Une femme inconsiente....

26 Septembre, Oregeux. Début de soiré.

Les dix minutes sans rien dire lui parurent six fois plus longues, soit une heure. Au lieu de continuer à l’observer au risque de prendre une déparque, Ken promena son regard sur le paysage environnent. La ville était bien construite et le vieux Québec, avec son charme plus ancien, embellissait le tout. C’était plutôt dans la haute ville que Ken avait passé son enfance. Quoiqu’il en soit, le vieux Québec ne lui faisait revenir dans son esprit que les longs moments passé sur le port.

L’orage faisait toujours rage et, de ce fait, ils étaient presque les seuls sur la rue. Hormis quelques gens presser qui courait en ce protégeant de la pluie avec leur journal ou, encore, leur parapluie. Plusieurs automobiles passèrent à côté d’eux en les éclaboussant au passage. De toute façon, à quoi bon s’en soucier, ils ne pouvaient pas être plus trempé.

En tournant enfin une intersection, Gabrielle lui pointa sa maison qui semblait plus loin. Elle était blanche et plutôt luxueux comme bâtiment. Surtout en comparaison aux autres qui s’étendaient plus loin. Ken posa son regard sur elle, ses mots sortirent plutôt mollement de sa bouche. Elle tomba. Étant proche d’elle, il réussit à la retenir pour ne pas qu’elle se fracasse sur le parquet.

« Bon sang! Gabrielle? Tu m’entends?»

Elle ne semblait plus réagir. Ken s’empressa de la prendre dans ses bras en passant une main sous ses genoux et une derrière son dos. Pensant qu’elle avait tombé à cause du froid, il pressa le pas vers sa demeure. C’était plutôt normal qu’elle trépasse ainsi, la pluie et le froid de ce mois pouvait sûrement avoir raison de bien de personnes. Surtout avec ce qu’elle portait.

Ses pas résonnèrent sur le sol mélangé à un bruit de claquement de l’eau. Il finit alors par arriver chez-elle. Il leva quelques secondes son regard sur la maison qui semblait plutôt vide, enfin, de l’extérieure. Gabrielle était dans ses bras inerte, sa tête et ses bras pendait dans le vide. Ken frissonna. * Ce qu’il peut faire froid…* pensa-t-il.

Lorsqu’il arriva devant la porte, tant bien que mal, il réussit à l’ouvrir sans faire de mal à l’inconsciente. Éventuellement, il voulait la déposé sur quelque chose de mou. Il arriva dans le hall d’entré. Puisqu’elle n’était pas verrouillée, il dit :

« Il y a quelqu’un?»

Sa voix résonna dans le hall. Il avait crié assez fort pour qu’on puisse l’entendre le plus loin possible. Ken tenait toujours la jeune femme dans ses bras. Des gouttes d’eau tombaient sur le sol, sous lui. On pouvait entendre leurs bruits…

Gabrielle se calme après un certain temps mais sa fièvre ne tombait pas. Les couvertures commencait à devenir humide due à son linge trempé à un niveaux très élever.

[Il doit me détester pour le metre dans une position ausis désagréable .... ]

[Au contraire, je t'aime pareil! . Vive le R-P.]

Ken dut admettre qu’il n’avait pas prit bonne décision. Les vêtements mouillés de la pauvre jeune femme avaient traversés les couvertures. Maintenant, s’il ne les retirait pas, c’était l’hypothermie. Malgré les précisions qu’il avait prit pour éviter de la changer, cela le rattrapait. Il prit une grande inspiration. S’il était honnête, il n’y aurait pas de problème.

Premièrement, il devait rapidement remonter au premier et retourner à sa chambre. Il emprunta de nouveau l’escalier. Ses pas résonnèrent dans la maison vide et sombre. Le repensa soudainement à la présence qu’il avait ressentit au deuxième. Soudainement, il étouffa un juron :

«Ou… gnnnn !»

