Routine Matinale

Invité

Cela faisait environ 2 ans qu’il était revenu des état-unis, il avait été avocat et comme n’avait pas eu assez de stresse en travaillant il avait changer de vocation. Depuis environ 1 ans il travail dans un bar du vieux Québec. Il avait expressément choisit un bar ou les choses bougeait et ou il y avait beaucoup de chose à surveillez. Cependant les choses était plutôt calmes ces derniers temps et ca ne lui plaisait pas.

Il se levait un matin comme les autres vers 9 heure environ. Il avait sa petite routine à lui. Il ce leva de son lit et le fit tout de suite. Il déteste toujours voir des choses mal organisé et il a tendance parfois à être pointilleux sur des petits détails. Peut-être qu’il avait perdu un peu trop de sociabilité pendant ces études. Ensuite il commence à se couler un café. Vers 9h30 heure il s’entraîne pendant 1 heure pour ce garder en forme et pour ne pas oublier ces techniques. Maintenant 10h30 arriver il prend sa douche qui dure environ 1 heure. Il est très propres, peut-être un peu trop même parfois. Parmi cette heure il passe près de 15 minute à se raser la tête et à vérifier qu’il n’y a pas de manque.

Il glissa son regard dans son reflet encore coulant de vapeur du miroir. Il glissait minutieusement le rasoir sur sa tête pour enlever toute trace de cheveux. Il aimait les choses ordonné mais commençait peu à peu à ce lassez de sa routine redondante. Il n’avait pas beaucoup de plaisir, mise à part au travail quand il pouvait surprendre les mauvais coups d’un ivrogne et ensuite le corriger. Il glissa alors un regard sur son torse. Il avait quelques cicatrices de différente sorte. En fait il avait eu quelques problèmes lorsqu’il s’était installé aux État. Plusieurs souvenirs lui revenaient en tête, à chaque cicatrice sur laquelle il posait l’oeil.

Il enfila ces boxer et sortit de la salle de bain, la serviette autour du cou. Il avait un petit appartement dans le vieux Québec et il lui plaisait bien malgré tout. Arriver dans sa chambre, il décrocha une chemise et la repassa, ne laissant aucun mauvais pli. Il avait choisit une chemise rouge pour aujourd’hui. Pour l’accompagné, il prit des pantalons et un veston noir et enfila le tout, toujours aussi obsédé par la propreté, il vérifiait tout les coins. Il fit un dernier tour de son appartement vers midi afin de vérifier si tout était en ordre et il partit à la recherche d’un nouvel endroit ou dîner. En effet, le petit café ou il avait l’habitude d’allez lire son journal et de prendre sa brioche, avait fermer récemment. Il devait alors trouver quelque chose qui pourrais au moins l’équivaloir.

Il marchait lentement dans les rues de Québec, un petit cigare pendant à la bouche, lunette fumé au nez. Il ne semblait pas trouver grand chose de concluant, jusqu’à ce qu’il tombe sur une affiche inscrite Bistro Chez Mélodie. L’allure de l’endroit avait l’aire invitante et il n’avait rien à perdre. Il glissa les pieds alors dans le bistro, ou il passerait peut-être bien des moments. Il prit place à une table et s’assis en observant autour si il pouvait trouver un journal.

Invité

Personne ne l’avait encore remarqué même si elle était assise à la table du centre du bistro, fixant le vide, une tasse de chocolat fumante entre ses doigts fins et frêles. Les gens comme serveur passaient devant elle, aucune compagnie ne s’offrait à elle. Bref, elle avait seulement l’air d’une personne solitaire qui aime bien être tranquille de bon matin. Pourtant son visage était aussi pâle que la mort et tout son corps tremblait comme si elle était incapable de se réchauffer.

Alice remarqua le nouvel arrivant, un homme très élégant aux lunettes fumées. Il semblait avoir environ le même âge qu’elle.

Quelques mèches blondes cachaient les yeux cernés de la jeune femme qui fixait maintenant Mickael comme s’il était son dernier espoir.

L’endroit était presque désert. Il n’y avait qu’un serveur et une dame au comptoir. D’autre employés derrière bien entendu mais on ne les voyaient pas. Seules 3 tables étaient occupées. Celle du vieille femme qui lisait un énorme roman, l’autre visitée par une jeune couple qui parlait plutôt fort et celle de Alice Racicot qui ne pouvait pas s’empêcher de regarder l’homme qui venait d’entrer.

