-Comme l’habitude-

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26 Septembre 2006, Nuageux [Une orage semble être prête a éclate] Début de soiré.

Des pas résonnèrent en cette soirée. Tellement le ciel était gris, on aurait pu dire que c’était la nuit. Faut-il se poser une autre question : est-ce toujours ensoleillé dans certains cœurs? Pour Ken ce n’était pas spécialement ainsi, quoiqu’il aurait bien voulu. Avec un peu de conviction, au moins, il s’était sorti de beaux sales draps. Heureusement que personne, mise à part ses proches, l’avait connu, ou bien se souvenait, de lui avant aujourd’hui. Peu importe…

Néanmoins, un homme à l’allure dure avançait en déchirant le silence de la soirée. Sur les quais c’était aussi silencieux. Quelques personnes s’y promenaient, mais Ken n’entendait aucune leurs pas d’où il se trouvait. Ayant maintenant pris l’habitude de venir ici pour s’évader un peu. Rien n’était plus pur que l’eau elle-même. La chemise blanche de l’avocat volait légèrement aux grés du vent. À son doigt, il portait toujours l’anneau fait d’argent. Aujourd’hui, il portait un simple jean noir.

Ses yeux parcoururent l’endroit. Il aimait le calme et il serait servit ici. Au contraire de ce que l’on pourrait pensé, Ken n’était pas anti-social. Non… il aimait prendre du bon temps, seul, car au moins on ne voulait rien savoir de lui. On ne voulait pas nécessairement pénétré dans sa vie pour tenter découvrir son passé. Enfin… ce qu’il était. Ses pas cessèrent soudainement, il était arrivé au bout du quai. De là, Ken entendait le son du claquement de l’eau contre les poutres de bois qui supportait le tout. Comme à son habitude, il avait laissé ses choses chez lui.

Après l’observation momentanée du paysage, il plia les genoux pour s’asseoir sur le rebord du quai. Il prit soin de retirer ses chaussures et ses bas avant de laisser pendre ses pieds. Il poussa une légère expression de surprise, l’eau n’était pas chaude, faute de soleil. Lorsque la température de son pied et celle de l’eau s’unirent, il se détendit. Pour se retenir, il avait poser ses mains chaque côté de lui et un peu en arrière pour pouvoir observer le ciel morose. Comment croire que tout ici semblait penché vers la dépression? Heureusement pour Ken, son travail l’occupait déjà. Il resta là un bon moment à ne penser à rien. S’il l’on peut croire que rien n’est pas une chose.

Puis, lentement, ses pensés dérivèrent vers sa vie passé. Son oncle et lui se parlèrent maintenant souvent. On n’aurait jamais pu en dire, au grand regret de celui-ci, que dans son enfance, Ken lui parlait souvent. Leur rapprochement était du au subite changement de voie accomplit par le jeune homme. Il en vint à se demander s’il allait bien aujourd’hui, il commençait à se faire vieux. Son vieil oncle lui avait aussi parlé des plusieurs relations qu’il avait manquées. Pourquoi revenir avec ce sujet? Ken avait tellement pensé à ce problème qu’il avait réussit à se mélanger encore plus. Ainsi, il préféra rester seul.

Un cri d’un corbeau le ramena à lui. Ses yeux bougèrent de leur orbite et sa tête tourna rapidement vers se cri. Il regarda un instant cet oiseau de malheur sillonner le ciel avant de disparaître plus loin. L’avocat se redressa ensuite et s’étira les bras avant de les reposer comme ils se trouvaient tout juste quelques minutes. Son regard se braqua ensuite vers ce que l’on pourrait appeler l’horizon, puisqu’on voyait légèrement l’autre terre de l’autre côté du fleuve.

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Gabrielle marchait lentement les bras pendant mollement et le dos courbé. Elle avait un démarche de femme à qui on aurait privé de toute joie de vivre. Elle étais afreusement pale et elle portait des sandalles avec un jolie robe de satin noir à bretelle mais visiblement pas très chaude.