Son pied s’était frappé sur le cadre de la porte. C’est toujours dans les mauvais moments que ce genre de chose arrivait. Il détesta au plus haut point. Instinctivement, il porta ses mains à son pied pour le frotter. Ce geste l’apaisa au plus haut point, dégradant la douleur qu’il ressentait. Apres, quoi, il pénétra dans la chambre. Un peu plus loin, il remarqua une commode. Il s’approcha d’elle et ouvrit le tiroir du haut. Valait mieux prendre une autre robe, au moins, il en aurait moins à changer et cela se ferait le plus rapidement possible.

Ken prit une robe de nuit, croyant qu’il valait sûrement mieux la mettre en pyjama tout de suite. Il se retourna avec insouciance. Toutes les choses qui auraient pu paraître étrange pour un croyant du monde surnaturel. Ken ne l’était pas. Il croyait d’avantage au concret qu’à des choses invisibles. Il passa le cadrage de la porte et descendit les escaliers de nouveau.

Il entra finalement dans le salon avec la robe dans les mains. Il repoussa la couverture humide plus loin. Elle retomba sur le sol juste au pied du divan. Suite à cela, il figea un peu, hésitant. Pourquoi n’avait-elle pas de serviteur ? Il leva les yeux en l’air et rebroussa les manches de sa chemise. Passant une main dans ses cheveux, il dit :

« Quand il le faut, il le faut…»

Même si la conviction dans sa voix était presque non-présente, l’intention était de tout de même là. Ken se pencha vers Gabrielle pour prendre de ses deux mains le bas de sa robe. Ensuite, doucement, il le releva pour la faire glissé vers le haut. Malgré les pensés morales de la société, il devait le faire pour ne pas qu’elle souffre d’avantage. Ce fut les sous-vêtements du bas qu’il vit en premier. Elles étaient simplement noires.

La robe passa alors par-dessus son ventre qui montait et descendait calmement. Au moins sa folie intérieure était passée. Il dut, cependant, prendre un de ses bras pour la soulever et de son autre main continuer de retirer son vêtement mouillé. Finalement la robe légère passa par-dessus la tête de la jeune femme. Son soutien gorge était de la même couleur. (Évidemment qu’il avait regardé, il est un homme après tout.). Lorsque le tout fut retiré, il la retenait toujours d’un bras.

Il s’empressa de passé l’autre robe qu’il avait trouvé. Celle-ci était en soie rouge. Il la passa par-dessus sa tête et déposa la jeune femme sur le divan. Il ne restait qu’à l’ajuster. Et c’est ce Ken fit. Au moins, il pouvait dire qu’il n’avait pas profité de son était d’inconscience. De toute façon, c’était plutôt barbare et aucunement excitant. Ensuite, il regarda son visage qui semblait paisible. Elle semblait toujours aussi jolie dans cet état.

Ken s’assit donc sur le sol, juste devant le divan pour s’accoter sur celui-ci. Ses vêtements aussi était mouillé et ses cheveux avait eu le temps de sécher. Il n’était pas long après tout. Ken observa ensuite de plus près le salon. Espérons qu’elle ne soit pas offensée à son retour à la réalité. Il ne pouvait pas remettre la couverture, puisqu’elle était humide. À contre cœur, il se releva et prit la direction des escaliers.

Il remonta à la chambre pour tenter de retrouver une autre couverture. Avoir sut, peut-être ne serait-il pas resté coucher dans son lit ? Cela aurait été très égoïste pour cette jeune femme qui ne semblait pas avoir choisit son destin. Sa B.A. était faite pour bien longtemps…

Juliette se promenait dans le cartier quand elle se fit surprendre par un orage violent. Désireuse d'avoir un abrit, elle alla a la recherche d'un petit restaurant quand elle crut voir du coint de l'oeil, sa grande soeur, Gabrielle, dans les bras d'un homme. Elle avait du rêver, depuis le temp qu,elle n'avait pas eu de nouvelle, elle la revit dans une rue, dans les bras d'un homme. troubler, juliette réussi enfin a trouver le fameux restaurant qu'elle cherchait avec espoir.