L’ambiance était décontractée, l’air confortable à l’extérieur, aucuns soucis en vue pour l’homme en résumer.

Invité

Mickael posait son regard sur tout ce qu’il pouvait détaillé dans la pièce. On aurais pu croire un inspecteur sanitaire qui surveillait toute trace de saleté. Il examinait l’ambiance et les genres de personnes qui semblait venir dans ce bistro. Après tout, il devait ce faire une image de ce qu’il pourrait s’y passer.

Il accrocha alors le regard de la femme. Blonde, charmante et à peu près de son age, elle aurait pu plaire à bien d’homme, mais il était loin maintenant dans sa tête le temps ou il se souciait trop des femmes. S’en soucier à s’en fendre le coeur et l’étalé en petite miette devant ces yeux qui avait tant crier sa douleur à travers ces larmes. Il détourna le regard sans afficher de réel expression. Il avait peu à faire des gens qu’il ne connaissait pas. Il alla alors attendre à une petite table, seul, cherchant éperdument un journal qu’il pourrait lire pour se changer les idées.

Déposant son regard sur la table, il ne pu s’empêcher de commencer à replacer les ustensiles et les salières qui était sur celle-ci. Il les plaçaient de façon ordonner et distincte. De toute façon, il n’avait rien de mieux à faire en attendant de ce faire servir.

Invité

Cet homme semblait avoir l'habitude de tout distinguer, d'observer minutueusement un nouvel entourage. Il en allait donc de soi qu'il allait aussi inspecter les personnes présentes. Leurs regards se croisèrent donc un instant avant qu'il se tourne vers une table pour ensuite s'y asseoir. Son regard était neutre, l'on voyait bien qu'il ne s'intéressait pas à elle. Pourtant, Alice continuait de le fixer de ses yeux fatigué mais bourré d'un espoir qui semblait se conssummer peu à peu. Elle le vit commencer à placer ses ustensiles... Il était perfectionniste sans aucun doute, mais la jeune femme ne semblait pas prendre attention à ses gestes. Elle ne faisait que continuer à le fixer sans arrêt, ne bougeant pas de son siège, comme si elle était une statue de plâtre.

Un serveur s'approcha de Mickael pour lui dire de son ton le plus sympathique (Espérant un bon pourboire) :

"Bonjour Monsieur, vous désirez?"

Le couple partit pendant cette interlocution en laissant l'argent sur la table. Les ordinateurs étaient tous libres et quant à Alice, elle ne cessait de le regarder.

Invité

Le serveur finit enfin par arriver. Pour le moment tout se passait bien, mise à part peut-être les gens qui parlait un peu trop fort. Sans même regarder le menu et se fiant à la connaissance du serveur, il espérait être bien servit et avoir ce qu’il demandait. Il tourna la tête et le fixa droit dans les yeux.

-Je vais prendre un mokachino glacé avec crème, je vais aussi prendre un croissant au thon. Apportez moi aussi une petite carré de fromage pour le croissant.

Il n’avait rien demander de compliqué. Il n’avait pas sourit non plus au serveur, malgré le bon service qu’il semblait offrir.

Il tourna ensuite la tête pour continuer d’observer l’endroit. Ces yeux s’arrêtèrent encore sur ceux de la jeune femme. L’avait-elle fixez tout ce temps? Peut-être était une femme dangereuse à la recherche d’un victime savoureuse. Il ne pu s’empêcher de faire un sourire en coin face à l’idée qu’il venait d’avoir. Il se leva lentement sans laissez le serveur parler et alla à sa table. Il fouilla dans ces poches et en sortit une carte avec sa photo. Il la glissa ensuite sur la table.

-Je suis avocat.. Si jamais vous avez besoin, vous avez l’aire obsédée par moi.

Il tourna ensuite les talons pour se diriger vers sa table.

Invité

Juane donna sa commande au serveur qui n'avait rien prit en note. Il lui fit plutôt un grand sourire en lui répondant:

"Très bien monsieur."

Et il partit, ne s'en faisant pas pour le manque de jovialité de son client. L'habitude se fait rapidement.

