Retour bouleversé

Il avait marché longuement pour se rafraîchir les idées. Il ne savait pas trop ce qui c’était passer et il ne savait pas encore si tout ceci était bel et bien réel. Il se demandait même si il n’avait pas un peu trop travailler ces derniers temps et si il n’avait pas été un peu trop concentrer dans ces affaires.

Malgré tout il rageait encore à l’idée d’avoir eu l’aire si ridicule devant les gens du bistro. Si cette femme, qu’elle soit réel ou non, venait à refaire apparition, il allait lui faire par de ces commentaires.

Dans l’ascenseur il rencontra un couple qu’il n’aimait pas vraiment. Le genre de personne qui ne voit que leurs petits nombrils lorsqu’ils sont ensemble et qui n’ont aucune pudeur. Il avait bien le goût de leur faire un discours en entendant le bruit non-subtil de leur salive et le son répugnant de la succion amoureuse. La porte de l’ascenseur ouvrit devant lui. Il passa alors de l’autre coté et se tourna vers les deux jeunes gens.

-Apprenez donc un peu la pudeur

Il tourna le pas et se dirigea vers son bureau ou il glissa la clef à la serrure. Il ne l’ouvrit pas tout de suite, par contre il s’appuya la tête contre la fenêtre semblant pensif. Son bras gauche lui, s’était diriger au dessus de sa tête comme pour appuyer son jugement. Il était las malgré le fait qu’il était quand même tôt dans la journée, il était déjà éreinté des évènements. Secouant la tête, il tourna la clef et ouvrit la porte.

Le bureau était très propre. Les couleurs étaient d’un rouge vin strict. Il n’y avait pas grand décoration mise à part peut-être une plante près de la fenêtre. Il y avait plusieurs classeurs qui longeaient le mur droit.

Il retira son veston et l’accrocha à sa patère. Il détacha légèrement ces boutons de manchette pour se décontracté un peu et il alla s’asseoir à sa chaise. Il s’appuya en biais sur son bureau, le pouce sur un sourcil et l’index étendu sur l’autre, comme s’il était épuisé.

Il ne se rendit pas compte tout de suite du manque de vie qui se présentait soudainement autour de lui. Il était rester 1 minute à penser, un peu perdu dans sa tête, il n’avait pas porté attention à l’entourage.

Il haussa un sourcil et releva la tête. Il observa tout autour de lui comme s’il manquait quelque chose. Et oui, il manquait toute sonorité ambiante. L’air était trop calme pour que se soit normal. Il ouvrit son portable et examina le phénomène. Il n’entendait même la le son de la fane qui normalement faisait un peu de bruit en partant et ensuite la musique normal des ordinateurs qui ouvrent.

- .... ........ ....

Il avait tentez de parler pour lui-même mais aucun son ne sortit. Était-il devenu sourd aussi soudainement. Il se leva alors lentement et se dirigea vers la fenêtre oui il écarta les rideaux pour observer la ville qui devait encore bouger normalement à cet heure.

Tout à l’extérieur était normal. Les voitures continuaient leur ascension, les piétons marchaient rapidement pour se rendre chez soi, mais aucun son ne venaient jusqu’aux oreilles de l’homme. La seule chose qu’il put voir et qui aurait probablement de le laisser perplexe fut tout en bas, une petite fille aux longues tresses rousses accompagnée de sa mère stoppa son chemin. Du haut de 5 étages, il était plus difficile de la voir mais pas impossible. Cette même petite fille s’était arrêtée tout juste devant la fenêtre de l’avocat et avait lentement levé sa main, l’index droit pointé vers lui.

Puis tout s’emballa. La petite rousse d’environ six ans souris et un petit rire enfantin se répercuta dans toute la pièce. Le son avait été amplifié puisqu’il y avait de cela quelques secondes, rien ne se faisait entendre.

Ensuite la pièce bougea. Du moins, c’est ce qu’il en semblait à première vu. Les murs de son bureau était empreint d’un vaguement irrégulier et saccadé. Des nombreux sons vinrent aux oreilles de l’homme cette fois-ci. Les bruits étaient comme des milliers d’ondes électroniques rassemblées dans un endroit restreint. Suffisant pour donner un mal de tête plutôt embêtant.

