Une conffession

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Seulement qu’une dizaine de minute d’autobus. C’était le dernier circuit du soir. Les japonais avaient été chanceux d’être arrivé à l’arrêt avant qu’il passe. Sinon le petit garçon que Han tenait dans les bras allait y passer.

Le voyage se passa en silence. Les quelques tardifs qui étaient dans l’autobus ce soir là regardaient évidement les deux jeune et l’enfant inconscient. Pourtant aucun mot ne sortie. Que des regards accusateurs. Une de ses personnes semblait blâmer Han et Osaki comme si l’enfant était le leur et que c’était de leur faute si sa vie était en danger.

Han lui restait indifférent à ses regards et surveillait l’extérieur du bus pas la fenêtre pour ne pas manquer l’arrêt qu’il visait. Arrivé à un arrêt quelconque, Han se leva avec le jeune homme dans ses bras. Et prit la direction de la sortie du bus.

Devant lui, siégeait l’église St-Matthew.

Un édifice religieux oui. Han était conscient du genre de problème qu’ils avaient et savait vers qui se tourner. De plus, dans cette édifice vivait la personne en qui il avait le plus confiance. L’unique personne en fait.

Rivers n’était pas un garçon très religieux sinon pour dire aucunement. Sa présence dans cette enceinte était même ironique par temps. Osaki ne connaissait probablement personne dans cette ville d’autre que River lui-même et lui n’avait que contacte important qu’avec lui.

L’église était fermé à cet heure alors Han se dirigea vers le presbytère qui était à quelques mètre de l’église. Malheureusement, la fine pluie tombait toujours sur Han qui commençait à sécher dans l’autobus mais ça, il s’en foutait.

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Ils montèrent dans l’autobus de ville après seulement quelques minutes d’attente… Pourtant ces quelques minutes lui avaient semblé des heures. Comment faire autrement quand l’on a un enfant presque mort non loin de nous qui a sa vie entre sa responsabilité et celle d’un type indifférent.

Comme elle l’avait sentit venir plusieurs regard foudroyant c’était tournés vers eux. Ils avaient probablement l’air de jeunes parents incompétent. Myou avait donc dirigé son regard vers ses vieilles bottes usées et avaient tout fait pour oublier ou elle était et dans quelle situation désarmante elle était.

La Japonaise tenue bon, gardant le faible bon sens qui lui restait jusqu’à ce qu’une femme très âgée à l’arrière se lève et pointe de ses vieux doigts ridés et désarticulés, les deux japonais.

« DÉMON!!!! DÉMON!!!! »

Par la suite, elle fixa ses gros yeux globuleux sur les pauvres jeunes adultes dont une qui ne comprit rien à son charabias, puis elle se rassit mine de rien.

Osaki avait fait la sourde oreille, ne se détournant même pas pour voir cette vielle mégère. Habituellement elle aurait riposté mais avec tout ce qui ce tramait en cette instant, elle aurait voulu disparaître de cette ville à tout jamais et de ses habitants.

Enfin arrivé à…..UNE ÉGLISE?!

La jeune femme était débarqué et suivit Han qui allait vers le presbytère. Elle lui demanda sur un ton presque désinvolte dans sa langue
maternelle :

« Une église?! Mais t’es fou merde?!… Ce n’est pas un tel endroit qui va le maintenant en vie bon sens! »

Toutefois, elle continuait quand même son ascension aux côtés de Han, ne sachant pas vraiment quoi faire ou tenter… De plus, elle n’avait jamais été croyante et n’avait jamais mit les pieds dans une église…

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Il avança toujours vers le presbytère avec l’enfant dans les bras. La pluie tombait sur son visage et ses cheveux étaient trempés. Le jeune japonais savait qu’un hôpital était mieux pour l’enfant mais il avait beaucoup plus confiance en cet homme que des médecins inconnus.

L’autre folle commença à se plaindre. Han l’ignora et continua sa marche vers la porte du presbytère. Son pas épuisé forcé démontrait sa détermination à sauver l’enfant. Cela ne se voyait peut-être pas dans ses agissements. Il pouvait souvent paraître totalement indifférant aux situations mais dans sa pensé, il s’inquiétait souvent. Son orgueil le forçait à rester de marbre.

Il arriva finalement au presbytère et déposa l’enfant sur le sol adossé au mur de brique. Il appuya sur un bouton à coté de la porte et une petite sonnette se fit entendre. Il sonna à plusieurs reprises bien consécutives pour être bien sur de le réveiller si il dormait. Ensuite, il reprit l’enfant et resta devant la porte.

Han attendit un moment avant d'entendre les pas caractéristique d'une personne qui cours dans les escalier pour répondre à la porte. La personne une fois arrivé à la porte l'entreouvrit. c'étais un homme dans le cinquentaine cheveuc poivre et sel. Il portais des pentalon de pyjama brun et un gillet cours noir. Il répondit intérroger tout en se frottant les yeux.

"Han !? Seigneur que fait tu....seigneur dieux !!"