Puis le-dit avocat remarqua le regard incessant d'alice. Il se leva vers elle pour lui laisser sa carte, un air de sarcasme dans les yeux. Au moment où il déposa cette carte, la jeune femme qui le regardait toujours remua les lèvres pour lui dire quelque chose. Elle articulait très bien, comme si elle voulait parler très fort pour se faire entendre... Pourtant aucun son ne sortait. Ses lèvres remuèrent quelques instants, ses yeux semblaient suppliant. Puis elle arrêta, posant ses yeux sur la carte, ses yeux voilés de larmes. Elle était incapable de parler...

De plus près, s'il était observateur, l'avocat aurait put voir qu'Alice était en tenu de docteur blanc. Une étiquette à gauche en haut de sa poitrine laissait voir son titre et son nom: Docteur A. Racicot - Psychologue.

Quand l'homme se retourna vers sa table, le même serveur avait déjà déposé sa commande, ayant été la chercher à la vitesse de la lumière. Pourtant il était toujours près de la table de Mickael, entrain de le défigurer.

Invité

Lorsqu’il retournait vers sa table, le serveur était déjà arriver. Il devait se l’avouer, il avait fait sa vite. Mais d’allez aussi pouvait présagé des choses pré-faite et de basse qualité. Il s’assis à sa table et glissa un oeil les éléments. Il ouvrait le croissant pour vérifier si tout était bien à l’intérieur et il jetait un coup d’oeil sur le mokachino, et sur le fromage.

Tournant la tête vers le serveur qui restait planté la, il fit un petit signe de main agacer, il détestait être harceler de cette façon.

-Allez.. Je te paierai tout à l’heure

Il voulait commencer à manger mais il releva la tête vers la jeune femme qui le dévisageais toujours autant. Il se commençait à revenir dans ces pensés pour se rappeler ce qu’elle avait fait lorsqu’il lui avait donné sa carte. Il glissa un oeil sur ces yeux pour y voir que quelque larme semblait vouloir s’y nicher. Il lâcha un petit soupir et se leva avec son déjeuner. Il se dirigea ensuite vers la table de la femme et y déposa ces choses.

-Qu’est-ce qu’il y a? Tu ne serais pas ce genre de femme qui m’aurais vue au travail et qui serais tomber raide dingue de moi, qui m’aurais ensuite suivit un peu partout sans que je m’en rende compte et qui me harcèlerais?

Il haussa alors un sourcil envers elle et il abaissa un peu ces lunettes sur son nez pour mieux la voir. Il resta quelque instant sur son nom.

-Dr. Racicot, psycologue... Je suis un cas à problème que vous voulez analyser peut-être?

Invité

Tout était bien dans la croissant où il devait être. Le fromage n'avait non plus été oublié. Ce cas de rapidité s'appelait tout simplement la même commande il y avait de ça quelques minutes et qui avait été changée, le croissant près à servir.

L'avocat avait balayé l'air de la main pour clairement dire au serveur qu'il pouvait disposer. Celui-ci fronça les sourcils vers la table d'alice pour partit en se râclant la gorge et s'en rien dire.

Il allait pour prendre la croissant dans ses mains pour commencer à manger, mais son regard se retourna à nouveau vers la jeune femme qui se retenait de pleurer. Sa bouche était close et ses lèvres pincées comme si elle voulait parler mais qu'elle s'en empêchait.

L'homme soupira donc, ramassa ses affaires et alla s'asseoir devant elle. Il lui demanda si elle n'était pas une ancienne cliente dingue de lui et obsédé par l'espoir de le revoir. Puis il avait haussé un sourcil et abaissa ses lunettes, attendant surement une réponse de sa part.

Elle ne répondit pas car il enchaîna en remarquant son étiquette.

Alice déglutit péniblement et ferma les yeux quelques secondes. Elle les ouvrit et dit d'un ton timide et tremblant:

"...Non... Je... Non je suis désolée vraiment... Mais... Vous me voyez?"

Des sons avaient sortis cette fois-ci, elle semblait grandement bouleversée.

Plus loin, la vieille femme à la table et le serveur divisageaient l'avocat. Ils ne regardaient pas Alice, seulement l'homme. Leurs sourcils étaient froncés et leurs regards sévères.