Elle se dirigait vers le fleuve lentement mais surement ses cheveux bouclé noir étais mouillé et plusieur mèche étais coller à sont visage magnifique malgré le fait que le mascara qui avait couler produissait des larmes noir. Elle arriva au bord du fleuve ou elle ouvrit les bras paralèle à ses épaule et leva la tête au ciel. La pluie se mit à tomber en rafale. On croirait qu'elle se préparait à sauter.

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Après plusieurs minutes de contemplation, Ken détacha son regard de cette vue et revint, par le fait même, de ses pensés troublées. Il se sentit légèrement confus dû au moment de détachement de la réalité auquel son esprit avait été soumit. Doucement, il balaya du l’horizon qui s’étendait devant lui. Puis, il leva sa main droite vers son visage pour frotter ses yeux avec son majeur et son pouce. Sa main glissa jusqu’à son front pour repousser ses courts cheveux vers l’arrière.

Puisqu’il était seul, il pensait facilement à toute sorte de chose. C’était parfois mauvais, parfois bien. Pour l’instant, c’était moindrement bien. L’avocat repensait à ses parents qui avaient maintenant disparue depuis plus de 10 ans. Un détail lui revint à l’esprit, lorsque son oncle lui avait dit la vérité au sujet de ses parents. Ses parents voyaient des créatures, avait-il dit. Évidemment, son oncle et lui n’y avait pas porté une grande attention : ses parents avait tout de même été drogué. Pourquoi croire des drogués? Ce détail le frappa car de plus en plus de meurtres et de disparition survenait depuis quelque temps. Un rapport?

Ken poussa une expression de repoussement. Il secoua la tête en levant les yeux. Pourquoi commencerait-il à croire des parents fous? Ken ne serait jamais comme eux, jamais. Son regard avait observé encore une fois le vide quelques moments. Il était toujours assit dans la même position. Le jeune homme se sentait soudainement trop engourdit pour rester assit. Il devait se trouver la depuis un bon moment. Disons qu’il n’avait plus vraiment la notion du temps.

Soudainement, il sentit plusieurs petites froideurs sur ses épaules et sur sa tête. Dans l’eau du fleuve on entendit plusieurs petits bruits de gouttelettes. Le bruit se fit de plus en plus rapidement et la pluie commençait à tomber en rafale. Ken leva rapidement son regard vers le ciel. Il était temps, maintenant. Ce ciel morose avait toujours l’air de vouloir inonder la ville. L’avocat avait bien sentit qu’il finirait par mouiller. Il était temps de rentrer. D’une main, il prit ses deux souliers (maintenant trempé à navette) et se retourna vers l’arrière.

« Wow…»

Cette expression était sortit tout seule de sa bouche. Entièrement mouillé de la tête aux pieds, il aperçu une femme qui se tenait sur le bord du fleuve. Semblerait-il qu’elle aussi avait été prise sous la pluie, car ses cheveux long et noir étaient collés contre son visage. Sa beauté n’en demeurait pas moins intacte. D’ailleurs, son mascara avait coulé aussi, mais elle restait tout de même jolie. Ce qui rendait le tout légèrement intriguant c’était l’expression qu’elle affichait. Sa robe noir, trop fine pour ce temps, lui allait à merveille…

Il se surprit à avoir maintenant avancé la moitié du quai. Sinon, comment aurait-il fait pour l’apercevoir si nettement? Ken avait en effet avancé vers elle, mais pourquoi? Il ne la connaissait pas. Il ne se souvenait pas de l’avoir déjà vue. Il n’avait même pas prit la peine de remettre ses souliers, il les tenait toujours d’une main. Un autre détail le frappa. Pourquoi avait-elle les bras levés ainsi? Une expression d’incompréhension tordit son visage.

« Depuis quand je me soucis d'une inconnue?»

