Il pleut...nan il neige..enfin, il neige, mais la neige ets si fine qu'elle fond instantanément. Les gens sont bien habillés, certain pleurent, d'autres demeurent silencieux tout en tenant leurs parapluies. Je reconnais des visages, alors que moi on me méconnait. On se demande qui je suis. Et on se se souvient "ah oui,le fils Key!". Normal j'ai aps approché tout ce mond depuis des années. Je fume un cigare, dans mon costume à 100$ (oui j'ai un petit budget). Ma mère m'a dit de prononcé un discours, j'ai refusé. Le prêtre fait l'éloge funèbre. Ces mots résonnnents.
"Je marche désormais dans la valée de l'ombre de la mort, sois sans crainte, car dieux est à mes côtés. Tu as été poussièrs et tu retouneras poussières. Puisses ton âme trouver la paix aux côtés de dieu. Amen.
[i]Puis nous passon un à un balancer de la terre sur la boite en bois que l'on doit enterré six pieds sous terre.Je ne ressens rien. Mon père faisait passer son travail avant tout, comme moi. Je n'ai pas souvenir de conversations ou de bons moments avec lui, je ne souviens pas même de mauvais moments. Quelqu'un qui n'a jamais été présent pour moi ne le sera plus jamais. Après ça on part chez mes parents, pour manger, discuter. Ca ressemble à une fête...les momes défont leurs noeuds papillons et enlève leurs slips qui leurs rentrent dans les fesses. Les mecs repèret les gens avec qui ils ont envie de parler ou ils discutent avec des nanas, beaucoup pensent aux cousines qu'ils sauteront jamais. La plupart des filles affichent une triste mine. Ma mère est partie pleurer avec mes soeurs. Je reconnais le mère,tout les collèges à mon père, queles commerçants, des gens sur qui il a travaillé, des amis à lui (j'ignorais qu'il en avait), de la famille et des amis d'enfance à moi qui m'évitent et que j'évite.
J'envie mon Père là où il est il est en paix, moi je n'ai aps demandé à vivre et je vis avec ça chaque jour car je suis trop lache pour terminer cette sale besogne. J'aime les enterrements car ils sont un avant gout du mien.
