Visite à sa mère

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Suite du Loft d'Ély Tremblay

Dans la journée

le temps s'enuage une peu...

Devant cette immence édifice, les automobiles passe sans même arrêter... les oiseaux s'y arrêtent... Les gens marchent sans même la regarder... Les grattes-ciel pourtant portent leur regard vers elle...

Soudainement, une voiture blanche s'arrête devant... le moteur s'arrête et une portière s'ouvre...une femme portant un long manteau blanc descend...

Ély s'était dit qu'elle allait passer en matiné, mais elle dût s'arrêter tout d'abord au fleuriste et elle a fait quelques commissions...

Elle se dirigea vers les portes de l'église, une rose blanche en main, ces immences portes l'invitaient à se recueillir et à reprendre contact avec ses croyances. Elle y entra et ferma les yeux pour se laisser guider dans les bras de sa mère...

L’église de Saint-Mattwe est un établissement religieux assez modeste. Elle est comparative à celle des villes du nord. Malgré tout, aujourd’hui elle semblait toujours autant rayonnante même si les établissements autour la rendre médiocre. Lorsque la jeune femme entra dans l’église, il n’y avait personne. Au premier regard, nos yeux son portés au sommet.

Ceci n’est pas une église catholique, mais plutôt une église de type anglicane. Elle ne diffèrent, cependant, pas trop des autres institution religieuse. Malgré les différences, ont sent toujours le petit quelque chose religieux et sacré. Lorsqu’on porte le regard au sol, on peut apercevoir un joli plancher avec des dalles coloré avec des signes religieux dessus. Les bancs de bois s’aligne comme des rangs d’oignions. Pour finir, les vitraux filtre diffusément la lumière en la colorant de couleurs primaires.

Seulement, après le regard jeter. On s’aperçois que entre-temps, une personne s’était installer juste devant l’hôtel. On ne pouvait pas savoir son sexe, ni sa grandeur. La personne en question était à genoux sur le sol et elle portait une grande cape à capuche, ce qui rendait les choses encore plus étrange. Logiquement, elle semblait prier…

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Pas après pas Ély avançait d'un air solennelle vers l'autel, tête vers le sol et mains croisé sur la fleur, présent à sa mère... certain frisson lui parcourait le dos jusqu'à la nuque à chaque pas. Un regard vers l'intérieur de cette maison de Dieu pour admirer cette merveille. En-dessous de ce toit verdâtre, il se cachait une architecture de couleur bois. Au-dessus de l'autel trois peintures à même le plafond. Une sainte vierge vêtue d'une longue robe Rouge à droite, mais ce qui attira son attention est la couleur doré d'un objet derrière l'autel. Soudainement ses yeux se sont portés sur un corps couvert totalement d'un vêtement long.

Ély se questionna rapidement, à savoir si elle le dérangeait... Une prière était tellement libératrice... Mais plusieurs questions l'envahie, puisque qu'aucune réponse ne pouvait être répondu en l'examinant.

Est-ce un fidèle en pratique ? Le prêtre ? Un homme? Femme ? Malade ? Fou ?

Ély ne savait que penser, son cœur s'était resserrée et plusieurs inquiétude, sa peur étant d'être dans l'inconnu...devait tel continuer son pèlerinage, sa quête ou s'arrêter.

Étant très extravertie elle décida de reprendre sur elle et se s'avancer à proximité. Elle espérait pouvoir aider quelqu'un en désespoir...

En espérant une conversation elle s'exécuta!!!

La personne qui était à genoux ne brocha pas. L’église avait maintenant une ambiance calme et reposante. Le silence du lieu était une chose très percevable, supposons qu’aujourd’hui les gens son occupé. La jeune Ély s’approcha de l’inconnu à ses yeux, mais était-ce la même chose pour celui-ci?

Lorsque qu’elle arriva enfin à la hauteur de la potentielle connaissance, sa tête bougea doucement, comme si il la tournait vers Ély, mais la capuche cachait toujours son visage. Par supposition la tête se trouvait de côté. Soudainement, une drôle de sensation prit le corps d’ Ély. Une sensation de froideur partant de la pointe de ses cheveux jusque dans ses jambes. Une voix étrange se répercuta sur les murs de l’église. L’inconnu émettait cette étrange voix, glaciale et féminine.

