Un réveil brutal

[Voici le 1000eme Message]

Jack ouvrit les yeux lentement. Comme sa vision étais encore embrouillé par le réveille et sa conscience prise entre deux monde il du prendre qu'elle que seconde avant de comprendre qu'il n'étais pas dans son lit mais bien sur une veille chaise à roulette de bois verni. Surpris par le constatation il se leva d'un bond reprenant conscience plus rapidement que d'ordinaire.

Avant même de regardé autour Jack fixa la chaise d'un regard interrogateur. Qu'elle que chose lui donnait une curieuse impression de déjà vue. C'est alors qu'il porte son attention autour espérant qu'en regardant la pièce il pourrait mettre le doigt sur ce qui clochait. Derrière lui se trouvait un comptoir avec non loin des électroménager et au centre trônait une table d'une certain beauté tout cela laisse donc présager qu'il était dans une cuisine. Seul les qu'elle que filament de lumière sortant de deux fenêtre et produite par la lune osait donner à la pièce une certaine luminosité. La cuisine dégageais un atmosphère calme et reposante.

Jack resta dans la pièce à essayé de ce rappelle ou il l'avait déjà vue pendant au moins une dizaine de minute. Tout ce temps sa pensé ne produis rien de concret étant inconsciente et imprudente dans un océan de souvenir désordonnés. Après ces qu'elle que minute d'errance son regard et sa pensé finir par s'arrêter sur l'entré d'un couloir qui p se mit à produire une lumière rougeâtre et clignotante comme ayant de la difficulté à s'allumer. Jack fronça les sourcils interloqué, tout cela lui semblait étrange et anormal mais en même temps rien de ce qui se passait n'étais impossible un sentiment bizarre l'envahissait.

Envahit par un curiosité croissante il finit par avancer lentement vers l'entré du couloir. Une fois arrivé devant le couloir sa curiosité s'évapora pour laissé place à l'horreur le plus complète. Devant lui se trouvait un long couloir difficilement éclairé par la lumière en difficulté. Les murs pour leur part étais taché par une matière visqueuse noir qui dégoulinant. On pouvait voir sur les murs de la vermine en quantité énorme vivre tous prisonniers de la matière dégoutante des murs. Le tapis tant qu'a lui étais mouillé jusqu'a son maximum par un liquide poisseux. Toute au bout du couloir une porte étais ouverte sur une pièce plonger dans le noir le plus total. Jack tomba à genou quand il comprit ce qu'il avait devant lui fixant la pièce avec une expression d'horreur collé au visage.

Le visage de Jack devins livide quand il vit sortir de la pièce du fond un corps rampant. Il ne vit que les deux bras couleur grisâtre et ensanglanté dont pendait des morceaux de chair. Avant même que le reste du corps sort de la pièce Jack poussa un hurlement plaçant par réflex ses mains sur son visage pour ne pas voir.

...

Jack se redressa de son lit en sursaut. Son réflex fut de regarder autour de lui pour vérifié si il était belle et bien dans sa chambre. Quatre mur blanc et sobre, un bureau pour travaillé de bonne facture et emplie de papier. une veille chaise en bois de travaille et une bibliothèque emplie d'information de dossier et d'archives le tout soutenue par du plancher de bois franc. Soulagé Jack se passa la main dans le figure pour y chasser la sueur et se leva pour se dirigé dans ca chmbre de bain. Deux heure après Jack en sortais frais et dispo quoique d'humeur morose. Il avait beau s'habitué aux cauchemars il en restait toujours troublé.

Après deux café un déjeuné simple et la lecture du journal Jack se dirigea une troisième café à la main vers son salon. Ce même salon étais la seul de son appartement, omis la sa chambre des archives, à être dans un état lamentable. Des dizaines de journaux étais étendue un peu partout dans la pièce une dizaine de pile de paperassa trônait victorieuse sur la table du salon. Un ordinateur portable essayait, elle, de ne pas être submergé par tout ce désordre bureautique.

Jack poussa un soupir de découragement. Bien sur il pourrait ranger le tout mais au fond de lui la volonté manquais il tassa donc dans un coin la paperasse étendue dans le salon et commença à travaillé sur le dossier B...

Que représentais pour Jack le dossier B ? Pourquoi un homme avec une capacité monétaire aussi bonne que lui ce donnais t’il la peine de travailler sur toute ces affaires étrange? Que représentais pour lui toute cette archives accumulé après des années de travaille?

C’est simple cela représente sa recherche de la vérités. Depuis le jour de la disparition de sa fille et la mort étrange de sa femme Jack ne fit que se posé des questions. Pour lui qu’elle que chose clochais dans l’explication rationnelle du monde commun. Pour lui qu’elle que chose d’anormal avait changé sa vie et Jack voulait à tout prix savoir quoi ! C’est donc à travers des faits étrange que Jack entreprit de chercher la réponse à son propre cas.

Au fond il n’étais qu’un autre cartons dans sa salle des archives. Une autre cas étrange, inexplicable et maintenant oublié du monde commun…

Jack secoua la tête avec l’intention de retourné au sujet qui l’occupais et non au questionnement qu’il créais. Histoire de redonné la priorité à son travaille il prit la pochette contenant les photo ,tout en finissant son café, et les regardas pour la centième fois.

Ce fut les deux photos d’Alice qui capta une fois de plus son attention. Elle était, à ses yeux, le gros du mystère. Inexplicable elle donnait aucune réponse juste une plus grand série de question. Cette femme avait disparue comme ça sans laisser de trace. Pour Jack ce dossier était le plus important de tous car il étais ce qui se rapprochais le plus de sa propre histoire.

Au fond de lui il espérait, probablement en vain, quand trouvant ce qui étais arrivé à Alice il pourrait peut être approcher de ce qui étais arrivé à sa Annie et qui sais peut être vivait t’elle encore...

Le seul fait de pensé à sa fille et donc par la suite à sa femme ne fit que ramené les images de son cauchemars récurent sur le tapis. Hanté une fois de plus par les images du seul rêve qu’il voudrait oublié Jack décida d’aller se faire un quatrième café dans l’espoir, futile, de se changer les idées.

C’est à ce moment que retentit le bruit moue venant de l’étage supérieur. En pur réflexe paranoïaque Jack leva la tête, l’aire surpris, vers le plafond et resta figé dans cette pose un moment le cœur battant. Bien sur il n’avait rien à craindre mais il ne pouvais s’empêcher d’être si stressé.

Jack soucoua la tête car il savait très bien que sa peur étais stupide. il poussa un soupir de découragement et reprit, le cœur encore battant, la route de la cuisine avec la ferme intention de faire son café et d’oublié et son cauchemars et sa paranoïa...