Dans l’ancien calme de la pièce, les ondes firent place à des sons de succions et de dégoulinage. C’était comme si l’on décapait les murs et doucement…Puis, du sang s’écoulait du plafond pour longer les murs et terminer par terre. Mais par la fenêtre, un épais liquide couleur sang vint obscurcirent l’endroit. Des craquements vinrent du bureau de Juane, de ses classeurs et de la porte. De la corrosion s’y faisait…Quant au sol, il devint noir comme la suie et semblait moins solide qu’auparavant.

« …Bienvenue… »

La voix rauque d’un vieil homme agonisant s’était adressée en écho sur le bureau du pauvre homme. Pourtant il n’y avait personne.

Il fronçait les sourcils à la vue de la petite fille qu’il distinguait du haut de cette tour. Soudainement il entendit son rire de façon amplifier, ce qui ne pu que le surprendre vue la manque d’ambiance qui s’était installé. Il glissa ensuite un oeil sur ces murs pour observer les vagues qu’ils s’y promenaient. Chose qu’il trouvait très étrange. Les théories commençait déjà à naître dans la tête de l’homme, concernant tout se qui se passait en se moment.

Il commençait à croire qu’il avait vraiment trop travaillé ces derniers temps, ou alors peut-être que le serveur avait dissimulé de la drogue dans sa nourriture ou son mokachino. En fait, il ne pouvait pas le savoir.

Il fronça les sourcils face au bruit assourdissant des sons électronique qui chantait en choeur comme une chorale d’enfant qui n’aurais que de fausse notes. Tout sa commençait à lui donner mal à la tête. Par réflexe, il ferma son portable mais les son continuèrent. Des bruits de dégoulinement et de succion vint vite le faire frissonner malgré lui. Il haussait alors un sourcils face au sang qui commençait à couleur un peu partout. Il commençait à se croire dans un mauvais film d’horreur. La plupart de ces meubles commençait à craquer.

Il tentait de restez stable sur le sol qui était devenu trop noir à son goût et qui semblait un peu trop mou. Une voix lui dit donc bienvenu, une voix qu’il ne devait pas connaître. Il fronça les sourcils, l’écho de la voix s’atténuant.

-Bien sur, bienvenue, elle est ou la porte de sorti?

Il soupira par ces narines un peu exaspéré qu’on l’est envoyer je ne sais où contre son gré. Il observait tout autour de lui, au fond un peu craintif face a se monde irréel dans lequel il venait d’être plongé. La vue d’autant de sang commençait un peu à l’écoeuré, il en avait déjà vue beaucoup dans sa vie mais pas en si grosse quantité. Il portable sa manche à son nez pour se cacher de l’odeur qui flottait autour, on ne sait jamais.

La puanteur lui montait au nez et tout sa commença à bien lui déplaire. Il tourna la tête vers la porte lorsqu’il y entendit un cognement.

-Si c’est celui qui me fou tout sa, je l’assome.

Il avait l’aire irrité de la situation. Il commença à marcher dans son bureau, se dirigeant vers la porte. Le plancher sous lui ne le rassurait vraiment pas. Il avait toujours l’impression qu’il allait tomber de 10 étage tellement le plancher semblait mou. Il faillit même trébucher mais réussit à se rattraper contre son bureau qui ne pu que grincer. Arriver à la porte, il s’y adossa.

-C’est qui?

Il n’avait pas envie de tomber sur n’importe quoi, l’endroit était déjà bien assez étrange comme sa. Il finit par jeter un coup d’oeil à l’oeil magique. Au moins, il pourrait peut-être voir ce qu’il y à de l’autre coté de cette porte.

Ces yeux ce froncèrent sans se faire attendre. La vision qu’il venait de voir de l’autre coté de la porte le surprenait plus que tout et le dégoûtait à un tel point qu’il ne pu s’empêcher de vomir. Il avait tentez de mettre sa main devant sa bouche mais n’avait rien pu retenir. Le croissant qu’il avait récemment manger embrassait maintenant le sol dans son stage de semi-décomposition. Il pris un mouchoir dans sa poche et le porta à sa bouche pour s’essuyer.

Il releva la tête et observa autour. Son cellulaire sonnait. Il glissa la main dans sa poche et sorti l’appareil. Il n’était plus très certain de vouloir vraiment l’ouvrir. Avec tout ce qui se passait. Peut-être était-ce la voix qui lui avait souhaité la bienvenue ici. De toute façon, il n’avait pas vraiment le choix. Il ouvrit donc le cellulaire et le glissa à son oreille avec un peu d’hésitation.

-Oui?

Il ne voulait pas entendre la voix qui se cachait derrière cet appel qui ne s’annonçait déjà pas des plus inspirant, vue l’ambiance qui se dégageait autour.