« N’essaie pas de bouger, c’est inutile… »

Si jamais Ély bougeait un muscle, celui-ci ne répondraient plus. L’intuition, d’Ély lui disait que quelque chose n’allait pas. Cependant, la voix continue de se répercuter sur les murs de l’endroit religieux.

« Je ne suis pas très fière de toi, Ély… Oh non… Tu me déçois… »

Cette voix n’invoquait rien dans l’esprit d’Ély. Pourtant, il se pouvait qu’elle l’ait déjà entendu quelque part. L’inconnu n’avait pas bouger d’un poil, sa tête était toujours tourné de côté, mais la capuche empêchait toujours le contact visuel.

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Les frissons parcourent toujours son corps, ses muscles crispés et en même temps détendu lui faisaient mal. Son intrigue c'est changer en peur et ses yeux pétillant de curiosité sont tombés dans le gris de la douleur. Ses mains malgré tout incapable de bouger ont laissé tombé ce qu'elles tenaient, la rose apportée pour sa mère.

Les yeux rivés sur l'inconnu, une larme ruisselle sur sa joue, et son cœur ne se faisait plus sentir...

Ély n'avait que faire de cet inconnu, elle avait entendu ce qu'il lui avait dit mais ne comprenait pas pourquoi ses membres en étaient paralysés... Par la peur, par la foi de cet interlocuteur... Aucune réponse ne lui était donnée dans ces paroles prononcées...

Ély regardait droit devant elle et cherchait à savoir d'où elle l'avait entendu mais rien n'y personne lui avait parlé ainsi... Et cette affirmation de déception lui rappelait son père...

De toutes ces forces elle voulut lui demandé qu'est-ce qu'il voulait et qui était-il pour la connaître... Mais rien de sortit toujours immobilisée.

La fleur tomba doucement sur le sol, mais le bruit qu’elle causa se répercuta sur les mieux. Quelque chose l’avait amplifié. Ensuite, pendant plusieurs instants, tout resta silencieux. L’inconnue ne bougea pas d’un poil. Le silence fut une fois de plus brisé par sa voix féminine et méprisante :

« Ne me fais pas rire. Ton père n’a rien à voir la dedans. Tu m’as oublié alors? Il est vrai que tu étais si jeune… si jeune… »

Doucement, la personne devant Ély se releva. Toujours de dos, elle porta alors ses mains vers le rebord de sa capuche pour doucement la descendre. Ses longs cheveux brun légèrement bouclées retombèrent sur son dos. Ensuite, doucement, elle se retourna vers Ély. Au même moment, les fenêtres de l’église se mirent à saigner du haut, le sang coulait vers le bas. En quelques instants, l’église fut baigné dans de la lumière rouge.

Le visage de la jeune femme avait de très beau trait. Ses yeux s’harmonisait très bien avec son nez et ses lèvres. Dans son adolescence, elle avait sûrement fait tourner des têtes. Elle portait une robe légère de couleur rouge, ses pieds étaient nus.

« Maintenant, sais-tu qui je suis? »

Un doux sourire se dessina sur le coin de ses lèvres. La nature de se sourire était inconnue.

« Comment as-tu osés refuser qui tu étais vraiment? Moi qui aurait voulu tout faire pour que tu deviennes bonne. »

C’était absolument normal, non? Pour une mère…

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La lumière Sanglante éclairait l'intérieur de l'église, la silhouette, devant elle, était découpée par ses rayons rouges, faisant ressortir sa beauté mais autant l'horreur. Devant elle, un fantôme du passé c'était dressé, ce matin sur papier, aujourd'hui devant ses yeux... Est-ce bien réel ?? Les mêmes yeux verts émeraude, le nez aussi fin et les cheveux bouclés comme Ély. Quel rêve !!! Si beau, mais décorée d'une horrible couverture... Comment prendre ce moment, Ély hésitait entre la peur, l'inconscience et la curiosité...

