Ils marchaient depuis un moment. La pluie continuait de tomber et, maintenant, l’orage était perceptible. Le froid commençait vraiment à s’infiltrer dans les pores de sa peau jusqu’à ses os pour les ronger rageusement. Même que la peau de ses mains était devenue plissé. Ken songeait à la grippe qu’il aurait bientôt. Espérons que ses anti-corps réussissent à le protégé de ce virus. Pendant le trajet, Ken avait son regard rivé sur elle. Évidemment, il regardait quelque fois devant lui pour éviter de tomber.
Les derniers évènements relataient d’une faible étrangeté. Malgré tout, Ken restait perplexe aux choses surnaturel. Ses parents avaient dit, un jour, qu’ils voyaient des choses étranges. Malheureusement pour eux, la drogue les avait carrément rendu cinglé. Ken et son oncle ne les avait jamais cru. Ensuite, plus rien, ils disparurent. Ken ne fut pas si triste que ça, d’ailleurs. Il ne pouvait pas dire qu’il les avait connu, mais une sorte de vide s’était installé inconsciemment en lui.
« De même pour moi. »
Ensuite, il se tu pour ne rien rajouter d’autre. Ken venait souvent sur la défensif à ce qui attrait à sa vie passée. Il n’adorait pas spécialement les intrusions fait par une quelconque personne. Bien qu’un jour, même s’il l’ignorait, Ken devra s’ouvrir sinon il finira à la même place que ses parents, au ciel.
Plus il y pensait, plus il se sentait mal à l’aise lui aussi. Évidemment, qui voudrait que cela paraisse? Non, Ken le cachait du mieux qu’il le pouvait, mais restait qu’il ne la connaissait pas beaucoup. Hormis son nom et le temps qu’elle avait resté à Québec. Le reste était parfaitement mystérieux. Surtout le bout de sa vie sur son suicide. Un suicide qui ne semblait pas vraiment voulu. Les choses étaient parfois étranges, mais il y avait toujours une explication plausible et concrète.
Est-ce que le septique à raison de croire ainsi?