Appartement de Reith

Invité

Ceci est un appartement bien simple. Un trois pièce et une salle de bain qui donne sur une rue pas trop empruntée ni paisiblement calme. Un bloque qui contient quelques petites entreprises comme un bureau d'avocat ou encore une compagnie de publicité d'affichage. Rien de trop bruyant.

L'appartement n'est pas dans ce qui a de plus luxeux mais très bien habitable pour son prix. Il est tout de même bien entretenue par le propriétaire qui semble tenir à la valeur de son établissement.

Une journée pas trop exigeante. Juste bien occupée.

S. entra dans son petit appartement. Il observa ses fleurs sechés et ses poissons rouges dans leur aquarium rond.

Prennant soin de verouiller la porte, il alla ensuite jeter les fleurs et nourrir ses poissons. Verifia le niveau de PH dans l'aquarium. Lorsqu'il se retourna il fut surpris de voir sa télévision noir et blanc ouverte. Les nouvelles de la journée commencaient tout juste.

Il augmenta le volume et se dirigea vers la deuxieme pièce, La cuisine.
Ouvrant le frigidaire, il se dit qu'il devrait refaire l'épicerie.
S. prit une bouteille de jus d'orange et la secoua. A la télé ils annoncaient la fin d'un entreprise multi-milliardaire. pour enchainer sur un accident de voiture qui s'etait produite le matin sur la 6-40.

Buvant a même la bouteille. S. revint vers le salon. Ses pieces n'etaient pas tres grandes, mais il les avait decoré comme il aimait.

Un papier peint neuf, son aquarium avec ses deux poissons. Sa cuisiniere et son frigidaire fesaient la plus grande partie de la Cuisine.

sur le comptoir : Un four micro-ondes bon marché.
Une ventillateur près de la fenêtre et un évier contenant deux assiettes et quelques ustensile.

Pour sa chambre c'etait plus confortable. Quelques dessins affichés au murs pres de la petite fenetre. Un lit pour Une personne. une armoire et un bureau a tirroirs.

La salle de bain ne contenait que l'essentiel : Un bain-douche, un rideau.
un bol de toillettes. Sur le comptoir adjascent au lavabo. Se trouvaient un verre et ses outils de propreté. Brosse a dent, pâte, bref. L'essentiel.

la derniere pièce, le salon. Il fesait aussi office d'entrée. un sofa deux place addosé au mur. et son armoir près de la porte.

- C'est alors que ce brave jeune homme a sauté a l'eau et a secourue le chien de son voisin... Ceci conclu le buletin d'aujourd'hui. Merci et a Demain...

S. ferma la télévision. observa le cadran a aiguille accroché au dessus du sofa. il n'etait pas si tard. mais S. avait une petit routine.

Il termina son jus d'orange et alla se brosser les dents. avant d'aller se coucher, le jeune homme verifia encore une fois la Serrure de la porte d'entrée. Ferma les lumieres et se dirigea vers sa chambre.

S. ferma les rideaux, se déshabilla et se glissa sous les couvertures légères. Prêt a une nuit de Sommeil sans rêves.

Invité

S. ouvrit les yeux. Il faisait encore ~~nuit~~ dehors. Son cadran affichait 2h33 a.m. Ce n’était pas dans ses habitudes de se lever durant la nuit. Quelques secondes d’analyse de son corps lui informa que non, il n’avait pas envie d’aller aux toilettes. Pour cet éveil l’intriguait.

Il resta les yeux ouverts une bonne minute lorsqu’il perçue un son. Pas n’importe quel son mais quelque chose qui ressemblait plutôt à une faible musique qui semblait venir de loin. Une ~~mélodie~~ difficile à identifier mais tout de même perceptible. On aurait dit une espèce de flûte…

S. essaya de fermer les yeux et d'ignorer ce son. qui sait ? c'etait peut etre juste un voisin...

Mais non. il ne resista pas a l'envie de se lever. Il commenca par s'asseoir sur le bord de son Lit.
2heure du matin... Soit il revait. ce qui etait peu probable. soit quelque chose clochait a un haut point.

La petit musique s'eclaircissait dans sa tête. un vague sentiment qu'il percu comme de l'anxiété l'envahit lentement. Il se leva sur ses pieds et se dirigea vers le salon. vetu que de ses cullottes boxer.

Etait ce sa télévision ? il se rappellait très bien l'avoir eteinte. ce qu'il constata aussi. puis il alla ouvrir la fenêtre de la cuisine pour voir si le son ne venait pas de l'exterieur...