troubler par cette rencontre inatendus, elle ne put retournée chez elle. Elle attendis que l'orage se calme pour retourner a l'endroit de la rencontre. Elle se rapplait que l'homme se dirigeait vers une maison blanche. Se n'est pas gros mais au moin, cest un début. De puis le fameux incident, elle n'avait plus revue sa soeur et depuis quelque temp, elle pnesait beaucoup a gabrielle. Est-ce une coincidence qu'elle la rencontre? Juliette ne s'attarda pas a la question, paya son café et alla a l'emplacement de la maison.C,était une maison blanche, luxueuse a comparer des autres. Une amosphère de froideur reiganit dans ce lieux. '' Cette atmosphère est propre a notre famille n'est-ce pas grande soeur?" pensa Juliette. Juliette se senti ridicule d'aller sonner a la porte.Q'est-ce q'elle dira? Depuis le temp qu'elle ne la pas vue. Né en moin, elle sonna. 1 minute, 1 minute et demi, rien ne sa passa. Elle possa la main de sur la poigner. Elle n'est pas verrouiller. Curieuse elle rentra dans la maison.

''bonjour il y a quelqun?"

Personne ne répondit a juliette. Elle regarda dans le portique et remarqua une paire de chaussure encore mouiller. Intriguer elle marcha un peu dans la maison en espérant rencontrer quelqun.

Juliette stopa net, elle avait entendu quelqun parler. Des paroles plutot hors contexte: Je ne serais pas comme lui… Je ne serais pas comme lui… non… PAS COMME LUI ! PAS COMME EUX !» Qu'est-ce que sa signifie? Est-ce qu'elle devrais continuer a avancer ou bien sortir et oublier cette histoire? Habituellement elle aurait reprousser chemin: renttrer dans une maison sans permision, en plus, elle n'est pas certaine que sa soeur habite la, masi son besoin de la revoir est trop urgent, trop de temp a passer, trop de guerre inutil, il est temp pour la paix. Mais que va penser sa soeur? Peut'etre qu'elle ne veut pas revoir juliette, mais malgré elle, elle continua a marcher. En quelque instant, elle rencontra un homme dans le corridors. Il avait l'air fatiguer comme s'il venait de se réveiller. Ils devaient avoir l'air idiot, une femme tremper qui regardait un homme fatiguer comme si c'était la premiere fois qu'elle voyait un homme. Sur ce fait l'homme lui demanda
Uuuh ! Merde ! Qu’est-ce que vous faite ici !?»

Abasaoudit par cette quesion, elle resta figée quelque instant. Qu'elle réponse devrait'elle dire? Elle venait t'entrer dans une maison sans autorisations... Mais qu'elle est le droit a l'homme de lui parler sur se ton apres tout,elle a bien le droit de voir sa soeur, surtout que sa fait longtemp qu'elle ne la pas vue. Remit sur pied par cette pensée elle répondit.
" et bien, ces simple, j'ai vue ma soeur rentrer dans cette maison et vue que sa fait longtemp que je ne les pas vue, je voulais m'informer de son état puisque vous l'avez porter jusque dans la maison"

Ellle prit un air sur d'elle et outrer, apres tout, il aurait pus répondre a la porte quand elle avait cogner non, et maintenat, il ne lui propose meme pas un bon cafée.
Juliette le regarda et dit:
" J'ai cogner et personne ne ma répondu, j'ai vérifier si la porte était vérrouller et non alors je suis rentrer dans l'espérence de voir ma soeur, mais puisque je me suis tromper je m'en escuse. Mais sacher que votre sens du devoir enver une jeune femme est peu dévolloper.aurevoir et merci. "

Sur ces mot elle alla vers la porte.