Même s’il le souhaitait, il n’arrivait pas à détacher son regard. C’était plutôt inusité comme situation. L’allure de la jeune femme l’intriguait, car personne ne se promenait en robe légère, surtout sous la pluie. Mise à part peut-être quelqu’un qui avait volontairement sortit de sa maison, qui avait volontairement venue jusqu’ici. Tout cela pour une chose…

Ken se surprit à marcher plus vite. Voulait-elle sauter? Ses sourcils se froncèrent. Si tel était le cas, il devait l’empêcher. Voilà ce qu’un citoyen normal devrait faire. Cependant, même si se geste était purement altruiste, peut-être que chez l’autre était-ce un acte d’égoïsme. Peut importe… la conscience qu’il avait l’empêchait de se poser des questions. C’était pourquoi il continuait d’aller dans sa direction. La pluie semblait être puissante, car son bruit était infernal. Les gouttelettes qui tombaient à l’eau faisaient maintenant un concert, ajouté à celle qui tombait sur le quai. Il devait attirer son attention :

« Hey! Vous!»

Il avait crié ces mots dans le but qu’elle les entende. Peut-être que cela ne suffirait pas, mais il ne tarderait pas à arrivé près d’elle. Ce qui était étonnant, c’était le fait qu’il porte secours sans savoir à 100% si les intentions de cette femme étaient évidentes. Par contre, son regard ne se détachait pas d’elle. Heureusement que le qui était fait en long, sinon, il serait déjà tomber à l’eau. Nue pied, il avançait toujours vers elle…

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Gabrielle sembla sourde à son apelle elle ferma les yeux et commenca à basculer vers le fleuve. Elle avait prévue sauter s'étais clair à présent et si personne ne la ratrapait bientot l'orage qui commencait réusirait à la tuer car l'eau étais démonter.

[Tu peut la ratraper Ken tu est rendue asser prêt.]

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Bon sang! Avait-il pensé. Cette femme ne l’avait pas du tout écouté, ou bien, était-elle simplement sourde. Elle commença à basculer dans le vide. Heureusement, Ken était maintenant assez prêt d’elle. Rapidement il passa un bras autour de sa taille pour l’empêcher de tomber dans le fleuve. Pourquoi avait-elle voulu faire cela? Ken se demandait s’il voulait vraiment le savoir. Après tout son acte avait été purement altruiste. Même si l’étrangeté de la femme y avait été pour quelque chose.

Il la ramena contre lui pour la remettre sur ses pieds. Suite à cela, il retourna la jeune femme vers lui. Son regard brunâtre l’observait attentivement, maintenant, il pouvait voir beaucoup mieux ses traits. Elle semblait dévasté par quelque chose, enfin… son visage n’exprimait pas le goût de vivre. Sinon, pourquoi aurait-elle voulu se jeter dans le fleuve. Il défit son l’étreinte qu’il avait sur la jeune femme. Ensuite, il dit :

« Vous allez bien? (le vouvoiement vient de son travail) J’ai bien cru que vous allier sauter. »

Maintenant, il s’était légèrement reculer d’elle pour garder une main sur son épaule. Quoi faire d’autre, mise à part peut-être la raisonner. Ken se dit qu’il devrait penser à la confier à l’hôpital ou a une autre source d’aide quelconque. C’était la première fois qu’il empêchait quelqu’un de se suicider. Bien que peut-être, avec de la chance, n’aurait-elle rien eut. Quoi qu’il en soit ce qui était fait, était fait.

La pluie continuait toujours de tomber à son plein. Ken était tremper à navette, des longues trainées d’eau coulait sur son visage. Le fixatif qu’il avait dans les cheveux était maintenant lavé. Sa chemise blanche collait maintenant contre sa peau et on pouvait voir à travers. Ses jeans étaient devenus deux fois plus lourdes. Ken ne s’occupait pas vraiment de ses détailles. Il observait toujours la jeune femme, il ajouta :

« Vous avez besoin d’aide, peut-être?»