Juane avait déjà faillit raccrocher, la voix de l’enfant l’avait déconcerté. Les bruits d’ondes électroniques ne faisaient que rajouter à son désarroi jusqu’à ce qu’il entend la voix de Alice. Elle était flou et n’avait pu que dire quelque syllabe.

-Quoi? Alice? Ho al?

Elle ne répondait plus. Il se demandait bien se qu’elle voulait lui dire comme message. Il tourna la tête pour observer tout autour de lui et aperçu l’œil magique qui coulait de sang. Il ne pu s’empêcher de donner un bon coup de pied dans la porte pour se défoulé. La pression commençait à monté à l’intérieur de lui et il n’aimait pas vraiment sa. Il aimait le stresse mais pas de ce genre. Il commença à réfléchir plus sérieusement à ce qu’elle avait tentez de lui dire. Il décortiquait les mots possibles.

-Hôpital…

Il croyait bien avoir trouver la solution. Mais maintenant, comment sortir de se monde dans lequel il était fortuitement entrez. Il décida de tentez avec la porte. Il y glissa sa main, et tenta de l’ouvrir brusquement, en se tenant près à tout.

Il commença par observer l’extérieur. Il la détaillait dans les moindres détails, afin de déceler tous les dangers possibles qui pourraient le menacer. Il glissa un pas dans le couloir, toujours sur ces gardes. La vue des couloirs recouverts de cette substance macabre l’écoeurait toujours autant. De plus, lui qui est un maniaque de la propreté, avoir à supporter une odeur aussi putride était vraiment difficile. Son poignet était glisser sur sa bouche, juste en dessous de son nez, pour atténuez l’odeur.

-Y’a quelqu’un? Alice?

Il commençait à se demandez si il était seul à être plonger dans ce cauchemar. Peut-être que d’autre personne vivait la même situation mais dans d’autre pièce. Il s’arrêta devant la première pièce. Il commençait à se demander s’il devait vérifier. Il laissa un soupir s’échapper.

-Y’a quelqu’un?!

Il avait parlez plus fort, au cas ou quelqu’un l’entendrait. Il n’avait pas vraiment envie de se plonger dans une autre pièce souillée comme la sienne. Il continua son chemin jusqu’à la porte de l’escalier. Il tenta alors de l’ouvrir.

Il ouvrit de grands yeux face à l’horreur qui défilait devant ces yeux. Il glissa le revers de son poignet contre sa bouche pour s’empêcher de vomir. Il ferma alors rapidement la porte et s’y adossa comme pour la retenir. Ils y en avaient beaucoup et ils n’avaient pas l’aires très amicaux. Il commença à regarder tout autour de lui une façon de sortir de cet enfer. Il couru vers la première pour qu’il pourrait trouver mais ne l’ouvrit pas tout de suite. Il la détailla quelque instant et se questionna. Il pourrais y trouver bien pire que tout sa à l’intérieur. Il ferma les yeux, la poigné de la porte à la main, et la tête qui allait s’appuyer contre la porte.

-Sortez moi d’ici…

Il avait murmuré ces paroles par réflexes, ou peut-être simplement parce que sa gorge ne lui permettait pas de sortir des paroles plus fortes. Il décolla ensuite sa tête de la porte et l’ouvrit, prêt à tout.

La poignée qu’il avait tenté de tourner n’avait pas fonctionné. Il avait cru avoir entendu quelqu’un mais s’en était dissuadé. Les cris des enfants ne cessaient pas de se faire entendre. La plainte d’une mort injuste ou d’une souffrance incontrôlé. Il couru de porte en porte et tenta d’ouvrir chacune d’elle mais en vain. La frustration commençait à monter en lui et il ne pu s’empêcher de frapper le mure d’un coup de poing ferme. Il observa sa main au cas ou il y aurais du liquide qui s’y serais fortuitement poser, et si il y en avait, il l’enlèverait.

-Vous allez me sortir d’ici! Je vous jure si je trouve le responsable! Il va passer à travers tout les mures que je pourrai trouver!

Il commençait vraiment à perdre son contrôle. Les bébés qui répétaient leurs plainte en chœur et la situation qui ne semblait pas s’améliorer. Il resta dans le couloir quelque instant et glissa ces deux mains sur son crâne raser, et il les dirigea jusqu’à sa nuque en baissant la tête comme pour penser.

Il se dirigea dans son bureau et ferma la porte pour reflechir.