Invité

Dehors, il y avait une petite brise d’~~air~~. Le vent soufflait et laissait entendre un léger bruit qui sifflait. La musique semblait en effet venir de dehors mais elle semblait venir de très loin.

La rue était déserte de trafique probablement à cause de l’heure qu’il était.

Il passa la tête un moment par la fenetre.

oui. mais de par où ? Devait il suivre le son ? Si c'est un rêve, le docteur lui avait suggerer de tout faire pour savoir les messages de son subconscient.

mais rêve ou pas, il fais frais. il referma la fenetre et retourna a sa chambre. il fouilla dans son armoire pour des vêtement propres.

Enfila un t-shirt ample d'un gris uni. un pantalon tout aussi gris. et mis sa casquette fétiche. S'il devait rester jusqu'au jour, il preferait l'avoir...

il prit ses clé et enfila ses Nike. empoigna une bouteille d'eau sur le comptoir. et sortit en prenant, encore uen fois. soin de verouiller derriere lui.

oui, c'etait plus fort que lui. il voulait savoir ce qu'était le son. et d'ou il venait.

Il sortit par la porte principale du bloc et tourna la tête a droite et a gauche. a la recherche de la provenance de la petite musique.

replacant ses cheveux sous sa casquette il tourna a droite au premier coin de rue.

Il connaissait le quartier mais n'était toujours pas convaincu si c'etait bien réel. Un soulevement plus fort du vent le fit frissonner. il regretta de n'avoir pris un chandail en plus.

S. trverssa ensuite une rue. puis passa devant un terrain vague...

Invité

Sortie à l’extérieur du bloc, la musique devenait beaucoup plus facile à entendre. Une fois traversée le terrain vague désert, S. s’arrêta. La musique semblait venir de ~~plusieurs~~ places. L’effet écho n’aidait pas beaucoup l’identification de la source.

En ce qui concerne la musique qui devenait plus claire, elle mettait en S. un malaise. Pourquoi ? La mélodie qui était jouée semblait être une ~~symphonie~~ à elle-même. Comme si un instrument jouait à la force d’une centaine d’autre.

C’était une musique troublante. Une cacophonie harmonieuse qui pouvait avoir l’air de quelque chose d’improviser mais une régularité inquiétante était là. Elle avait un rythme irrégulier tel l’orgue d’une église qui jouait une musique macabre à la respiration d’un mourrant. Saccadé par moments, ~~sombre~~ à d’autre et violente parfois.

S. n'a jamais aimé ce genre de musique, des symphonie ou du classique...
mais cette fois, c'etait different. quelque chose le poussait a suivre le son.

Une voiture au loin passa en un leger vrombissement. il l'entendait parfaitement. mais au moment ou un crissement de pneu se fit entendre, la musique enchaina sur une note sourde. puis sur un thème saccadé.

Il devait être pres de 3 heure et le quart a présent.

a l'horizon la lueur devenait grisatre. annoncant la venue du soleil.
Mais il resta immobile...

un haut-le-coeur le surpris et il vomit ses restes de jus d'orange.
penché sur lui-même, il fixait le sol devant lui.

quand son estomac cessa de lui renvoyer son contenu il se redressa.
S. pensa meilleur d'oublier cela, puis crut bon d'en parler a Waterman. Il avait justement rendez-vous ce lundi.

La musique lui emplissait les oreilles. il se retourna vers le terrain vague. fit trois pas en direction du retour...

mais le sentiment de malaise l'interrompit. il compris qu'il ne pourrait pas partir tant qu'il ne decouvrirais pas ce qu'il y avait...

il but une gorgée de sa bouteille d'eau autant pour enlever le gout âpre de sa bouche que pour se donner courage.

il observa dans tout les direction. rien de tres special excepeté peut etre...

Invité

Le bruit du vent devint très intense. Ça sonnait comme s’il y avait une tempête et des vents de 120 Km/h. Un bruit de tornade saccageuse. Pourtant, l’air ambiant était le même que lorsqu’il était sortie. Une faible petite brise mais qui portait un vacarme infernal.

« Quoi ? »

Une vois fut entendu toujours en écho au ~~loin~~. Elle sonnait du même écho que la flûte qui se faisait enterrer par le vent polluant. La voix semblait avoir été celle d’un homme. Un homme âgé probablement.

