense, mais les gouttes de pluie qui tombaient sur le toit était encore plus audible. Ken se sentit soudainement seul, comme si on l’avait arraché du monde réelle pour le mettre dans un monde de noirceur et de solitude. Ce n’était pas son monde actuel?

Pour l’instant, il devait se calmer. Il ferma les yeux, même s’il voyait pratiquement autant de noir. Cherchant dans son fort intérieur, il se demanda à lui-même quoi faire. Trouver des lampes de poche, serait la meilleur solution. Peut-être même aller voir si Gabrielle se portait bien. Évidemment, il savait qu’elle était toujours sur le divan. Une fois encore, sa voix retentit dans le noir.

« Trouvons des lampes de poche et allons voir si Gabrielle va toujours bien, peut-être s’est-elle réveillé.»

Impossible que cela soit anormal, des fusibles avaient sautés. Comme il n’était pas électricien et qu’il ne se trouvait pas dans un film américain, il valait mieux rester groupé et attendre que le jour revienne. Il était inutile d’aller voir au sous-sol pour se blesser, gravement même. Il attendit ensuite silencieusement que Juliette réponde.

Mais ce cri… ce cri…

Invité

Tout était silencieux tandis que Ken était sur le téléphone. Elle commença a attendre un petit sil ment quand Ken lâcha un cris et échappa le téléphone et qu'il tomba avec fracas.

Juliette se leva et alla rejoindre Ken quand il lui posa une question:
« Juliette? Qu’est-ce qui se passe? Merde!»

Étrangement elle resta sans voie, pour seule action qu'elle réussit fut de regarder Ken avec inquiétude et d'écouter la maison étrangement silencieuse.

Elle était perdue dans ses pensées quand Ken reparla:
« Trouvons des lampes de poche et allons voir si Gabrielle va toujours bien, peut-être s’est-elle réveillé.»

Elle répondit dans un murmurer qui la surprit elle même:

" Oui sa serait une bonne idée"

Pour une des première fois de sa vie elle ressentit le besoin d'être envelopper, de se sentir protégée.

Elle reprit d'une voix à peine plus forte:
"Je vais aller dans le salon voir si elle va bien."

Elle se dirigea vers le salon tant bien que mal, les bras croiser en une sorte d'étreinte solitaire.

Invité

Le cri qu’il avait entendu venant du téléphone résonnait encore dans son esprit. Pourquoi cette perte de courant en même temps? Pourquoi dans la vie tout ne dois pas bien aller? Depuis qu’il était né rien n’allait dans un chemin droit. En premier, ses parents qui étaient complètement cinglé au sujet de leurs « soit disant » visions et de leur disparition. Puis ce fut le temps où il sombra dans la drogue, un temps qu’il veut bien oublié. Au moins, il put se reprendre dans la vie et changer… mais… encore là ses difficultés personnelles ne l’aident pas. Pour finir, il en reviens ici, dans cette maison, qu’il ne connaît pas, avec deux femmes qu’il ne connaît pas. Et pour couronner le tout, une bonne panne de courant! Que demander de plus?

Au moins, Juliette voulait bien lui donner son aide. Il la laissa donc filer dans le salon avec un petit hochement de la tête. Pour ce qui était de sa peau à lui, il devait trouver des lampes torches. Oui, mais où? Il avait eut un mal fou à trouver les verres de Garielle dans ses armoires, comment fera-t-il pour trouver ses lampes de poches? Il avança alors dans le noir presque total vers l’armoire au dessus du frigidaire, mais il ne trouva rien. Même qu’il mit la main sur un truc qui lui tomba sur la tête.

« Ouch ! Merde! »

L’objet tomba sur le sol dans un grand fracas. Ken se recula ensuite pour se butter contre le comptoir derrière lui. Au moins, il ne se fit pas mal et il en resta là. Il décida alors d’aller au deuxième, c’était peut-être préférable. Il pensa soudainement à Juliette, il devait au moins lui annoncer où il allait. L’avocat cria alors :

« Je vais au deuxième!»

Puis, il prit la direction de ses escaliers pour les grimper doucement, histoire de ne pas se faire plus mal dans le noir. Les marches grincèrent alors sous son poids et il arriva dans le corridor sombre du deuxième étage. Intérieurement, il se dit que les lampes pourraient être dans la chambre de Gabrielle. Peut-être les gardaient-elle là pour les pannes de nuits? On dors dans sa chambre après tout, donc logiquement… Ses pieds nues avancèrent alors sur le bois du corridor. Il garda une main sur le mur pour se guider et il tourna à la première porte pour mettre les pieds sur le tapis de la chambre.