Ce matin, Ély se rappel pourtant s'avoir réveillé, mangé... Elle avait même fait un mauvais rêve qu'elle ne se souvenait même plus...Ély était belle et bien réveillée...

Sa mère, sa vraie mère lui était apparue, telle la sainte vierge aux pieux désespérés... Pourtant, Ély n'était pas dans la déprime... Elle regrettait depuis son tendre enfance ne jamais avoir connu sa mère, elle qui avait donné sa vie pour Ély... Mais malgré tout elle lui parlait à tous les jours et la remerciait, lorsqu'elle lui pensait...Aujourd'hui c'était un de ses jours, pourquoi est-ce aujourd'hui que ce spectre ce manifeste...

Sa femme maternelle lui avait dit qu'elle était déçue, et qu'Ély avait refusé qui elle était vraiment??? Mais pourtant Ély avait tout fait pour faire ses études dans des programmes qui ne la dégoutait pas autant que la biochimie... Son père voulant la forcer à être biochimiste elle prit bagage et ils ne se parlent plus... Donc, Ély pensait avoir fait tout ce qui la représente...

Elle lui avait aussi parlé de son père... comment avait-elle sue ce qu'elle pensait... tout cela n'était sur normal et comme les disciples de Jésus Quand ils l'on aperçut, ressuscité, ils ne voulaient pas le croire... C’était une illusion, un rêve, un mirage, une hallucination, une création de son inconscient... Bref...

Toutes ces réflexions ce produise en seulement 5 sec. Elle ne comprenait rien de cette situation, l'effroi, l'amour et l'incompréhension l'habitait... Et ne pouvant toujours pas bougé elle était obligée de regarder cette superbe créature dans les yeux... Les mots ne pouvait s'enchaîner comme ils le devaient et le tout sorti comme suit:

- Mère... Mais pourquoi....Qu'ai-je fais...

Comme pris d'effroi et d'honneur de revoir sa mère une autre larme roula sur sa joue...

Un rire, des plus méprisant envahie l’église. Elle résonna plusieurs fois sur les murs ce qu’il l’amplifia de milles autres rires. Pourtant, c’était toujours la même voix cinglante et froide. Les traits de la femme en rouge devint beaucoup plus rude, son visage était déformé par la haine. Lentement, elle s’approcha d’Ély. Les pas qu’elle faisait se répercutait sur tout les murs de l’église. D’une voix forte et remplit de haine.

« Ma pauvre enfant… TU SAIS TRÈS BIEN CE QUE TU AS FAIT! »

Elle se tenait maintenant devant sa propre fille, légèrement plus grande qu’elle. Le sang sur les fenêtre avait maintenant cesser de couler, mais la lumière rouge était encore là. Le silence était maintenant revenu. La femme reprit :

« Ne me demande plus jamais cela, comprit? JAMAIS! »

Le dernier mot fut un espèce de cri strident. Ensuite, Ély sentit une affreuse douleur à la joue car sa mère venait de la giflé au visage, seulement, elle l’avait giflé de façon à l’acéré sa peau avec ses ongles. Au même moment, Ély tomba à la renverse sur le sol. La lumière normale revint immédiatement. Plus loin… quelqu’un accourait, car des bruits de pas rapide se faisait entendre… un prêtre.

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Des bruits de pas accourait. Pascal avait vu la jeune femme tomber sans que rien n’y fasse quoi que cela soit. Il ne se souvint pas d’avoir entendu des bruits dans l’église. Si Pascal était venu ici, ce n’était que par habitude. La jeune fille avait sûrement besoin d’aide, il avait pensé à un malaise. Il arriva enfin à sa hauteur et s’agenouilla près d’elle :

« Seigneur Dieu! Vous allez bien? Vous êtes blessé ma chère? »

Son ton avait une intonation d’inquiétude, de gentillesse et de bonté. Il ne semblait pas avoir vu quelque chose de bizarre… étrangement.

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Le plafond de cette humble demeure était soudainement moins accueillant, ressemblant à un plafond vulgaire à ses yeux, il n'y avait plus rien de religieux en ces lieux.