Ken se rendit bien compte que ses paroles avaient dépassé sa pensé. Il fallait, cependant, souligner qu’il avait été tiré d’un cauchemar. Alors, il était bien normal qu’il soit quelque peu irritant. Néanmoins, Ken avait reprit du mieux depuis les dernières secondes. Il s’était calmer et son esprit était redevenu adroit. Les propos de la jeune femme l’avaient cependant assez frappé.

Évidemment qu’il n’avait pas répondu. Pourquoi? Car il dormait, simplement. Son songe l’avait profondément engourdit. Maintenant, il était plus éveillé que voilà quelques secondes. Ses sourcils se froncèrent lorsqu’elle lui dit qu’elle les avait suivit. Pourtant, l’avocat avait regardé mainte fois derrière lui pour savoir si on le suivait. Malheureusement, il devait avouer qu’il n’avait plus fait attention lorsque Gabrielle s’était évanouit.

De plus, il sut qu’elle était la sœur de Gabrielle. Parfait! Ken n’attendait que cela pour quitter ces lieux et retourner chez lui. Après tout, il avait fait son possible en tant que citoyen, maintenant, c’était à la famille de faire le reste. La pauvre jeune femme semblait outrée de sa réponse. Elle ne lui répondit guerre mieux que lui en lui balança des insultes. Il n’en prêta pas attention, car elle s’apprêtait à partir. Il intervenu :

« Hop, hop, hop! Pas si vite ma chère. »

En disant ses mots, il s’approcha rapidement pour poser ses mains chaque côté de ses épaules, en faisant attention de ne pas lui faire de mal. L’air que Ken avait sur son visage voulait tout dire. Elle ne partirait pas si rapidement.

« Vous ne vous êtes pas trompé, votre sœur est dans le salon. Je suis profondément désolé de mes paroles. Je viens d’être réveillé, c’est normal. »

Doucement, il la retourna vers lui. Ensuite, il continua :

« Maintenant que j’ai accomplis mon devoir de citoyen, je peux donc retourner chez moi. Puisque c’est votre sœur, c’est vous qui devriez vous occuper d’elle. Je dois retourner chez moi, je travail demain.»

Si elle croyait un instant qu’elle allait quitter. Ken avait fait son possible pour le moment. Il n’avait pas a faire autre chose? Non? Il devait aussi penser à lui. Il était un avocat et son travail avait accru à cause des meurtres et des disparations qui avaient lieu, il était donc normal qu’il retourne se reposer, chez lui.

Son regard était maintenant posé sur Juliette. Il la regardait avec insistance, Ken avait hâte de sortir d’ici pour reprendre sa bonne vieille vie… normal.

Le regard de l'homme était maintenant posée juliette. Juliette comme réponse lui renvoya son propre regard de ses yeux vert sauvage.

" Je suis trés contente contente que vou ayer fait votre devoir de citoyen, mais hélas j'ai le malheure de vous dire que vous devez rester, clea fait plusieur année que moi et ma soeur on ne sais pas vue, alors en me voyant elle risque de me foudre dehors, pour tout vous dire je voulais juste lui dire mon bonjour et remettre les pendule a l'heure, j'apprécierais vraiment réellement que vous restiez. Je vois que vous etes fatigué, vous pouver aller vous coucher, mais rester. Et j'apprécierais que pour la prochaine fois, vous me dite tout simplement, attender madame, je déteste que l'es inconnus me touche.'

Sur cet mot, elle se libéra de l'emprise et lui tandis la main
"Mon nom est juliette et vous, vous nommez...."

Elle regada l'homme de manière insistante, comme si elle voulais en finir le plus vite possible .

L, homme s'excusa à Juliette, ce qu'elle apprécia grandement. Ken l'apporta au salon et lui montra Gabrielle endormie sur le divan. Cette vue fit ressortir toute sorte de pensée a Juliette, elle a 4 ans quand sa soeur lui avait préparer son déjeuner quand elle avait une pneumonie, elle a 10 ans avec Gabrielle, Gabrielle entrain de la réconforter car une gang de voyou lui avait prit son chien en peluche préférer. Juliette trouvait que revoir sa soeur a un moment comme celui ci, était idéal pour remettre la gentillesse qu, elle avait fait preuve auparavant.