Habituellement, il n’était pas très social, mais la situation exigeait qu’il tente quelque chose, pour calmer sa conscience. Il n’aurait pas voulu voir une jeune femme mourir devant ses yeux. Était-ce alors égoïste? Qui sait? Ce qui le tracassait, c’est que l’inconnue semblait avoir prit une décision sur un coup de tête. Elle était habillée d’une robe trop légère pour le temps qu’il fait.

Au moins, il ne pouvait pas dire qu’il n’avait jamais rien fait pour personne...

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Gabrielle, le regard hébèter, reste figé sur place. Elle ne semblait pas comprend se qui lui arrivait. Elle regarda Ken dans les yeux visiblement perdu avant de dire avec dans u murmure,

"J..e j..e."

Elle prit une profonde inspiration.

"Je...vait bien... enfin je croit?"

La pauvre femme semblait hors de la réaliter comme si elle venait de se réveiller d'un long rêve.

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L’incompréhension se lit encore plus sur le visage de l’homme. La femme semblait être sortit subitement de ses pensés. Elle semblait bouche-bée de le voir. Lui-même l’était de constaté qu’elle ne semblait pas savoir ce qu’elle faisait ici. Ce qui expliquait beaucoup de chose, surtout la tenue qu’elle abordait. Fallait-il être fou pour sortir dehors ainsi pendant ce temps?

Ken l’avait en, quelque sorte, réveillé d’un sommeil. Heureusement pour elle, il s’était trouvé sur son chemin. Il tenait toujours de l’une de ses mains, ses deux souliers. La pluie les avant complètement trempé, même qu’à l’intérieur, se trouvait quelques millilitre d’eau. Ken devait trouver quelque chose à dire, il bafouilla :

« Vous… vo… ne vous… souvenez de rien?»

Heureusement, il finit par se reprendre. Son regard était toujours froncé, intérieurement, il cherchait toujours la solution à ce qui venait de se passé. Pourtant, le somnambulisme était une bonne solution. C’était, même, la seule plausible. À moins que la jeune femme soit une sorte de folle tout droit sortit d’un asile de fous. Ou bien, elle jouait extrêmement bien le jeu. Une machination? Pourtant, Ken avait été honnête pendant plus de 10 ans.

Il secoua la tête en rejetant toute ses interrogations. Allons, il devenait lui-même fou? Pourquoi était-il si… comment dire… si susceptible? Méfiant serait peut-être le bon mot, il avait quand même vécu comme un voyou pendant au moins 4 ans. De plus, s’il ne prenait pas la situation en main, la femme ne pourrait pas plus le faire. Autant lui dire les faits véridiques.

« Eh bien, pour tout vous dire… Vous avez faillit sauter dans le fleuve. Êtes-vous sure et certaine que tout va bien?»

Il pourrait s’inquiété encore un peu et ensuite, si tout semblait correcte, il pourrait repartir sans demander son reste avec la conscience tranquille. Ken n’avait pas vraiment le temps qu’il désirait pour faire ce genre de chose. Et elle semblait avoir reprit ses facultés, enfin le plus possible.

Ken retira sa main de son épaule. Il l’observait toujours attentivement en tenait ses souliers dans sa main…

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Ken lui explica la situation. Sur le coup elle semblait ne pas comprend exactement mais d'un seul coup ses pupille se dilatère. Elle se mit à trembler de tout son corps et une expression d'horreur s'aficha sur sont visage. Elle se laisse tomber sur ses genou les mains sur sont visage.

Pedant un instant elle semblait contenir un crie de douleur elle réusis à articuler une phrase d'une fois frèle proche du sanglot.

"Noooooooooonnn........!!!!"

Elle éclata en sanglot. Un pleure sincère et profond comme si on venait de lui aprendre qu'elle avait le cancer.