Invité

Il arqua de nouveau un sourcil face à la question de la jeune femme. Peut-être était-elle folle. Il commençait à faire quelque supposition dans sa tête.

-Bien sur que je vous vois, si vous êtes une de ces scientifiques tarés qui essaie de développer un élixir d’invisibilité alors c’est raté ma cher, mais ne vous en faite pas, vous ne vous êtes pas retrouver nue en plein rue à vous pavanez en croyant être invisible.

Il tourna la tête pour observer les gens autour de lui. Les gens le dévisageais et il ne comprenait pas trop pourquoi. Peut-être que cette femme n’avait pas une bonne réputation et que de le voir avec elle leur faisait croire toute sorte de choses. Il laissa un long soupir s’échapper.

-Vous voulez un autographe peut-être?

Il dévisageait alors la dame et le serveur, en fait, tout ceux qui le dévisageaient. Il tourna ensuite la tête vers la psychologue.

-Pourquoi vous avez l’aire si bouleversé? Et pourquoi êtres habillé comme sa pour un bistro. Vous venez de sortir d’un cas désespérant et vous ne saviez pas quoi faire alors vous vous êtes dit, pourquoi ne prendre un petit café.

Il laissait un sourire en coin à toute les suppositions qu’il se faisait.

Invité

Mickael avait arqué un sourcil, l'air intrigué devant sa question. Alice avait l'air tout aussi surprise. Son regard était toujours voilé, mais il lui semblait maintenant moins difficile de retenir ses larmes. L'homme n'arrêtait pas de faire des allusions sarcastiques et la jeune femme ignora ses propos sachant pertinament qu'il était compréhensible de réagir comme il le faisait.

"Je suis désolé c'est que... Je ne suis pas cinglé... Quoique j'en suis à la veille."

Elle s'approcha un peu comme si elle voulait lui confier un secret. Elle prit une grande inspiration comme si ce qu'elle allait dire était loin d'être simple.

"Les autres... Dans la salle... Ils ne me voient pas..."

Elle avait chuchoté, ça voit toujours tremblante.

Puis l'avocat c'était retourné pour s'adresser à la petite assemblée. Ils n'arrêtaient pas de le dévisager mais ils arrêtèrent aussitôt après cette interpellation. La vieille femme retourna à son bouquin et le serveur à l'arrière dans les cuisines.

Puis le vis-à-vis de la psychologue lui demanda la cause de sa venue jusqu'ici habillée de cette façon. Il sourit ensuite bien qu'Alice était persuadée qu'il n'y avait rien de sincère là dedans.
"Je... J'ai oubliée pourquoi je suis ici..."

Puis elle prit une gorgée du chocolat devant elle qui ne fumait plus, probablement maintenant froid.

Invité

Il glissa sa mains à ces sourcils et les frottas un peu exaspéré, tout en penchant la tête pour réfléchir. Elle était vraiment cinglée.

-Bien sur, personne ne te vois, mise à part moi bien sur. Oh je sais, je suis le descendant d’un grand prêtre d’un temple, ancestralement construit sous ce petit bistro. Toi tu est un ange qui est venu m’acquitté de ma mission de sauvé le monde c’est sa?

Il laissa de nouveau un sourire en coin et pris une bouché dans son croissant. Il examina le goût et la texture du contenu. Pas mauvais après tout. Il pris ensuite une petite gorgée du mokachino et étendit un peu de fromage sur le croissant.

-Il à l’aire froid ton chocolat, tu devrais le faire réchauffer

Il fixa quelque instant une petite tache qu’il venait de découvrir dans son assiette. Il allait bien sur le dire au serveur lorsqu’il irais payer.

-Ah.. Et moi je vient habillé comme sa ici parce que j’aime être propre. Le petite café ou j’allait manger avait a fermer, alors je devais trouver un nouvel endroit ou allez.

Invité

Il était évident que le pauvre homme aurait souhaité être ailleurs en ce moment et à une portée gigantesque de ce qu'il prenait pour une folle. Il aborda même un récit fantastique sur la cause de son invisibilité et Alice dû s'avouer qu'elle en aurait rigolé si elle n'avait pas été dans cet état.

"C'est à peu près ça..."

Elle avait soupirée puis baissée les yeux en disant cette phrase elle aussi bourrée d'ironie. Ses mains étaient maintenant liées et elle n'arrêtait pas de croiser et décroiser ses doigts toujours tremblant tout en regardant toujours un peu partout comme si elle craignait l'arrivée d'une mauvaise compagnie.