À présent, il devait savoir où chercher. Son regard tenta de percer la noirceur, mais il était plutôt difficile de s’y retrouver. Ken mit alors un pied devant l’autre en mettant ses mains devant lui. Pourquoi ça devait toujours arriver à lui? Ils étaient bien plusieurs milliers à Québec, non? Faut croire que le destin réserve beaucoup trop de surprise… souvent indésirables.

Ken marchait lentement dans le couloir sombre du deuxième. La chambre de la maitresse des lieux étais au fond du couloir alors il du, avant, passé devant la chambre d'invité dont la porte étais fermé. Le bureau pour ca part étais ouvert et Ken regarda, du coin de l'oeil, la pièce et vue, fugitivement, une silhouette au centre de la pièce mais elle partie tellement vite qu'il ne pu lui donné de sexe ou même d'age on pouvait croire que c'était simplement une haluciantion pourtant son coeur ne pu s'empêcher de batre plus vite et plus fort et il figea sur place comme si instinctivement son corps avais décelé une menace et avait vraiment eu peur. Mais dans le fond tout les être humain on cette peur instintive quand il son surpris.

Invité

Juliette était de nouveau au coté de sa soeur touours endormis a point fermer.

Elle maudisait la panne de courant... Comment savoir s'il est normal qu'elle dorme aussi longtemp sans bouger et sans montrée un signe de vie, sauf sa respiration...

Elle recommenca a s'impatientée... elle détestaiterais restée dans cette maison toute seule, comment fais sa soeur???

Elle avait hate au retour de ken... elle n'Aimait pas être seule ici, dans cette maison.

Juliette se mit confortable sur un des divans et entrepris de faire un petit somme.

Invité

Qu’est-ce que quelqu’un de normal ferait dans une situation comme celle-ci? La chair de poule vint immédiatement sur tout le corps de Ken, comme un choc électrique. Son cœur s’était mit à battre rapidement, beaucoup plus rapidement. Qu’avait-il maintenant vu? Qu’est-ce qui se tenait dans cette pièce? Pourtant, il ne se sentait pas si fatigué que cela. Néanmoins, il venait de faire un cauchemar, celui relié à ses parents. Ce pourrait-il qu’il ait halluciné cela? Et la présence dans tout cela, est-ce qu’une hallucination peut donner l’impression d’une présence? Beaucoup de question pour un humain…

Sans le vouloir, sans s’en rendre compte, les pieds du jeune Ken avançait doucement vers la pièce. Ensuite, il y entra. La curiosité est beaucoup trop grande pour être supportable. Malgré le noir et même malgré sa rationalisation. Son cœur battait toujours et il avait décidé de rebrousser chemin pour aller voir… juste voir. Le plancher de la chambre qui était plongé dans le noir craqua son arriver. Il se décida à parler pour rompre le silence qui avait été jusqu’à présent, très présent.

« Juliette, est-ce toi? »

Pourquoi pas? Après tout, elle avait peut-être voulu trouver les lampes de poche aussi. Il était vrai qu’il ne l’avait pas vu monter, mais bien se diriger vers la salon… Et, il n’avait pas entendu ses pas, ni sa respiration. Maintenant, un doute s’était peut à peut intégré dans son esprit. Quelqu’un d’autre était dans la maison. Ils n’étaient pas juste trois. Pourquoi alors ne l’avait-il pas vu avant, ni entendu? Quoiqu’il en soit, cela devenait un peu inexplicable pour lui., mais il finirait bien par savoir ce que cela était. Un produit de son imagination?

Encore là, le jeune avocat avait momentanément oublié d’aller chercher ce qu’il désirait. Juliette allait l’attendre en bas s’il ne se dépêchait pas, mais le désir de savoir si tout cela venait de son imagination était grande. Ce que Ken voulait le plus, c’était de démentir ses parents à propos des choses étranges qu’ils croyaient avoir vu. C’était là, un désir purement égoïste. Ainsi, il pourrait se démontrer èa lui même que toute ces années, il était le moins fou…

Ken approcha lentement, Le cœur battant à une vitesse angoissante, vers le bureau. Ses yeux commençait à s’accommoder à l’obscurité quand un réverbère reprit service subitement. Il projetât sa lumière jaunâtre à travers la vitre du bureau mais le fait que les rideau ai été tiré ne donna qu’un faible éclairage et rendit le bureau plus inquiétant.

L’avocat se rendit à l’entré de la pièce jeté son coup d’œil. Il se rendit bien vite à l’évidence qu’il avait halluciné car malgré son éclairage inquiétant cette pièce étais vide de locataire. Il tourna donc les talons, soulagé, pour reprendre sa recherche mais un grincement comme une personne marchant sur le plancher résonna dans le bureau qu’il avait maintenant à dos. Son sang se glaça.