Sur le dos, par terre devant les marches de l'autel, Ély se sentait maintenant abandonner de sa mère... Sa mère, qu'elle n'avait même jamais rencontrée...

Un peu après, l'impacte la projetant sur le sol, des bruits de pas se fit entendre, mélanger à un cri, un cri qu'Ély gardera toujours en tête pour toujours étant la colère de sa mère contre elle...

Qu'est-ce que cette illusion voulait bien signifier ?

Si tout n'était qu'illusion elle n'aurait rien sur le visage, les ongles de sa mère l'ayant égratigné...

Les bruits de pas sont de plus en plus proche, tandis qu'elle remarqua que l'image de sa mère avait disparu de son champs de vision, elle vu se présenter devant elle un prêtre...

Devait-elle en avoir peur ou bien s'y blottir...?

Ély ne savait pas vraiment qu'est-ce qu'elle devait faire?

À la question du prêtre elle répondit en s'assoyant :

- Tout va bien, mais pouvez me dire si j'ai une marque au visage ?

La douleur encore perceptible de la gifle donner par l'avatar de sa mère lui faisait encore mal et elle devait sûrement en avoir encore les vestiges sur la joue...

Elle n'avait aucune idée encore qu'est-ce que sa mère voulait lui lancer comme message et devait faire appel à ce prêtre pour élucider ce mystère, ou bien se taire sur cet étrange évènement...

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Le prêtre haussa un sourcil à sa demande. Il approcha son visage pour regarder sa joue. Ensuite, il se redressa en hochant négativement de la tête. Son visage adoptait toujours une certaines inquiétude envers la situation.

« Non, votre visage me semble correct. Vous vous êtes frappé le visage contre quelque chose? Et sinon, puis-je vous êtres utile en quoique cela puisse être? »

Aujourd’hui, Pascal n’était pas habiller de sa soutane, mais plutôt d’un pantalon propres et d’une chemise noires. Pourtant, on sentait bien qu’il dégageait quelque chose de serein. L’église était maintenant redevenu plus que normale.

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Elle était assise par terre, sur le plancher de cette paisible église...Mais son âme n'était plus paisible, que c'était-il passer si elle n'avait même plus la moindre trace de cette apparition, pourtant elle ressentait encore la gifle sur son visage.

Elle prit un instant pour se relever et attendit avant de prononcer un mot que le prêtre soit lui aussi à sa hauteur...Et dans toute sa bonté il avait réussit à son avis a faire partir cette horrible vision de sa mère qu'elle aimait pourtant autant que tout...

Et elle hésita avant d'en parler avec le prêtre, mais pourtant il avait été élevé à ce rang car sa sagesse permettait au perdu de faire le point sur leur vie... Si le vilain avait pris possession d'une partie d'elle, d'une de ces faiblesse, le prêtre serait en mesure de la réorienter ou bien de l'aider sur cette apparition ma fois très subite, elle qui n'avait jamais vécu de tel.

- Mon père, j’aimerais vous parlez de ce qui vient de m'arriver... Je ne sais pas comment vous le dire ou comment même en faire le tour c'est tellement invraisemblable...

Elle ne paraissait pas de la jeune fille solide et prête à tout qu'elle devait être, surtout qu'elle n'était pas habillée dans de façon très descente pour aller à l'église... Dans son visage nous pouvions y lire l'inquiétude et la présence su prêtre la rassurait...

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Le visage du prêtre s’assombrit. Quelque chose dans son regard devint plus triste, une sorte de voile, comme s’il avait soudainement un peu pitié de la jeune femme. Il acquiesça doucement de la tête, par compréhension. Pour clarifié ses pensés et son comportement, il dit, d’une voix plutôt douce :

« Je vois. Rassurez-vous, depuis quelques temps, vous n’êtes pas la seule à venir me parler de chose étrange. La vrai question n’est pas de savoir si c’est possible, mais de savoir ce qui est arrivé. »

D’un geste de la main, il lui pria de s’asseoir sur le banc le plus près. Lui-même se dirigea vers ce banc. Une sorte de tristesse l’accompagnait, maintenant.