- Je m, excuse Ken pour le manque de tact que j'ai fait preuve... Je ne sais pas si vous voulez dormir, mais savez-vous ou est la cuisine? J, aimerais me faire un café, puisque je risque de ne pas dormir de la nuit. Mon dieu, elle a l'air malade...

Juliette se pencha sur sa soeur et prit sa température.

"Elle est brulante, savez-vous ou est la salle de bain finalement, j'aimerais aller chercher des comprimée contre la fièvre, apres, je vais aller voir si je pourrais lui préparer un bouillon chaud, quand elle était petite, elle adorait ca, quand elle était malade."

Elle regarda Ken les yeux plein d'espoir.

Il écouta avec attention ses excuses. Pouvait-il ne pas les accepter? Après, ils n’étaient que mal tombé et avait simplement mal commencé leur rencontre. Peu importe, maintenant, c’était du passé pour Ken. Il acquiesça aux dires de la jeune femme, en signe de compréhension absolue. Seulement, un sourire amusé se dessina doucement sur ses lèvres, Juliette semblait si dévoué tout d’un coup. Dire qu’elle avait faillit partir, maintenant c’était elle qui voulait tout faire. Quoi qu’il en soit, Ken ne la laisserait pas faire le tout, seule.

Pour commencer, Ken pourrait s’occuper de faire un bon café. Pour ce qui est de la jeune soeur de Gabrielle, elle pourrait aller à la salle de bain et aller chercher ce qu’elle désirait. Une soirée plutôt banale allait commencer. Ken se dit qu’il ne serait pas rentrer avant un bon moment. Enfin... jusqu’à ce que la belle au bois dormant dédaigne ouvrir les yeux. Il dit alors, toujours avec un sourire amusé:

« Très bien, très bien. Voilà ce qu’on va faire. Moi, j’irai dans la cuisine nous faire un café. »

Il se tourna vers le corridor, puis d’un geste du doigt il indiqua une direction. S’il se souvenait bien, il avait aperçut la salle de bain tout près des escaliers qui menaient au deuxième. Ken le dit à Juliette:

« Là-bas, près des escaliers, se trouve la salle de bain. Allez-y. Pendant ce temps, je nous concocte nos cafés. Pour le bouillon, on verra après.»

Suite à ses mots, il prit la direction de la cuisine. On pouvait dire que son cauchemar le suivait toujours dans sa tête. Il détestait le rêver et depuis quelques temps, cela persistait. Ce rêve l’attaquait de plus en plus, le troublait et le tourmentait. Comme faire pour s’en débarrasser? Puisqu’il ne croyait en rien de ce qui attrayait la magie et autre... les chasseurs de cauchemar n’était pas une solution envisageable pour lui.

Il aurait tellement aimé ne pas être né dans cette situation. Heureusement, il reprit le droit chemin. Mais pour combien de temps encore? Il ne pouvait dire. Pour l’instant, son travail l’occupait assez pour enterrer ses envies.

Enfin, il arriva dans la cuisine. Il s’avança vers les armoires. Ken en ouvrit deux en même temps. Évidemment, quand on cherche quelque chose dans les armoires, on finit toujours pas tous les ouvrir. C’est lorsqu’on arrive à la dernière que l’objet désiré nous apparaissait. Comme le dit la loi, Ken finit pas trouver les tasses de cafés, le sucre, le café, la bouilloire, les cuillère et le lait cela lui prit quelques minutes, cependant.

C’est ainsi qu’il commença la préparation des cafés. Mettant l’eau sous la chaleur, il posa les tasses sur la table de la cuisine avec les reste des ingrédient. Il ne restait plus qu’à attendre Juliette pour lui demander ce qu’elle voulait. Pourtant, il ne recevait que rarement chez lui. Heureusement qu’il ne devait pas préparé quelque chose de plus compliqué...