L'homme ouvirt grand les yeux son visage passant de l'intérogation à la surprise le plus total, il venait d'apercevoir le petit dans les bras de Han. Il jette un regard rapide dans le presbitaire puis pointa le petit il semblait essayé de s'exprimer mais la surprise l'empêchais de réagir convenablement.

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Myou soupira de quiétude quand elle vit enfin quelque répondre à la porte. Elle voulait à tout prix rencontrer quelqu'un d'autre que ce froid et idiot personnage. Elle avait put voir en lui une autre personne à l'appartement, mais sa manière présente d'agir faisait en sorte qu'elle le détestait maintenant.

Comme un prêtre pouvait-il bien sauver la vie d'un enfant dans un tel état critique. Malheureusement pour elle, Osaki ne pouvait pas faire part de sa façon de penser à l'homme puisque son français ne valait pas grand chose.

Elle resta donc un peu à l'écart de Han, sans rien dire. Elle aurait voulu geindre, crier, même frapper ce stupide Québéco-Japonais. Du moins, le lieu où elle se trouvait ne l'inspirait pas du tout et elle aima mieux se taire et anticiper la suite des évènements en espérant que cette crapule allait se faire replacer par l'homme qui avait ouvert la porte.

Celui là allait sûrement vouloir que l'on amène cet enfant à l'hôpital. Il ne risquait que la mort ici. Ni plus, ni moins... En faite, avec tout ce qu'il se tramait depuis hier, le jeune Japonaise ce dit qu'ils risquaient tous la mort dans peu de temps...

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Han avait la tête baissée. Il y avait une sorte de honte en lui. Il avait cet enfant, sur le seuil de la mort. Il avait laissé Osaki seule avec lui au début. Il l’avait ignoré. Pourtant, la vie d’un humain était ce qui le préoccupait le plus. Il souhaitait souvent la mort des gens mais l’impulsivité morbide le purifiait. Il méprisait tellement de chose que de voir ses problèmes mourir le libérait.

Jamais personne ne souhaiterait voir un humain mourir devant lui. La mort de son père lui avait certes fait un choque mais un tonne de ses problèmes s’étaient volatilisé avec lui. Quoi qu’avec cette malédiction aux bras Han en avait probablement beaucoup à vivre. Justement, l’une des raisons de sa visite ici était ça. Lui pourrait peut-être comprendre ce qui se passe.

« Sifu, j’suis dans la merde là… On peut entrer s’il vous plait ? »

En plus d’avoir les conseils du père, ils allaient avoir un lit probablement plus confortable qu’une chaise d’hôpital. Même s’il avait dormit en après-midi jusqu’en soirée, avec toute cette histoire Han était très épuisé. Ses bras maudits avaient tenu l’enfant pendant tout le trajet. Et puis, il était évident, de part tout les étranges choses qui s’était produite, que l’enfant avait un problème relié à ça. Enfin, c’est ce que croyait Han.

Le père reprit le contrôle sur lui-même et se calma. Il parle sur un ton plus calme mais quand même très inquièt

« Je vois ca que tu est dans la merde! Entre je vais apeller l’ambulance. »

Il entra en vitessa dans le presbitère et disparue dans une pièce probablement pour téléphoner. Avant de disparaître il parla par dessu son épaule.

« Dépause le petite sur le canapé dans le salon! »

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Han fit ce que le Père Julius lui dit. Il entra et déposa le jeune garçon sur le chique divan du prêtre. Il resta avec lui sans trop savoir quoi faire. Han sortie ses bras de ses manches de manteau. Les bandages qu'il s'était mit y était toujours mais certaines place s'était un peu détendu à cause de l'humidité.

Est-ce que le jeune garçon était aussi une victime de cette malédiction ? Pourtant c'était la première fois qu'Han le voyait. Trop de question...

Le japonais attendit toujours assis sur le canapé.

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Nana était resté dehors s’en bouger. Elle n’était pas entrée, n’en voyant pas réellement l’intérêt puisqu’elle ne connaissait ni l’endroit ni le père.

Or, son cœur battait à tout rompre et elle se croyait sur le point de s’effondrer par terre sous le poids de tout ce stress. Voilà elle était décidé, elle allait retourner au Japon et combattre sa peur contre Ren… Elle l’aimait tant. Comme elle avait pu quitter son amour aussi loin pour un événement aussi stupide… Quoique… Elle avait tué son enfant sans lui demandé son enfant en sachant pertinemment qu’il n’aurait jamais accepté cela… Surtout pas venant de sa part. Elle pourrait enfin rejoindre l’homme dont elle était amoureuse depuis 3 ans, retrouver sa meilleure amie… Yasu, Nobu, Takumi et tous les autres. La fébrilité prit de l’ampleur par-dessus le stress à ce moment là. Elle allait retourner chez elle et partir loin de toute cette énigmatique morbidité.

Nana recula d’un pas… Elle aurait voulu se retourner et fuir très loin, pourtant elle voulait encore rester quelques minutes. Seulement pour savoir si l’enfant allait être dans de bonnes mains.