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Ken sursauta. Ses sourcils s’arquèrent subitement. Avait-il dit quelque chose qu’il ne devait pas. Son corps fut traversé par une sorte de courant électrique. Cette femme était d’autant plus intrigante, encore là le mot était faible. Le reflexe que Ken eut fut de regarder chaque côté de lui pour voir si d’autre personne les avaient aperçût. Semblerait-il que non… ou peut-être que oui. Il n’en savait rien, son regard se braqua aussitôt sur la jeune femme.

Il se pencha en approchant sa main de son épaule. Il hésita et finalement, il baissa sa main. Que dire? Son comportement soudain le paralysa sur place. L’avocat devait vite faire quelque chose. Cette femme était à genoux en train de déverser un torrent de larme qui se mêlait à la pluie. Qu’avait-il fait pour se retrouver dans une telle situation? Il lui dit :

« Qu’est-ce qui se passe? J’ai dit quelque chose de mal? Il y a un problème?»

Il se surprit à poser tant de question en quelques secondes. Ken prit alors conscience que ce ne devait pas être la première fois qu’elle pleurait. Le souvenir du premier regard qu’il avait jeté sur elle remonta dans son esprit. Son mascara avait coulé. Ken doutait que ce soit la pluie. Elle venait juste de tombé quand il l’avait aperçut. Enfin, il avait dit quelque chose de mal. Par contre, intérieurement, il ne se sentait pas plus mal. Simplement un peu alarmé.

Le comportement de cette femme, dont le prénom lui était encore parfaitement inconnu, avait suscité un étrange sentiment en lui. Comme un déclique ou un pressentiment. Il ne serait dire. Quelque chose lui disait que ce n’était pas de ce qui avait de plus normal. Quelque chose était survenue avant qu’elle vienne ici. Surtout pour éclater en sanglot ainsi. Penché à sa hauteur, il n’avait pas bougé d’un centimètre.

Quelque chose en lui voulait savoir…

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Gabrielle pleura encore quelque minute sans pouvoir s'arrêter elle tremblait tériblement. Elle réusis à faire un pause mais elle hoquetait encore sous le choc de ses pleures.

Elle regarda Ken droit dans les yeux le visage implorant les main sur ses genou elle avait l'aire d'un ange qu'on aurait torturer pendant des heures. La pauvre femme prit une grande respiration avant de commencer à parler lentement et doucement d'une voix proche du chuchotement.

"S'il vous plaie ne le laisser pas me faire du mal... ne.. ne le laisser pas me faire du mal."

Elle semblait téroriser et troublé. Le reste elle parlait semble t'il plus à elle même.

"Pourtant j'ai fait tous se qu'il ma demander..... Dieux du ciel !!!"

Elle éclata de nouveaux en sanglot les mains sur sont visage.

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Bientôt, cela sera le tour de Ken de vouloir se lancer dans le fleuve. L’incompréhension totale se lisait sur le visage. De quoi parlait-elle? La jeune femme était folle? C’est ça? Rien n’était sûre, mais plus il parlait, moins il comprenait. Peut-être devrait-il ne pas la juger trop rapidement? Au fond de lui, la curiosité était présente mélanger à un sentiment d’appréhension.

Il ne comprenait pas le mot «les», de qui parlait-elle? Qui voulait lui faire du mal? Qu’est-ce qui ce passait? Ken commençait à avoir le tournis, dans le sens figuré bien sûr. Toute ces questions lui en fait poser d’autre d’avantage. Cette situation devenait de plus en plus étrange. Pouvons-nous dire, cependant, que tout devait être dans les normes? Il y avait bien des meurtres et des disparitions depuis quelques temps. Ken avait fait enfermer plusieurs suspects.