Mickael prit une première bouchée de son croissant et invita la jeune femme à réchauffer son chocolat. Une intention qu'Alice trouva étrange étant donnée la situation et le sujet de conversation. Elle fit donc un bref signe de main comme si cette boisson ne lui était d'aucune importance.

La spychologue allait pour dire autre chose, mais l'homme enchaîna sur la cause de sa précense ici. Or il ne venait pas avant et ils s'étaient rencontrés. C'était au tour du docteur de se masser doucement les yeux et les sourcils en signe de perturbation.

"Je sais que je peux parraître... cinglé. Mais... Mais je n'y comprend rien moi aussi... Et la seule raison qui fait que je vous observais de la sorte est que vous êtes le seul qui me voit ici, dans cette pièce."

Elle releva son regard vers les lunettes fumées et ajouta:

"Faites le test si vous me croyez pas."

Et oui la phrase sonnait plutôt comme un défi.

Invité

Un de ces sourires en coin habituels venait se glisser sur le bord de ces lèvres lorsqu’il entendu la réponse à son récit fantastique qu’il venait d’inventer.

Elle le mettait maintenant au défi. Un peu étrange cette femme et elle n’arrêtais pas de le surprendre malgré lui. Il glissa un regard tout autour de lui et vérifia l’endroit.

-Premièrement vous avez un chocolat chaud devant vous, oui il est froid mais vous étiez déjà la quand je suis arrivé donc, il est peut-être normal qu’il soit froid si vous n’y aviez pas encore touché, se qui fait en sorte une preuve que vous avez été servis et que le serveur vous vois.

Il continua de regarder un peu partout pour vérifier quel preuve il pourrais facilement trouver mais il n’en trouva pas réellement d’autre potable.

-Sinon, prouvez le moi, et si personne ici ne vous vois.. Je donnerai 50 dollars en pourboire au serveur.

Son ton de voix défiant était tout à fait clair pour transmettre ces intentions.

Invité

L'avocat trouva une seule preuve qui s'avérait mauvaise. Pour la simple et unique raison que seule Alice connaissait l'existance de cette tasse.

"Cette tasse était déjà là quand je suis...Arrivée.. Si l'on peut dire ça ainsi."

Alice aurait voulu qu'il trouve une preuve par lui-même et elle soupira en regardant autour d'elle pour faire quelque chose qui prouverait sa parole mais qui en même temps, risquait fortement de faire fuir le pauvre homme. Ça l'avait été au tour de l'avocat à la mettre au défi. Elle soupira donc en marmonant entre ses lèvres:

"Je n'ai pas vraiment le choix."

Elle se leva de sa chaise qui grinça légèrement et marchant d'un pas mal assuré vers le serveur qui était entrain de laver l'ancienne table de Mickael. Elle se posta près de lui, à seulement quelques centimètre et dit de toute la puissance de sa voix, elle en cria presque:
"Excusez moi monsieur ! ! !"

Elle lui dit ces trois mots contre l'oreille, tout près de lui, mais pas assez pour qu'aucune partie de sa peau touche l'employé.

Quant à Juane, il put entendre à la perfection ce qu'elle avait dit. Pourtant, l'homme continua de faire sa tache puis partie même après quelques secondes derrière la caisse pour répondre au téléphone qui venait de commencer à sonner.

Un sourire désolant aux lèvres et pas de tout sincère, Alice retourna s'asseoir sur son siège.

Invité

Il observa l’aire de la jeune femme et détailla tout ce qui se passait. Il était quelqu’un de très sceptique et elle n’allait pas l’avoir comme sa. Elle se leva, cria à l’oreille de l’homme et revint un peu déçu. Il l’a regarda dans les yeux pour l’examiner.

-Mmm premièrement ta chaise à grincer un peu quand tu t’est lever, et tu aurais très bien pu être arranger avec le serveur.

Il glissa un oeil inquisiteur tout autour, semblant à la recherche de quelque chose en particulier.

-Allez, je n’ai pas le goût d’être victime d’une de ces blagues idiotes qu’y passe à la télévision. Si je retrouve mon visage sur un simple petit écran j’apporterez la compagnie en cours.

