08 Janvier 2007
Vers 5:00 Am une Aube qui s'annonce dans les plus ensoleillées depuis longtemps
Dans cet immense refuge tout est calme. Le recouvrement du plancher de la première étage réfléchie la lumière extérieur qui entre comme de la lumière traversant le cristal des gigantesques fenêtres du Loft. Sur cet étage de l'appartement nous y apercevons tout, la table de chêne ainsi que les 4 chaises. Cet éclairage quasi naturel nous permet de distinguer tous les meubles, mais les couleurs restent d'un ton sépia de l’orange au noir.
Une lueur réellement artificielle provient d'un palier supérieur. Celle-ci provenant d'une lampe sur une commode d'érable sculpté. Cette lampe de chevet éclaire parfaitement cette pièce appeler la chambre. Des couleurs pastelles sont perceptibles même à cette faible intensité de lumière. Près de cette luminosité, une main gracieuse gît en émettant des signes de vie.
Certaine personne à l’oreille sensible pourrait entendre un bruissement, c'est en effet une respiration irrégulière et nerveuse.... En suivant la main, une épaisse couverture recouvre une silhouette féminine tremblant de frisson. Les yeux fermés du visage crispé, bougent dans tous les sens suivant quelque chose d'invisible, des yeux. La tête entière quand t'a elle fait de semi-rotation dans toutes les directions possibles. Suite à une grande observation cette sublime créature rêve d'une horreur.
En attendant qu'elle se sorte elle même de cette épouvante prenons le temps de voir que dans une de ses mains elle tient une photo dans un cadre de cette fausse représentation de l'argent. Une femme apparaît sur cette photographie, blonde et grande, semble porter en son sain un enfant. Pour déduire le tout : la mère de cette adorable endormi.
Tout-à-coup d'un crie étouffer la belle sorti d'un bond de son cauchemar, et de cette prouesse un bruit de verre brisé retenti dans la pièce.
- Qui est-ce ? S'écrira t-elle épouvantée...
En regardant autour, Ély se rendit compte en écartant une mèche de cheveux brun de sa vue que le cadre de sa mère se retrouve fracassé au sol.
- Non !!! Le désespoir dans la voix.....
Elle se précipite et ressort des décombres la photo. Cette image intacte est dans ses mains et Ély se sent comme une mère protégeant sa mère.
Et comme sans qu'aucune personne n'exerce de la magie ou des effets spéciaux un rayon de l'astre se levant fit son entré dans l'entre envahie d'émotion comme pour venir rassurer la douce effrayer. Ce rayon avec la grâce d'un spectre de lumière se posa sur la surface de l'accidenté maternelle figé sur le papier.
La coïncidence heureuse illumina cette journée et lui fit oublier cette rêverie affreuse qui la sorti de son sommeil. Ély se prépara donc pour une autre journée de fainéantise bien mérité après le temps des fêtes qu’elle à passer seul avec Maman encadré.