Après ces paroles, la ~~réalité~~ changea. S. vue des courbes sans sens pendant un instant. Comme s’il voyageait à travers un espace inconnue. Des planchés courbés en couche partout autour. Comme l’intérieur d’un arbre mais sans couleur. Un maelström du temps cosmique concentré…

S. ouvrit les yeux et voyait le plafond. Une odeur déplaisante acide rôdait dans l’air. Le jeune homme sentait son visage une texture molle et pâteuse. Quelques coulisses se glissaient sur ses joues.

Il s’était vomit dessus en dormant, oui encore un rêve. Si réaliste ce rêve. Et la voix ? Des sons de cognement se faisaient entendre. Quelqu’un cognait à la porte de S.

S. toussa quelques coups. et se releva. Il ne prit pas la peine de regarder son cadran.

il alla directement a la salle de bain en criant

- Un Instant !

il s'essuya le visage a l'aide d'une serviette humide. posa celle ci sur le comptoir.

n'ayant aucun mirroir il ne prit pas la peine de verifier s'il avait tout enlever.
rajusta une meche de cheveux et se rinca la bouche.

Ensuite S. retourna a la chambre, observe son oreiller salit. Il prit une robe de chambre bleu epaisse pour finalement se diriger vers la porte d'entré.

Oui j'ouvre...

dit il lorsqu'il ouvrit enfin la porte...

Invité

Derrière la porte, dans le couloir se tenait le Dr. Waterman. Il portait un imperméable gris foncé et un chapeau. Il semblait un peu trempé. Ce qui laisse supposer une fine pluie à l’extérieur.

Il avait une expression un peu étonné. Il plissa les yeux et s’approcha davantage du visage de S. et dit :

« Sano ? Que se passe t’il tu vas bien ? »

Il était 1h30 pm et c’était l’heure du rendez-vous. Le Dr. Waterman semblait un peu inquiet.

Docteur Waterman. je croyais le rendez vous ce lundi... a moin que...

S. Regarda l'heure et se rendit compte de son erreure. Il invitat l'homme a entrer. et ouvrit pendant quelques instants la télévision a LCN. juste pour verifier la date.

Encore confus de son rêve. S. repondit au docteur en essuyant du doigt une coulée seché sur le bord de ses lèvres.

Si je vais bien ? A vrai direPas vraiment. Je vien de me reveiller. et comme vous pouvez le voir, c'est pas mon habitude ! Je vous offre un caffé ?

Sans attendre de reponses veritable, il se dirigea droit vert la cuisine. et fit couler de l'eau dans une caraffe vide.

Invité

Le Dr. Waterman souria à l'invitation de son client. Il inclina la tête pour accepter. Il retira son manteau et le mit sur un crochet à coté de la porte de Reith comme à l'habitue. Son chapeau alla se poser par-dessus ce dernier puis le vieille homme retira ses chaussures.

« Dit moi Sano, pourquoi t'es tu réveillé cette nuit ? »

Laurent avait l'habitude de prendre des nouvelles du quotidien de S. pour voir comment il vivait.

S. arreta tout mouvement, l'eau continuait de couler dans la caraffe.

Reveillé cette nuit ? mais non, S. venait a peine de dire qu'il se reveillait tout juste a son arrivé...

Il mit cela sur la probable mal-audition de monsieur Waterman, et repeta :

Je vien tout juste de me reveiller. En fait c'est vous cognant a la porte qui m'avez reveillé.

Il stoppa l'eau et mit la carraffe sur le rond du poêle. qu'il alluma au quart de force. Puis, S. retourna dans le salon et regarda le docteur.

Par contre Docteur, Cette nuit j'ai fait un rêve... Un rêve plus qu'étrange.

Invité

Waterman s'accouda sur la table. Il semblait intrigué par une situation précise. Comme si le jeune homme avait révélé quelque chose qui le concernait.

« Raconte moi donc ce rêve Sano, il m'interresse. »

Un regard curieux...

Sano eut un petit rire, et repondit au Docteur.

Eh bien, quand je vous en aurai parler, vous ne me croirez sans doute pas. Votre café est prêt. Je vais me changer et je vous revient.

Le jeune homme laissa la tasse de café près de monsieur Waterman. Il alla ensuite a sa chambre et ferma la porte a moitié. question de pudeur surement.

Il prit le temp d'enfiler des pantalons Joggings Noirs. ainsi qu'un T-Shirt Adidas Vert forêt.

Il se faufila au toilettes ensuite, sans regarder le Docteur et se peigna les cheveux. Il devait travailler plus tard ce soir. Aussi bien être prêt maintenant. Donc il attacha aussi ses cheveux avec son tissus aux Idéogrammes Japonnais.

Lorsqu'il allait sortir, son regard fut attirer par le miroir.

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