Il retourna son attention sur la psychologue et croisa les bras.

-Au fait, belle performance de comédienne, cher Alice, si c’est bien sur votre vrai nom.

Invité

Alice roula les yeux vers les yeux quand il lui parla de la chaise qui grince... Et voilà qu'ensuite il se vroyait dans une blague d'émission de télévision. Il lui dit ensuite d'un oeil pas très critique qu'il faisait probablement partie de l'une de ces idioties que l'on voit à la télévision pour se moquer de l'influence des gens. Alice ne put que sourire sans joie à l'écoute de son vis-à-vis.

Elle soupira et abaissa son regard qui recommençait à se faire voiler par les larmes. Elle semblait confuse et perdue.

Quant à la vieille femme et le serveur, ils continuaient de temps à autre de glisser quelques regards désinvoltes.
"Je ne sais plus quoi vous..."

Alice cessa de parler et leva ses yeux rougit vers la porte du bistro qui venait de s'ouvrir sur une jeune femme de 19 ans à l'air immature et un décoleté provocateur. C'était une ancienne cliente de Juane qui s'était plaint de s'avoir fait violer par son petit-ami. La vraie cause? Elle voulais de l'argent.

Elle se dirigea donc vers l'avocat, un grand sourire aux lèvres, ses grands talons cognant sur la plancher et sa jupe très courte virevoltant comme la soie.

"Bonjour Mr. Juane, je peux m'asseoir!? Que je suis heureuse de vous revoir... Même si je n'ai pas eu mon argent... Mais bon c'est oublié."

Elle alla vers la chaise où Alice était assise et attendit la réponde de l'homme. Quant à celui-ci, avec tous les clients qu'il avait eu, son visage risquait de lui être peu familier.

Invité

Il observa longuement les yeux de la jeune femme devant lui. Elle semblait si triste qu’il ne la croit pas, pourtant, il ne pouvait pas s’admettre de croire une chose aussi improbable. Il tourna alors la tête en entendant ouvrir la porte.

Un main se glissa désespérément à sa tête qu’il frotta quelque instant lorsqu’il vit la jeune fille au tenu trop dépravé. Il leva alors la tête vers son ancienne cliente qui demandais la permission de s’asseoir.

-À moins que tu veulent côtoyer les cuisses de la femme qui est assise... de toute façon, ne vois tu pas que je déjeune Jessica. Et de plus je ne suis pas à mon bureau, tu sait comment je déteste parlez du travail en dehors de mon bureau.

Il n’en revenait pas vraiment de revoir cette fille. Il était même plutôt exaspéré de cette journée qui semblait vouloir s’acharner à mal allez. Il pris alors une nouveau boucher de son croissant en espérant avoir été assez clair.

Invité

La nouvelle arrivante ne semblait pas être appréciée par l'homme. Elle retira l'une de ses longues mèches brunes de son visage envahit de maquillage et pencha sa tête de côté, levant un sourcil perplexe à la phrase qui venait d'être lancée.

"Quelle femme? Vous vous moquez de moi? ... Et je ne veux pas parler travail, de toute façon je ne suis plus une cliente."

Elle lui sourit et s'assit...

Quand Alice vit ce que Jessica allait faire, elle ne fit que regarder Mickael dont air suppliant. Elle murmurra entre ses lèvres rapidement, comme s'il était son dernier espoir:

"Non pas maintenant... Je t'en pris..."

Elle se releva avant que la nouvelle arrivante s'assit à son tour. Et quand le postérieur de la dépravé toucha le siège... La psychologue s'évapora... Il eut quelques grichement dans toute la pièce. Comme quand un poste de télévision fonctionne mal. Le corps de la jeune femme disparut et réapparut à quelques reprises comme si Juane regardait un écran neigeux et puis... Plus rien, elle s'était évaporée laissant place à Jessica.

"Alors comment vous portez vous Mickael?"

Jessica quant à elle s'était mis à l'aide en face de l'homme, lui parlant son visage avancé vers lui pour qu'il puisse avoir comme paysage rien de plus qu'un large décoleté.

Invité

Elle disait elle aussi ne voir personne. Il commençait à trouver les choses un peu trop poussez. Allez chercher une ancienne cliente et la faire jouer le jeu, il n’aimait pas trop.