« De quoi parlez-vous? Qui veut vous vous faire du mal? Et, non… Je ne le laisserai pas vous faire du mal, mais répondez à mes questions. Je ne puis vous aider dans la situation contraire. »

Du coup, elle dit quelque chose d’intriguant. La jeune femme aurait fait affaire à des hommes douteux, enfin, de ce qu’en déduisit Ken. Qu’avait-elle bien pu faire? Commettre des choses illégales, commettre des actes contre son gré? Avait-elle été agressée d’une quelconque façon. Était-ce la raison qui l’avait poussé à ce jeté dans le fleuve. En finir?

Ken se passa une main dans les cheveux. La pluie en venait jusqu’à l’hérité profondément. Les goutes qui tombaient sur lui l’empêchait de bien réfléchir. Il en avait assez de la sentir sur lui. De plus, s’il restait ici encore longtemps. Tout les deux, en premier elle, attraperait un bon coup de mort, comme le disait-on. Il reprit la parole :

« Écoutez. Dites moi ce qui ne va pas, bon sang!»

Ainsi, la situation commençait déjà à l’hérité. Il avait tourné en rond depuis le moment où elle avait parlé. Chaque fois qu’il posait une question, elle répondait des paroles qui n’avaient aucun sens avec le contexte. Elle s’adressait à lui et ensuite à personne. Ken voulait avoir une réponse concrète, quelque chose qui pourrait l’aider à défroncé ses sourcils. Il laissa ses chaussures tombé sur le sol, à ses pieds qui étaient, d’ailleurs, nu.

Un soupir glissa entre ses lèvres. On aurait dit une personne qui se débarrasse de l’eau qui se trouvait sur les lèvres lorsqu’il émerge la tête d’une piscine. Le regard qui accablait le joli visage de Gabrielle semblait empirer sa tristesse. Elle avait sûrement enduré quelque chose de profondément blessant. La police devait-elle en être avisée? De plus, peut-être pourrait-elle les conduire sur une bonne piste?

Ken attendait impatiemment une réponse de sa part. Comme une lumière qui pourrait éclairer ses lanternes sombres, ceux qui était remplit d’incompréhension.

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Gabrielle se releva en passant la main dans ses cheveux. Elle prit un grand respire et leva la tête vers le ciel pour se calmer. La femme commencait a reprend sont calme en prenant plusieur grand respire.

Puis elle regarda Ken les sourcils froncer commencant à s'hériter. Elle lui sourit timidement. Son visage exprimait le regret et la tristesse.

"Par...par.. pardonner moi j'ai.. je ... C'est dur à expliquer...."

Elle étais visiblement encore sous le choc mais le ton sévère de Ken avait l'aire de l'avoir ramené dans le vrai monde. Sa robe noir collait à sa peau lui donnant une apparence belle mais fragile. La pauvre femme releva la tête vers Ken supliante.

"J'ai froid... par..donner moi si je suis.. un peut égaré. Je ne sais enfin ne comprend pas comment je suis arriver ici...."

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Il se radouci. Son expression se défigea. Maintenant, c’était légèrement plus clair et la jeune femme, elle, lui parlait maintenant normalement. Ken hocha de la tête en signe d’une compréhension, la première depuis quelques minutes. Il était même prêt à comprendre que c’était sûrement difficile à expliquer. Il se contentera de cette explication pour le moment :

« Je suis désolé aussi, je me suis énervé, disons… Je tente simplement de comprendre. C’est inhabituelle de rencontrer quelqu’un qui tente de se suicider…»

Une fois encore, le terme était peu délicat. Néanmoins, les faits étaient les faits. Sa bonne action aura été faite pour la journée. Elle avait au moins souris timidement, son visage était encore plus beau dans ces conditions. Cela lui arracha un faible sourire ici, le premier depuis le début de la journée.

Il avait maintenant l’air plus détendu qu’auparavant. Les paroles de la jeune femme l’avaient apaisé. Il nageait toujours dans le brouillard intense, mais au moins elle lui répondait. Pas ce qu’il aurait souhaité, mais une partie, du moins. Il se rendit compte ensuite, qu’elle aussi semblait sentir l’eau froide. C’était maintenant un peu normal, enfin, plus normal que les minutes passés. Ken hocha de la tête :

« Je vous comprends la dessus, il serait peut-être mieux de rentré. Peut-être voulez-vous discuter de tout au chaud? Il y a sans doute un café pas loin. Si on reste ici, on attrapera notre coup de mort.»