*Description de se qui se trouve dans le bureau. À toi de réagir.*

Le lampadaire s’éteignit au moment même ou Ken regarda dans le bureau plongeant la pièce dans le noir. Le bureau deviens pourtant plus noir qu’il ne devrait être. En réalité il ne voit plus rien. Ces comme si dans la pièce un mur opaque bloquais à Ken la vue du bureau. Mais avant que le jeune avocat n’ai le temps de réagir des centaines d’œil s’ouvre, tous de couleur déférentes tous trop réel pour être là, et des dizaines de bras noir comme l’encre sorte de l’opacité de la pièce pour tenté en vain de le saisir. Ken tombe à la renverse et en même temps Gabrielle se réveilla en sursaut. Heureusement pour lui le phénomène disparue aussi par la même occasion.

Invité

Gabrielle se releva d’un coup laissant passer une crie de terreur. La jeune femme étais figé sur place la respiration haletante et les yeux braquer droits devant elle la bouche ouverte comme surprise. Gabrielle semblait visiblement terrifié. Sur le sol on pouvais voir une serviette mouillé.

Invité

Juliette se réveilla au son du crie de sa soeur. Elle se leva d'un bond etregarda avec stupeur sa soeur. Elle voyaitque trop bien que sa soeur était térrifier.

Elle pensa détendre un peu sa soeur en parlant, après tout, la surprise venait de passer.

-Voila que la belle au bois dormant est réveiller.... dit Juliette en s'approcha de sa soeur pour la réconfortée.

Elle commenca par vérifier son poue tout enparland.

- Tu as toruver un bien beau jeune homme, grande soeur. Et en plus, tu as trouver le moyen que je m'inquiète de toi. Je te dis des fois moi là... J'ai du être gentil avec un inconnus!! Bon asser parler de moi, toi, qu'est-ce qui c'estpasser?

Invité

Le noir… Qui aurait pu croire que la nuit pouvait être si intense dans une ville? Peut-être une pane général? Quoiqu’il en soit, il espérait que ce ne soit pas cela, puisqu’il n’avait toujours pas retrouver les lampes de poche. Ken avait, tout de même et en ce moment, la tête ailleurs. Maintenant, il avait vu quelqu’un ici et son instinct d’humain le poussait à aller voir toujours plus loin, à trouver une explication la plus rationnelle possible. Son cœur cognait toujours dans sa poitrine, c’était peut-être la peur ou simplement une excitation quelconque.

Subitement, une centaines d’œils s’ouvrirent. La scène ne dura pas longtemps, cependant, il crut distinguer les couleurs différentes des yeux. Un énorme bond se fit sentir dans sa poitrine. Un gigantesque choque électrique envahie en une fraction de seconde son corps en entier. Il ouvrit la bouche mais aucun son ne sortit, la voix était carrément bloquer sous l’effet de la surprise. Tous ses muscles furent bandé au maximum et il tomba à la renverse sur les fesses, au moment ou tout revenait à la normale.

Il resta sur le sol, le cœur extrêmement battant. Heureusement que celui-ci tenu le tout. Comment expliquer cela maintenant? Toutes les lois de la physique venait d’être détruite. Pouvait-il vraiment rationalisé le tout? Les yeux étaient ouvert dans le pénombre, il n’avait pas bouger d’un seul poil. Il respirait de façon saccadé. Une sur-dose d’information venait d’apparaître devant lui. Il lui fallait absolument un moment… du temps pour reprendre ses esprits, maintenant dans le néant.

Invité

Gabrielle ne réagis à aucun des dires de sa soeurs elle resta figé comme paralizé fixant avec une concentration anormal un fait inexistant. Après une trentaine de seconde elle lacha un énorme crie de douleur aigue. Elle porta ses mains à ses tempes puis elle retomba inerte sur le divan. Elle était encore en vie seulement sa respiration étais plus faible... et la fière avait redoubler d'ardeur.

Invité

Paniquée par le second crie de sa soeur et par sa chute sur le divan, gabrielle recula de peur et alla sa plaquée contre le meuble le plus proche.

''Je ne peux plus rester ici,je vais mourrire!!''

Elle repensa a cette idée a deux fois... elle se trouvait idiote. elle retourna auprès de sa soeur et remarqua sa faible respiration. Elle prit sa température, ELLE AVAIT AUGMENTER!!!!

Elle alla directement dans la cuisine et chercha une débarbouillette.