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Elle se dirigea la tête basse vers le banc, mais cette situation la rendait très confuse, habituellement c'était elle qui aidait les gens dans leur problème. Maintenant un prêtre lui proposait de l'aider.

Ce qui rendait la situation encore plus gênante c'est que ce relaxant personnage semblait comprendre ce qu'elle ne disait pas encore... Donc par confiance elle s'élança dans l'explication...

Sur un ton très calme, mais elle semblait vouloir détourner le vrai sujet

- Effectivement, j'ai vraiment besoin de savoir qu'est-ce qui c'est passé ???

Mais sa phrase pris quelques seconde avant de continuer

- Vous me dites qu'il ne faut pas que je m'interroge sur le fait de savoir si c'est vrai, donc cela c'est réellement produit...Mon père, vous savez ma mère est morte en me donnant naissance, et aujourd'hui, je voulais venir lui dire un merci... Un merci parmi tant d'autre que j'ai fait... Mais en entrant dans cette église même.......

Mais encore une fois elle arrêta, elle se prit la tête à deux mains et se mis à pleurer quelques larmes et continua son récit, mais son ton était quand même dit en pleurant

- J'ai vue ma mère, mais elle est morte, elle m'a dit qu'elle était déçu de moi et que j'avais refusé qui j’étais réellement... Ensuite, elle m'a giflé...

Ensuite elle arrêta cette explication pour elle totalement absurde...

- Mais c'est totalement... total... bref, je ne sais plus...

Elle voulait être rassuré... être comprise et comprendre ce qui c'était passé...

Le prêtre allait répondre lorsqu’une sonnerie se fit entendre. Le cellulaire d’Ély avait sonné dans l’église. Ceci sembla surprendre le prête qui ne s’était toujours pas habituer à ce genre de technologie.

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[N'oublie pas de regarder à la fin de la première page]

Il sursauta légèrement avec un air surpris. Néanmoins, son visage ne changea pas d’expression, il resta tout de même paisible et serein. Il n’avait pas l’air choqué, après-tout c’était presque rendu normal d’avoir son cellulaire. Malgré tout, il ferma la bouche, acquieçant de la tête :

« Allez-y, je vais faire un tour plus loin. »

Immédiatement, il se releva doucement de son banc pour se diriger vers l’hôtel. Ainsi, il pouvait lui laisser l’intimité pour répondre à ce coup de fil. Ne sait-on jamais, peut-être est-ce important?

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Son cell sonna tout-à-coup, un son qui la sorti très rapidement de cette tristesse et de cette crise passagère... Mais elle c'était demander si elle devait répondre par politesse...

Mais le prêtre lui avait donné l'autorisation et c'était mis à l'écart donc...

Elle arriva pour décrocher, mais elle se demanda, dans cette situation, si l'univers ne lui envoyait pas encore une fois par son cellulaire un message de sa mère comme le dernier...

Mais elle reprit sur elle et décrocha le téléphone, mais avant, elle voulut savoir qui l'appelait avec l'afficheur...Et elle décrocha :

- Oui !!! Bonjour...

Une voix de femme juste et professionnel retentit :

« Madame Tremblay, Ély Tremblay? »

Elle laissa un instant de silence pour entendre la réponse de Ély, ensuite elle reprit:

« Je suis le Dr. Folland de l’Hôpital St-Michel. J’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncé. Pouvez-vous vous rendre à cette hôpital le plus rapidement possible? »

Étrange…

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Une grande inquiètrude envahie le visage d'Ély... L'hôpital avait à lui parler, mais pour quel raison. Elle ne voulut pas parraître sauvage, n'y impolie, mais elle devait aussi savoir qu'est-ce qui c'était passer ici, tout comme elle devait savoir ce qui se passait là bas... Alors elle prit une décision... La seul personne de son entourage proche pouvant être à l'hôpital était son père, il pouvait attendre un peu...

D'une voix très calme, elle répondi au Doctor:

- Doctor Folland, je peut m'y rendre sans problème, mais je crains d'y être émmidiatement... je suis un peu loin, et je suis présentment occupé...mais vous pouvez compter sur ma présence dans au moins 1 heur. Désoler!