Soudainement elle décida de s’asseoir. Ce qui se produisit par la suite ne pu qu’estomaquer Juane et ces principes. La présumer psychologue c’était évaporer devant ces yeux, et que seul quelques images avaient apparus de façon saccadé, jusqu’à disparaître totalement. L’ex avocat fonça les sourcils, perplexe devant la scène à laquelle il venait d’assister. Il glissa la main sur ces sourcils, le pouce sur un et l’index étendu sur l’autre. Il semblait très pensif. Il cherchait malgré lui les probabilités qui aurais pu rendre réel la chose qui venait de se passer. Certes il avait quelques théorise mais aucune ne pouvaient vraiment être plausible.

Il releva alors la tête pour portez son regard sur la jeune femme devant lui. Déjà irrité de la journée qui commençait des plus mals, il ne pu s’empêcher d’être franc.

-Ma chère Jessica, tu va comprendre un jours que tu ne pourras pas avoir de l’argent qu’en traînant des gens en cours pour des raisons idiotes ou même en courtisant des hommes qui en ont.

Il sembla mettre l’emphase sur sa dernière phrase.

-Tu ne devras pas non plus la gagner en remplissant ton corp souillez avec la défécation charnelle des homme de basse volonté qui n’ont d’autre ambition que le plaisir de la chair. Commence à mieux t’habillez et à te trouver d’autre utilité que le corp d’une poupée qu’on mettraient à l’essaie gratuit pendant un boxing day. Trouve toi un travail normal, et si tu n’as pas à me parler professionnellement pour mon travail, alors ne revient plus me voir car tu ne réussiras à retirer aucune parcelle d’argent de moi. J’ai une vie en dehors du travail.

Il avait été clair et sincère. Sa journée était déjà trop mauvaise pour qu’il utilise des paroles plus sensibles.

Invité

Le serveur était arrivé près de Jessica pour prendre sa commande après le magnifique monologue de l'homme au regard caché.

"Boujour madame, vous êtes prête à commander"

Son sourire était cette fois-ci forcé. Sa jovialité disparut derrière un masque de sceptisme qui se rivait vers Juane. Il ne pouvait s'empêcher de le défigurer.

Quant à Jessica, elle se releva une moue aux lèvres, tentant de retirer de la pitié de son ancien avocat.

"Non ça va aller, ce monsieur à été très impoli avec moi et m'a coupé l'appétit."

Le serveur, exaspéré de sa journée, ne dit rien et retourna à d'autres occupations.

Puis la poupée se retira, ayant presque du mal à marcher. Handicap en provenance de ses chaussures beaucoup trop hautes pour son grand corps maigre et déséquilibré.

Invité

Il ne voyait dans les tentatives de la jeune femme qu’un dédain. Il en avait assez des femmes qui le suivait pour son argent ou pour son charisme et il ne c’était pas gêner pour le dire.

Il observait le serveur venir et commençait à comprendre leur scepticisme lorsqu’il parlait. Il était bel et bien assis seul en train de parler devait un chocolat chaud. Il trouvait un peu normal les regards des gens à son égards. Il devait avoir l’aire fou, et il détestait avoir l’aire ridicule comme en ce moment. La frustration ne faisait que continuer d’augmenter chez ce cher Juane. Il ignora ce que la jeune femme dit à propos de lui et se leva. Il alla voir le serveur qu’y était retourner à ces occupations et lui laissa 10$ de pourboire tout en payant sa facture.

-Tout était bien, merci

Il était un peu sec dans ces paroles, mais il n’avait pas trop la tête à être gentil. Il s’enligna ensuite directement vers la porte ou il sortit prendre l’aire.

Invité

Le serveur prit l'argent, les yeux agrandit. Le pourboire était délectable mais son regard resta celui de quelqu'un qui se force à sourire.

"Merci, bonne journée à vous."

Si Mickael se retournait, il pourrait constater que la tasse de chocolat n'était plus sur la table. Pourtant le jeune homme n'était pas encore passé pour nettoyer la table.

À l'extérieur, tout était normal. Le soleil brillait fortement malgré la polution qui empêchait de passer quelques rayons. La rue était plein de gens qui passaient, sortaient ou entraient des boutiques. L'ambiance était calme et décontractée. Rien de perturbant en vue.