Un autre terme peu délicat à la situation. Ken n’en fit pas moindre soucis. Ses pensés convergèrent vers la même chose. Qui était-elle? Il ne se l’était jamais vraiment demandé depuis ces dernières minutes. La situation avait été trop alarmante pour commencer à demandé l’identité de la personne. Il ne c’était pas lui-même présenter, ainsi… :

« Ken Well pour ma part.»

Il ne présenta pas sa main. C’était plutôt aux hommes qu’il le faisait. Pourquoi? Par principe, d’ailleurs, il ne savait pas où le principe de la poigner de main était venue. Peu importe, ils devaient se trouver un endroit chaud. Il se dépêcha à remettre ses souliers en restant debout. Ses pieds étaient maintenant vraiment dans l’eau…

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Gabrielle sourit. Elle semblait reprendre des force lentement.

"Je me nomme Gabrielle Raveras"

Elle lui sourit de nouveaux vant de commencer à marcher.

"Vener chez moi je ne veut pas vous expliquez mon histoire autour de gens inconnue..."

Maintenant qu'elle avait toute ses exprit elle semblait un femem charmante et polie. On croirait qu'elle n'avait jamais pleurer.

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Elle aussi était devenue plus calme, même aimable. Pour quelqu’un qui venait de ressentir un sentiment fort, elle reprenait vide du pied. Ken lui, était encore un peu débalancé par ce qu’il venait de se passé. Encore beaucoup de questions se posaient dans son esprit. Le fait qu’il devait vite trouver un endroit avait mit un peu le tout de côté, mais restait qu’il était encore curieux.

Elle se présenta enfin sous le nom de Gabrielle Raveras. Maintenant, il pourrait l’appeler par son vrai nom. Il acquiesça à ses dires pour confirmer sa compréhension. Au moins, la discussion devenait plus normale. Ensuite, elle l’invita à venir chez elle. Ken ne savait pas vraiment si cela était bien moral. Il ne la connaissait pas vraiment, mais… Sa curiosité était trop forte pour résister. Il ne pouvait pas être indifférent à son charme, mais encore là, il s’était plutôt renfermé à ce sujet depuis quelques années.

« Très bien, Gabrielle. Allons-y.»

*Espérons que je ne m’embarque pas dans quelque chose d’incontrôlable.* Pensa-t-il. Ken se sentait maintenant très lourd. On aurait dit qu’ils venaient tout les deux de sortir du fleuve par un naufrage quelconque. Ayant enfin ses souliers aux pieds, il éviterait peut-être un gros rhume. (Même si ses chaussures étaient potentiellement un genre de lac.) Jamais deux sans trois, les paroles de Gabrielle l’avait encore plus intrigué, pourquoi ne rien dire devait d’autre gens? Et pourquoi simplement devant lui? Parce qu’il en savait trop? Ou parce qu’il l’avait aidé et c’était une façon de le remercier pour ce qu’il venait de faire.

Gabrielle commença alors à avancer dans la direction de sa demeure, Ken lui emboîta le pas. Évidemment, il réfléchissait toujours, mais rien n’empêchait de donner de parler en chemin, histoire d’en savoir un peu plus sur elle.

« Vous habitez ici depuis longtemps?»

Ken tenta donc de détendre l’atmosphère par des questions banales. De toute façon, le chemin devrait sûrement être loin. Elle ne lui avait pas dit où elle habitait vraiment. Il se contenta de la suivre sans demander ce genre de question superflu. Il mit ses mains dans ses poches, il commençait lui aussi à avoir froid. C’était probablement pire pour elle.

Que s’était-il passé?

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