Ély ne savait pas si elle faisait la bonne chose, mais elle devait s'occuper d'elle même en premier

La voix, toujours juste et professionnelle ne tarda pas à répondre immédiatement à la jeune femme. Ses paroles disaient :

« Très bien. C’est au sujet de votre cousine, Naomie Tremblay. Rassurez-vous, elle semble avoir eut un accident. Son état est stable, mais elle est malheureusement dans le comas. Vous êtes la seule famille proche d’elle, pour l’instant. »

Elle se tue ensuite pour laisser le temps à la pauvre Ély de se remettre de tout cela, malheureusement pour le docteur, elle ne pouvait pas savoir pour sa mère…

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Sa cousine... Naomi... Mon dieu !!!! Elle n'y avait pas parler depuis plusieurs années... Enfin, c'était bien vrai, elle était peut-être la dernière famille qui lui restait, mais Naomi était elle aussi sa seule famille...

Ély devait mettre la lumière sur sa mère, comme le soleil l'avait fait ce matin, mais elle ne pouvait laisser quelqu'un dans le comas... Enfin... Elle était à l'église pourquoi revenir plus tard et avoir un paquette que chose a faire... Maintenant, Ély fera ses choses à l'église et elle passera à l'hôpital tout à l'heur.

- Docteur Follant je viendrai aujourd'hui, c'est assez important, je comprends, mais ses parents ne sont pas là, et je ne vous demande pas comment vous avez tombé sur mon numéro de cellulaire... Mais je suis occupée, merci de m'avertir....

Et Ély se prépara à raccrocher et se leva pour s'approcher du prêtre...

- Mon père, c'est ma cousine, je vais devoir aller la retrouver, mais avant je veux faire la lumière sur ce qui c'est produit...

Ély attends la réponse du prêtre à savoir s'il est toujours prêt à l'aider...

Peut-être que le docteur comprit, mais elle ne tenta pas de rajouter quoique cela puisse être d’autre. Enfin sa voix retentit une dernière fois dans le combiné :

« Comme vous voulez, madame. Je ne fais que vous avertir. Sur ce, passé une bonne journée et à bientôt. »

Ce fut les dernières paroles de ce docteur, beaucoup occupée. D’ailleurs, une légère empressement c’était installé vers la fin.

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Pascal avait attendu sagement qu’Ély revienne. Pendant ce temps, il s’était occupé en nettoyant un peu l’hôtel et les articles de cérémonie. D’ailleurs, il ne broncha pas quand la jeune fille revint le voir. Lentement, il releva la tête vers elle. La curiosité n’avait même pas traversé son esprit, mais il en déduit que cela ne devait pas être si personnel, si elle lui en parlait :

« Oh je vois… Cependant, il est impossible de faire la lumière la dessus. Car ce sont les ténèbres qui emplissent tout. Vous savez, j’ai entendu mainte histoires que personnes ne voudraient croire. Les ais-je cru? Là n’est pas la question. Je ne suis pas ici pour croire, mais pour pratiquer ce que je crois le plus au monde. Si vous voulez mon avis, si elle vous est apparue, c’est qu’il y a une raison. Sinon, pourquoi faire cette effort? Oui… il y a une raison, mais elle est à découvrire. »

Sur ce, il se tut, pour laisser le temps à la réflexion. Il s’était arrêté de frotter pendant un instant, observant Ély avec une pointe de désolation. Ce monde, le monde cacher, ne lui appartenait pas. Il en restait loin.

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Ély plus qu'embêter par la réponse du prêtre décida d'affiché un air convaincu...Mais tout cela était très compliquer et décida d'en faire comme tel et de voir pourquoi sa mère était venu lui rende visite, prenons cette expérience comme étant un phénomène unique de sa mère, qui venait lui dire que quelque chose clochait dans sa vie et qu'elle devait se reprendre en main.

- Merci mon père !! mais ma cousine est à l'hôpital et je doit mis rendre je repasserai venir vous voir, je crois que toute cette histoire n'est pas vraiment fini... Merci encore....

Et sur ce elle fit une petite inclinaisont devant le prêtre et attendit sa réponse avant de partir vers la porte pour se rendre à l'hôpital.